Gabrielle Cluzel, invitée de Punchline sur CNEWS a regretté la volonté du gouvernement de sans cesse vouloir «casser les codes».
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00:00 J'entends complètement ce que vous dites, parce que nous, sur Boulevard Voltaire, on s'était dit, tiens, on pourrait faire un poisson d'avril.
00:05 Et en fait, toutes les idées qu'on avait étaient en dessous de la réalité actuelle, vous voyez ?
00:09 Pif Macron dans Pif Gadget, c'est un truc qu'on aurait pu imaginer l'an dernier, mais là, c'est vrai, cette année.
00:14 Donc, finalement, on s'est dit, on ne va pas faire de 1er avril, c'est l'actualité permanente, le 1er avril.
00:18 Non, mais si vous voulez, en fait, on se rend compte que ce gouvernement, vous avez raison de dire que ça s'inscrit parfaitement dans la politique du gouvernement.
00:25 Donc, vraiment, les autres membres du gouvernement seraient mal avisés de lui en vouloir, parce que c'est du même registre que Macron dans Pif.
00:32 Donc, en fait, ce gouvernement n'a plus rien à offrir, sinon des gestes disruptifs pour casser les codes.
00:37 Mais on n'en peut plus de casser les codes. C'est devenu d'un ringard de casser les codes.
00:41 On cherche des gens qui maintiennent les codes, parce que les codes, ça a une vertu, les codes.
00:46 Parce qu'on se dit, ça va être quoi ? Il nous reste 4 ans. Ça va être quoi, la prochaine étape ?
00:49 On va recevoir Charles III en thong ? Ah, ça va casser les codes.
00:52 Là, tout le monde va en parler, c'est sûr, en quelsqu'un moyen. Mais on n'en peut plus.
00:56 Et puis, restons sérieux. Vous trouvez que c'est sérieux, vous ?
00:59 Non, c'est pas sérieux.
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