La blague hilarante de Frédérique Bel !
Cyril Hanouna anime #LaGrosseRigolade entouré de pointures de l’humour qui viendront raconter leurs meilleures blagues.
Préparez-vous à rigoler comme jamais.
Préparez-vous à rigoler comme jamais.
Transcript
00:00 - C'est une femme qui n'a pas baisé depuis très longtemps.
00:02 - Bon allez, alors attends.
00:04 - Tu peux y aller moi aussi j'y vais.
00:06 - Elle n'a pas baisé depuis longtemps.
00:08 - Tu peux la prendre Fred.
00:10 - Oui alors c'est une femme qui n'a pas baisé depuis très longtemps.
00:13 Elle en a marre donc elle se dit je vais aller acheter des gaudes, ça suffit.
00:17 Donc elle arrive dans le magasin.
00:19 Il y a plusieurs tailles, tu vois c'est un peu comme dans ta boutique.
00:22 Et donc elle dit ah voilà, le jaune là, le jaune il est bien, il est un peu plus large etc.
00:29 Puis le bleu, le bleu il est un peu plus rond au bout.
00:32 Ah d'accord.
00:34 Et elle dit c'est très bien je vais prendre le jaune, le bleu puis le rouge.
00:38 Les deux premiers c'est possible mais pour l'extincteur faut voir le patron.
00:41 (Rires)
00:43 (Applaudissements)
00:45 - J'adore, moi j'adore Fred.
00:48 - Oui c'est comme le mec qui est combrié à l'une banque avec un masque de Mickey tu sais.
00:54 Comme il y a dans le cinéma, il braque la caissière et au moment où il la braque,
00:59 ping, l'élastique du masque de Mickey il pète.
01:04 Tu vois, le masque il tombe par terre, il le ramasse très vite, il lui dit tu as vu mon visage ?
01:09 Elle dit ben oui un petit peu, pas longtemps mais bam, bam, deux balles dans la tête.
01:16 J'arrive au caissier à côté, il dit et toi ?
01:19 Tu as vu mon visage ? Je dis non alors je vous jure moi j'ai pas vu du tout, j'ai rien vu du tout.
01:24 Je te crois pas, bam, bam, deux balles dans la tête.
01:26 Il se retourne, il y a un couple derrière lui, il dit et toi ?
01:30 (Rires)
01:31 Tu as vu mon visage ? Le mec dit non, moi je l'ai pas vu mais ma femme l'a vu.
01:36 (Rires)
01:38 (Applaudissements)
01:44 - C'est un mec qui marche dans la rue, il marche dans la rue, il n'a pas d'oseille.
01:48 Le mec il est mort dans le film, il n'a pas d'argent, il marche et d'un coup il voit un bus retourner avec plein de gens par terre.
01:55 Il se dit alors là c'est le coup du refait, je vais me couper une oreille et je vais m'allonger avec les victimes
02:00 et ils vont me donner un billet parce que les assurances travaillent.
02:03 Donc il arrive, il se coupe l'oreille, il a mal, il a du sang et tout, il tombe par terre, il s'allonge.
02:08 Au moment où il s'allonge il entend couper on a refait !
02:11 (Rires)
02:19 - Il y en a une justement sur les triplés, les triplés qui arrivent à l'école maternelle.
02:24 La directrice elle se déplace, elle n'a jamais eu de triplés.
02:27 Oh, comme ils sont mignons, regarde moi ça !
02:31 Elle s'adresse au premier, elle dit comment tu t'appelles ?
02:33 Il m'appelle Philippe madame.
02:35 Oh Philippe, tu es trop mignon.
02:37 Et toi, moi je m'appelle Michel, c'est bien Michel.
02:41 Elle s'adresse au troisième et toi, quand tu t'appelles ?
02:44 Je m'appelle Marco.
02:46 (Rires)
02:48 Les vitres tremblent, tu sais de la maternelle.
02:52 Elle recule d'un pas, elle a eu peur, elle dit mais Marco, comment ça se fait ?
02:57 Tu as une voix de centaure quoi.
03:01 Les frères parlent normalement, c'est une petite voix de 8 ans.
03:06 Mais toi, qu'est-ce qui s'est passé ?
03:08 Ben Marco il dit, on était trois et comme ma mère avait que deux nichons,
03:14 j'ai été obligé de sucer mon père.
03:17 (Rires)
03:24 - Ça y est, je suis viré.
03:26 - Non, ça passe, ça passe, ça l'est bien.
03:29 - Mon chien, il vole, vous le connaissez ?
03:32 - Attends, il dit après Jean-Marie.
03:34 - Non, mais c'est Jean-Marie à priorité aux anciens.
03:36 - Non, mais vas-y, tu viens d'arriver.
03:38 - Alors ces deux fous sont dans un hôpital psychiatrique.
03:41 - Rires.
03:42 - Rires.
03:43 - Rires.
03:45 - Et dans cet hôpital, il y a une piscine et les deux fous marchent au bord de la piscine.
03:48 Il y en a un des deux qui jette dans la piscine, il commence à se noyer.
03:51 Le deuxième, il vague, il le sauve et tout.
03:53 Et en apprenant ça, le responsable de l'hôpital,
03:56 il dit "vu qu'il a fait ça, un acte héroïque, je vais lui offrir sa sortie,
03:59 je vais le laisser sortir".
04:01 Donc il va le voir dans sa chambre, il lui dit "écoute, t'as fait un acte héroïque,
04:04 c'est super ce que t'as fait, au moins t'es conscient,
04:06 j'ai conscience que toi tu es conscient, je vais te laisser sortir de l'hôpital,
04:09 ça c'est la bonne nouvelle.
04:11 Par contre la mauvaise nouvelle, c'est que la personne que t'as sauvée,
04:14 elle s'est pendue dans sa chambre.
04:16 Il lui dit "non, pas pendue, moi accrochée pour qu'il sèche".
04:19 - Rires.
04:21 - Rires.
04:23 - Rires.
04:25 - C'est Boudère et moi, on s'est installés en Belgique.
04:29 - Ah j'adore.
04:31 - On est devenus Belges et je suis dans le bar,
04:34 avec côté de lui et je fais "c'est dingue ça, c'est incroyable ça".
04:39 - On a pris l'accent.
04:41 - C'est dingue ça, c'est dingue, c'est incroyable ça, je ne reviens pas.
04:46 - Qu'est-ce qui se passe, Michel?
04:48 - Je vais te le dire avant que tu parles.
04:51 - Je me le dis avant de te dire.
04:53 - Tu vas voir.
04:55 Il a le miroir comme ça, il regarde, je regarde encore,
04:58 mais c'est incroyable ça.
05:00 Pose-moi la question maintenant.
05:02 - Qu'est-ce qui est incroyable, Michel?
05:04 - Je te dis ce qui est incroyable, c'est que le type là, je le connais.
05:09 Je suis sûr que je le connais.
05:12 Alors Boudère, il prend le miroir, il fait "montre, vois".
05:15 Il prend le miroir, il fait "bien sûr que tu le connais, c'est moi".
05:20 - Merci.
05:22 [Musique]