Nicolas Fresco, l'un des chroniqueurs de Quotidien fait polémique depuis 3 jours après un papier dans l'émission dans lequel il a ironisé sur Polska et Tootatis, deux influenceuses qui ont décidé de participer aux manifestations contre la réforme des retraites. Jouant sur leur physique, elles ont pris comme slogan : "Des formes, mais pas de réforme !"
Nicolas Fresco a lancé sur le plateau de Quotidien: "Une influenceuse avec un nom de vodka et l'autre avec un nom d'attraction du Parc Astérix, qui sont notamment célèbres pour s'être fait recaler d'un restaurant à cause de leur décolleté plus profond que le trou de la Sécu. Sans le son on dirait plutôt qu'elles vont voir un match au stade de France".
L'influenceuse Polska lui a répondu sur les réseaux sociaux en s'adressant directement à Yann Barthès :
"Je ne connais pas le nom de ton chroniqueur aux cheveux gras. Yann Barthès, à 48 ans, tu trouves ça encore normal qu’en 2023, on puisse toujours faire des chroniques à la télé vues par des centaines de milliers de personnes, hyper sexistes et hyper misogynes ? Ce n'est pas parce que c'est sous couvert d'humour que ça passe mieux ! Au lieu de parler de l’acte en lui-même, vous vous êtes arrêtés à des faux ongles et à un décolleté".
"Cette séquence ne laisse aucune place à l’analyse, comme si leur physique était déjà en soi une déclaration", déplore la journaliste et réalisatrice féministe Rokhaya Diallo, interrogée par Le Parisien. Plus largement, « cette chronique s’imprime dans une ligne de discrédit de la parole des femmes".
Hier soir Cyril Hanouna a reçu les 2 influenceuses et il a exprime son avis sur le débat : "C'est pas parce que on a un décolleté qu'on n'a pas d'avis sur la réforme des retraites ou sur ce qui se passe en France. C'est des vannes nulles à chier. J'ai envie de mettre des tartes quand j'entend ça. Je ne les mettrai pas bien sûr, mais c'est nul ! C'est des donneurs de leçons et c'est sexiste au plus haut point ! Elles sont concernées par ce qui se passe dans leur pays et c'est normal. C'est pas parce qu'elles ne s'habillent pas comme Edith Piaf qu'elles n'ont pas le droit d'avoir des idées !".
Nicolas Fresco a lancé sur le plateau de Quotidien: "Une influenceuse avec un nom de vodka et l'autre avec un nom d'attraction du Parc Astérix, qui sont notamment célèbres pour s'être fait recaler d'un restaurant à cause de leur décolleté plus profond que le trou de la Sécu. Sans le son on dirait plutôt qu'elles vont voir un match au stade de France".
L'influenceuse Polska lui a répondu sur les réseaux sociaux en s'adressant directement à Yann Barthès :
"Je ne connais pas le nom de ton chroniqueur aux cheveux gras. Yann Barthès, à 48 ans, tu trouves ça encore normal qu’en 2023, on puisse toujours faire des chroniques à la télé vues par des centaines de milliers de personnes, hyper sexistes et hyper misogynes ? Ce n'est pas parce que c'est sous couvert d'humour que ça passe mieux ! Au lieu de parler de l’acte en lui-même, vous vous êtes arrêtés à des faux ongles et à un décolleté".
"Cette séquence ne laisse aucune place à l’analyse, comme si leur physique était déjà en soi une déclaration", déplore la journaliste et réalisatrice féministe Rokhaya Diallo, interrogée par Le Parisien. Plus largement, « cette chronique s’imprime dans une ligne de discrédit de la parole des femmes".
Hier soir Cyril Hanouna a reçu les 2 influenceuses et il a exprime son avis sur le débat : "C'est pas parce que on a un décolleté qu'on n'a pas d'avis sur la réforme des retraites ou sur ce qui se passe en France. C'est des vannes nulles à chier. J'ai envie de mettre des tartes quand j'entend ça. Je ne les mettrai pas bien sûr, mais c'est nul ! C'est des donneurs de leçons et c'est sexiste au plus haut point ! Elles sont concernées par ce qui se passe dans leur pays et c'est normal. C'est pas parce qu'elles ne s'habillent pas comme Edith Piaf qu'elles n'ont pas le droit d'avoir des idées !".
Category
📺
TV