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Matthieu Delormeau vous donne rendez-vous tous les vendredis pour TPMP People ! Entouré de sa bande de chroniqueurs, toute l'actualité people n'aura plus de secrets pour vous !

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Transcription
00:00 Je ne défends pas Pierre, je ne le défends pas, je l'ai bien connu, je ne le défends pas.
00:04 Parce que c'est pas défendable, tout simplement.
00:06 Simplement je dis, est-ce qu'on peut mettre la pédale douce, est-ce qu'on peut parler d'autre chose,
00:10 et arrêtons la double peine, la triple peine, ils sont déjà...
00:12 - Non, tu as dit on lâche, on lâche, c'est pas quoi et on lâche.
00:14 - Oui, c'est vrai, c'est vrai, bon, je trouve que...
00:17 Il a déjà la tête assez sous l'eau comme ça, c'est pas la peine de continuer, c'est tout.
00:20 - Donc tu dis qu'on le lâche, donc tu dis que tout le monde le lâche.
00:22 - Oui, on le lâche, mais parce qu'il n'est pas défendable, c'est le contraire, je ne l'ai jamais défendu.
00:29 On ne peut pas défendre ça, c'est pas possible.
00:30 Il y a des victimes qui souffrent en ce moment, lui-même, il y a tout le monde qui souffre,
00:32 il y a beaucoup de souffrance là-dessus, c'est pas la peine d'en rajouter avec le tribunal populaire.
00:36 Ils sont déjà condamnés avec tout ce qu'on dit, tout ce qu'on dit à la télévision, la radio,
00:40 ils sont déjà condamnés par le tribunal populaire.
00:44 Il y a des juges pour ça, il y a des flics, il y a des magistrats,
00:47 ils vont avoir le procès qu'il faut et tout le monde pourra avoir son avis là-dessus.
00:51 Nous, on ne connaît pas le dossier, je ne connais pas le dossier.
00:53 Tu le connais, toi, moi, je ne le connais pas.
00:55 - Non, et ça ne te choque que tout le monde en face, des tonnes, les BFM.
00:59 - Moi, je dis, est-ce qu'on peut mettre la pédale un peu douce et est-ce qu'on peut parler d'autre chose un petit peu ?
01:04 - Alors, est-ce que tu peux reconnaître... Pardon, je ne sais pas pourquoi je te tutoie.
01:07 - Oui, pourquoi tu me tutoies ? Et pourquoi moi, je te tutoie ?
01:10 Pourquoi vous me tutoyez ?
01:11 - Non, mais en plus, on ne se connaît pas, mais je pense qu'il y a une sympathie.
01:14 - Mais c'est ça, ça passe bien entre nous.
01:15 - Mais tu fais quoi ce soir ?
01:17 - On va être sérieux, on va être sérieux.
01:22 C'est un sujet sérieux. Est-ce qu'en même temps aussi, aujourd'hui, et d'ailleurs, on va en parler tout à l'heure,
01:28 les stars et les élections, est-ce que du coup, Palmad, ce n'est pas un déclencheur, ce n'est pas tout d'un coup...
01:33 On en parle beaucoup parce qu'on met le doigt sur un sujet important et il faut que ce soit un people.
01:38 Si c'est un lambda, ça ne marchera pas.
01:39 Et comme on dit toujours, c'est un fait divers et la semaine d'après, il ne se passe rien et personne ne prend de décision.
01:44 Là, Darmanin, maintenant, met plus de contrôle. Comme c'est un people, il n'y a plus de décision.
01:49 Est-ce que ce n'est pas bien aussi ?
01:51 - Je trouve que trop, c'est trop.
01:52 Trop, c'est trop. Est-ce qu'on peut parler d'autre chose ? Est-ce qu'on peut tourner la page ?
01:56 On va y revenir, il va y avoir toujours des rebondissements.
01:58 Mais là, je n'aime pas l'alali, la curée. Je n'aime pas ça.
02:03 C'est tout, tout le monde l'enfonce. Arrêtons d'en parler.
02:07 - Et le fait que vous, tout d'un coup, maintenant, il y ait des titres depuis une semaine avec, partout, sur Yahoo,
02:11 "Julien Lepers défend Pierre Panade".
02:14 - En plus, c'est faux. Je n'ai jamais dit ça.
02:16 C'est épouvantable à vivre. Vous prenez deux, trois trucs de ce que j'ai dit.
02:19 - Mais vous ne découvrez pas la télé, Julien.
02:21 - La règle est trois ailes. On lèche, on lâche, on lâche.
02:23 Tu es d'accord avec moi ? C'est totalement vrai.
02:26 Mais on en fait assez sur Pierre. Il est déjà assez dans la panade comme ça.
02:29 Ce n'est pas la peine d'en rajouter. Parlons d'autre chose.
02:32 - Très bien.
02:33 - Pardon.
02:35 - Moi, je suis aussi choqué par ce qu'il a fait que par le fait que ses amis le lâchent.
02:40 - Je ne sais pas si on n'est pas venu par ses amis.
02:42 - Ses amis ne le lâchent pas.
02:44 - Imaginons que je fasse une grosse connerie.
02:46 J'espère, Mathieu, que vous saurez quand même, même sans s'exprimer dans la presse,
02:49 qu'on viendrait quand même, je ne dis pas me remonter le moral,
02:51 mais que je sache que je ne peux pas compter.
