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Beaux-parents

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Transcription
00:00 Tu connais ma fille ? Elle a jamais été aussi heureuse.
00:02 Je suis détruite.
00:05 Je l'ai pas touchée. Je suis fidèle.
00:10 - T'as pécho ? - Non, j'ai pas pécho.
00:11 T'as pécho, elle est tapée chaud.
00:13 - Voilà, ça c'est Chloé, c'est la bombe. - Le physique, la plupart des hommes s'en foutent.
00:16 C'est bien que vous soyez là pour lui dire adieu.
00:20 - Adieu ? - Parce qu'on le verra plus jamais.
00:22 - Tu y vas, moi ? - Non.
00:25 On va s'en mettre ensemble. On est une famille.
00:27 - Il faut parler à Garance. - Non, je vais lui parler.
00:29 Il faut mettre les poids sur lui.
00:30 Allez, la voilà !
00:32 - La poêle ! - La poêle !
00:34 - Fils de merde ! - Allô !
00:35 - Coucou, c'est Romois ! - Rebonjour, ma chérie.
00:38 - Il serait temps que vous vous réconciliez. - C'est pas possible.
00:41 Mais c'est toi qui est pas possible !
00:43 On fout pas toute sa vie en l'air à cause d'un coup de...
00:44 Non, ça va, on a compris.
00:46 Qu'est-ce que vous avez pas compris dans la phrase "Il ne faut plus jamais le revoir" ?
00:50 T'as pas fait suivre un détective, quand même ?
00:53 Vous êtes au fond du trou, c'est un homme brisé !
00:56 C'est qui pleure tout le temps.
00:58 Pas là, oui.
00:59 - Papa ? - On vient faire son inspection.
01:02 Y a des trucs que j'aimais faire avec quelqu'un dont on ne prononce plus le nom.
01:05 Et voilà, aujourd'hui, je suis obligé de les faire tout seul.
01:07 - La petite, elle est là ! - Merde !
01:14 - Mais quoi ? - C'est le temps de passer maison.
01:16 - T'arrêtes pas, sinon on est mort. - Moi, ça va pas du tout.
01:18 Ta gueule !
01:19 Allez, pissens !
01:20 Qu'est-ce que vous faites à tourner dans le quartier, comme ça ?
01:24 Papa, derrière, comme la Reine de la Mer, il est là.
01:26 Et derrière, comme la Reine d'Angleterre.
01:28 On l'avait jamais fait. Et ça faisait plaisir à ton père.
01:30 Papa, qu'est-ce que tu veux que je te dise ?
01:36 On n'arrive pas à couper le cordon, voilà, c'est tout.
01:38 Mais on n'est pas des machines, bon sang !