Jérôme Jimenez : «On salit notre institution en utilisant le terme de violence policière»

Bruno Retailleau : «Je conteste le terme de violence policière»

Georges Fenech : «Dans tout ce qui représente l’institution, qu’elle soit hospitalière, scolaire, policière, judiciaire, il y a un phénomène de refus de l’autorité»

Jérôme Fourquet : «Cela a l’air anecdotique, mais selon si l’on parle de recul à 64 ans ou 65 ans, en terme d’acceptation dans l’opinion, ce n’est pas du tout la même chose»

Jérôme Béglé : «Il faudra une mobilisation policière plus importante, voire exceptionnelle»

Jérôme Jimenez : «Il y a une réelle volonté de tuer des policiers»

Jérôme Jimenez : «Lorsque le service d'ordre joue le jeu, ça facilite le travail des policiers et gendarmes»

Jérôme Jimenez : «On n’en peut plus, nous les policiers, de retrouver tout le temps, les mêmes personnes dehors»

Jérôme Jimenez : «C’est dans l’ADN de n’importe quel policier : protéger, servir, assister, porter secours à des personnes en danger»

Jérôme Jimenez : «C’est une forme d’apologie du crime contre les forces de l’ordre qui est présente sur ces tags»

Jérôme Jimenez : «Une idée première de semer le chaos»

Jérôme Jimenez : «La mission de policier, aujourd'hui, est difficile»

Jérôme Jimenez : «Je crois que certains politiques ont la mémoire courte. Souvenez-vous en 2016, quai de Valmy»

Jérôme Jimenez : «Avec des scénarios de la sorte, comment voulez-vous que des jeunes aient envie d’être policier ?»

Jérôme Jimenez : «Les policiers ont constaté que les manifestants étaient beaucoup plus en colère, ils sont à bout»

Jérôme Jimenez : «On est obligé de fermer une école parce qu'il y a des problèmes de sécurité»

Jérôme Jimenez : «On a des jeunes inconnus des services de police, qui commettent des exactions sur les forces de l'ordre»

Jérôme Jimenez : «au niveau de la sécurité et des effectifs présents dans les transports [...] il y a quand même du monde»

Jérôme Jimenez : «En France on compte un peu plus de 52.000 lieux de culte» la police «ne peut pas être partout»

Jérôme Jimenez : «Il faut rappeler qu'il y a 250 pompiers qui ont été engagés sur ce feu», sans compter les forces de l'ordre. «La coordination de tous ces effectifs ce n'est pas une simple affaire»

Jérôme Jimenez : «Tout a été mis en place pour assurer l’ordre public et la sécurité de tous les riverains»

Jérôme Jimenez : «Un point de deal à Marseille, ça peut aller jusqu'à 80 000 euros par jour»

Jérôme Jimenez : «Les gaz lacrymogènes sont parfois nécessaires»

Jérôme Jimenez : «Le niveau de violence est historique»

Jérôme Jimenez : «Pour caractériser une infraction , il n’y a pas mieux que la vidéoprotection»

Jérôme Jimenez : «Ce ne sont pas des supporters qui sont venus affronter les forces de l’ordre»