Vive indignation en Russie: un père séparé de sa fille pour un dessin anti-guerre condamné et en fui

  • l’année dernière
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Une russe, séparée sa fille de 13 ans qui été placée cause d'un dessin à l'école contre l'offensive en Ukraine, a été condamnée ce mardi deux ans prison et s'est enfui, annoncé des théâtres. Cette affaire suscité une indignation animée pendant plusieurs semaines Russie, devenant l'un des symboles de la répression impitoyable contre ceux qui s'opposent à l'opération militaire lancée il y plus d'un an par le Kremlin en Ukraine, mais elle pris un nouveau tour ce mardi lorsque l'EfremovingLa cour, à 300 km au sud de Moscou, annoncé que l'accusé Alexei Moskaliov, placé résidence surveillée depuis mars, avait disparu. "Le verdict été lu en l'absence de l'accusé, car il a disparu et n'a pas comparu à l'audience", déclaré les communications du tribunal, Elena Mikhaïlovskaïa. Il a été placé en résidence surveillée depuis le 1er mars. Selon un responsable de la Cour du tribunal, "il a fui hier soir", a déclaré les journalistes Olga Diatchouk, selon une vidéo relayée par plusieurs médias russes.Il est temps lundi. "Une tentative d'intimider tous les adversaires la guerre" Le mémorial de l'ONG a dénoncé dans un communiqué presse "la répression" ciblant M. Moskaliov et sa fille, voyant "une tentative d'intimider tous les opposants à la guerre". "Nous considérons M. Moskaliov comme un prisonnier politique" en fuite, a soutenu l'ONG dissous l'année dernière par la justice russe. Sa fille 13 ans dénoncée par l'école, l'affaire a commencé lorsque la fille de M. Moskaliov, Maria, une étudiante 13 ans, a fait dessin en classe montrant des missiles à une femme et un enfant avec drapeau ukrainien. Dans un contexteDe toute la chasse confrontée avec des votes critiques de l'offensive en Ukraine, le directeur de l'école a immédiatement alerté la police. Son avocat a déclaré mardi que Maria Moskaliova avait été sous surveillance et qu'elle pouvait être "envoyée à un orphelinat dans un mois". Un signe de l'indignationÉveillé par cette affaire, une pétition a été lancée en ligne, malgré la pression des autorités, pour demander le retour de l'enfant à son père. Même le patron du groupe paramilitaire russe Wagner, Evgueni Prigojine, dont les hommes se battent en première ligne de la ligneUkraine, a soutenu Maria et a critiqué les autorités locales. Ce cas montre l'ampleur prise par la répression orchestrée par le Kremlin parallèlement au conflit en Ukraine.2022, la Russie a introduit une série de sanctions pénales pour supprimer toute forme de critique concernant l'armée. Des adversaires des citoyens simples ont été arrêtés, et certains sont déjà jugés condamnés.

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