• l’année dernière
Transcription
00:00 L'objectif et l'ambition de la ville, c'est d'abord que la nuit parisienne
00:02 reste une nuit bienveillante et festive.
00:04 Avec Consantis, on a commencé à travailler un peu en urgence, c'était en 2021.
00:08 Et puis, on a travaillé aussi avec la PHP, on a travaillé avec un certain nombre de gens.
00:11 Ce que nous a dit Consantis et ActRight, c'est que ça passait par de l'information
00:15 et la formation de l'ensemble des personnels.
00:17 C'est-à-dire comment on crée de la bienveillance à l'intérieur de l'endroit qui est le club.
00:21 On a formé le personnel, y compris pour repérer aussi les comportements.
00:24 On réfléchit aussi à l'histoire du code avec Angela.
00:28 C'est-à-dire quand on commande quelque chose, ça veut dire qu'on est dans une situation de danger.
00:33 C'est tout un dispositif.
00:34 Évidemment, le zéro risque n'existe pas.
00:36 Mais ça veut dire que dans ces lieux, il y a de la bienveillance et de la formation.
00:39 Ça, ce n'est pas dans tous les clubs de Paris.
00:40 Et nous, un peu l'idée, ce n'est pas de faire du "name and shame",
00:42 mais c'est au contraire de positiver.
00:44 C'est pour ça qu'on a sorti une cartographie qui est sur le site de la ville
00:48 pour dire les endroits et les lieux et les clubs.
00:50 Alors, ils sont plutôt dans l'est de Paris, dans lequel il y a des pratiques
00:54 qui sont bienveillantes par rapport à ces questions.
00:56 Chaque fois que je vois qu'il y a des événements,
00:58 que ce soit une overdose, pas forcément mortelle,
01:00 des problèmes d'agression, de harcèlement, c'est un échec pour nous.
01:03 Ça veut dire qu'on n'est pas dans une lie bienveillante.
01:05 Elle doit rester, ce moment festif, ce moment aussi où on oublie les dominations
01:09 et les reproductions de dominations dans la journée.