Claude François : la maman de ses enfants fait une révélation inattendue

  • l’année dernière
Durant de nombreuses années, Claude François a suscité une grande ferveur auprès de milliers de citoyens français. En effet, l'icône de la chanson a laissé une empreinte indélébile sur toute une génération, jusqu'à son tragique décès survenu le 11 mars 1978, alors qu'il n'avait que 39 ans, emporté par une électrocution. Toutefois, les agissements de l'artiste ont ultérieurement été l'objet de critiques. Invitée à l'émission Un dimanche à la campagne, Michèle Torr a évoqué le comportement de ce célèbre chanteur, avec lequel elle a eu l'opportunité de partir en tournée à l'âge de seulement 17 ans.

La déclaration de Michèle Torr à propos de son expérience aux côtés de Claude François était la suivante : "J'ai eu la chance d'étudier auprès de Claude François, c'était un professionnel aguerri, extrêmement exigeant et minutieux. J'étais sous le charme et admirative de son talent. Dès qu'il montait sur scène, il était imprévisible et n'hésitait pas à improviser les paroles pour transmettre un message à ses musiciens. [...] Toutefois, il faut reconnaître qu'il avait une personnalité à la fois charmante et odieuse, c'était tout simplement Claude François !"

Isabelle Forêt avait également fait part de son expérience en tant que partenaire de vie de Claude François. Ensemble, ils ont eu deux enfants, à savoir Claude François Junior et Marc François. Isabelle Forêt avait déclaré : "J'avais la lourde responsabilité de gérer les enfants comme toute mère, ainsi que les ouvriers qui travaillaient constamment sur la restauration de notre moulin. En outre, je devais faire face à la maniaquerie obsessionnelle de Claude qui exigeait que tout soit parfaitement ordonné avant son arrivée, jusqu'au moindre détail comme une goutte d'eau sur une vitre ou une assiette ébréchée."

Un autre aspect que soulignait Isabelle Forêt était l'obsession de Claude François pour l'entretien de son escalier. Elle avait expliqué : "Il y avait un détail qui me paraissait absurde : chaque semaine, il fallait repeindre l'escalier pour qu'il soit d'un blanc éclatant. Tous les vendredis soirs, je devais donc me mettre à genoux et repeindre chaque marche de l'escalier. Tout devait être parfait, rien ne devait être laissé au hasard. Son côté possessif était difficile à supporter. Je ne pouvais pas aller au cinéma, sortir ou même faire des photos sans déclencher chez lui des crises de colère épouvantables. J'ai finalement décidé que j'en avais assez de ses caprices, alors j'ai pris les enfants et je suis partie vivre dans le Midi".


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