Pendant que les manifestants ont fait une halte au début du boulevard Jacques Saadé le collectif féministe "Les Rosies" de l’association intermondialiste Attac ont lancé leur chorégraphie millimétrée et bien menée.
Leur objectif : apporter de la joie militante et de transmettre le message d’une autre manière, qu’en marchant et en scandant. "Ça apporte de l’énergie et ça permet de durer, on part du principe que danser c’est résister, c’est notre façon de manifester à nous", déclare Valérie responsable d’Attac Pays d’Aix.
Elles donnent de la voix dans les cortèges depuis le début du mouvement de contestation de la réforme des retraites. Elles étaient une trentaine aujourd’hui à Marseille. "Chaque semaine, on est de plus en plus, il y a les Rosies d’Aix, de Marseille, d’Aubagne".
Leur objectif : apporter de la joie militante et de transmettre le message d’une autre manière, qu’en marchant et en scandant. "Ça apporte de l’énergie et ça permet de durer, on part du principe que danser c’est résister, c’est notre façon de manifester à nous", déclare Valérie responsable d’Attac Pays d’Aix.
Elles donnent de la voix dans les cortèges depuis le début du mouvement de contestation de la réforme des retraites. Elles étaient une trentaine aujourd’hui à Marseille. "Chaque semaine, on est de plus en plus, il y a les Rosies d’Aix, de Marseille, d’Aubagne".
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