02:53 - Ce n'est pas le cas. Pierre Panade est à l'hôpital.
02:55 - Non, ils sont tâchés. Il ne veut plus se voir.
02:57 - Elle ne savait pas ce qui s'était passé.
02:59 - Elle ne savait pas ce qui s'était passé. Quand elle l'a appris, elle a dit,
03:01 "Je ne veux plus le voir."
03:02 - Elle ne lui pardonnerait jamais.
03:03 - Je ne vais plus le voir.
03:04 - Je suis un petit peu d'accord avec Jean-Mi.
03:06 Si c'est ton ami, j'irai le voir et je lui dirai, "Tu as fait une erreur énorme."
03:10 - Bien sûr.
03:11 - Mais ce n'est pas la peine de le dire. Il a raison, Fabien.
03:13 - Mais ce qu'il faut avoir dans la vie, c'est ne pas défendre, c'est ne pas condamner,
03:15 c'est être juste là.
03:17 En disant, "Ce que tu as fait est épouvantable."
03:19 Mais être là malgré tout. Maintenant, pour une vedette.
03:21 À cause des médias, à cause de nous, leur position est indéfendable.
03:25 Si elles disent, "Je soutiens mon ami Pierre Panade, c'est des monstres."
03:27 Ils ne pensent pas aux victimes.
03:29 - Ça m'avait laissé les abeilles merveilles.
03:31 - Si ils disent, "Je ne le soutiens pas."
03:32 On dit, "Ces salauds, ils le lâchent alors qu'ils lui doivent leur carrière."
03:35 Donc, c'est insoluble.
03:36 Effectivement, je pense qu'il faut ne pas parler.
03:38 Mais si on lui pose une question, dire...
03:40 - Moi, je pense que tu as tort.
03:41 Je pense que quand on ne parle pas, on parle.
03:42 - Non, non, non.
03:43 - Quand on parle, ben...
03:44 - Non, mais moi, je dirais, je suis là.
03:45 Celle qui n'a pas parlé, c'est Véronique Samson.
03:47 La seule dont j'ai vraiment envie d'avoir la vie, moi, c'est Véronique Samson.
03:49 - Oui, mais quand tu...
03:50 C'était la phrase de je ne sais plus qui, mais c'est "prendre part lorsque tu t'es..."
03:53 Quand tu dis rien, ça veut dire que tu prends part.
03:55 Donc, moi, je ne suis pas d'accord.
03:56 - Mais moi, être un ami, c'est être là.
03:57 - Il faut parler.
03:58 - C'est être là à côté.
03:59 - Qu'est-ce que t'es sage.
04:00 J'ai la bombe du PAF, si je puis dire un mot.
04:02 - Merci. C'est moi ?
04:03 - T'es très vieille aujourd'hui.
04:04 - C'est pas moi.
04:05 - Non, Isa !
04:06 - J'ai pas fait un tweet.
04:07 - Isa, ça aurait pu être toi.
04:08 - Ça n'est plus moi.
04:09 - Si, ben...
04:10 - Il est pas mouillé.
04:11 - Non, non, non, non, non.
04:14 - Honnêtement, c'est vrai.
04:15 La raison, Isa, c'est loose, loose, quoi.
04:17 A chaque fois, c'est vrai que là, Julien prend la parole pour dire quelque chose
04:20 qui est tout à fait juste dans le showbiz.
04:21 On le connaît.
04:22 On sait tous qu'à un moment donné, quand on est là, on se fait lécher la grappe
04:24 et que quand on est là, on se fait lyncher.
04:26 Bon, c'est vrai, c'est une banalité, en fin de compte, ce que vous dites.
04:29 Mais c'est la juste vérité.
04:31 Bon, en ce qui concerne Pierre Palmade, quoi qu'il se dise,
04:34 de toute façon, c'est perdant.
04:36 Parce qu'effectivement, voilà, on titre Julien Lepers prend la défense de Pierre Palmade.
04:40 C'est un chiffon.
04:41 Il vient juste dire une espèce de vérité générale qui se passe dans les médias.
04:45 - Oui, mais arrêtez de faire semblant...
04:46 - Non, non, non, non, non.
04:47 - Arrêtez de faire semblant de découvrir la télé.
04:49 La télé n'a pas de nuance.
04:50 - Mais le titre, mais le titre, mais il découvre pas la télé.
04:51 - Julien Lepers, ça fait 50 ans qu'il en fait.
04:52 - Moi, ça fait 25 ans que j'en fais.
04:53 Je sais comment ça fonctionne.
04:54 Voilà.
04:55 Donc, il dit ça fonctionne de cette façon-là.
04:57 Et il a raison.
04:58 Ça fonctionne de cette façon-là.
04:59 - Il a raison.
05:00 Il a raison.
05:01 Il savait qu'on dirait lui, Julien Lepers, en parlant de Pierre Palmade.
05:02 - Mais il a eu raison de le dire.
05:03 - Il fait quoi ?
05:04 - Mais de là à tirer sur l'ambulance.
05:05 - Je sais pas pourquoi il a été interdit, mais il a pas répondu.
05:06 Non comme...
05:07 Tu me rappelles ?
05:08 Je le connais.
05:09 - Il a raison.
05:10 On tire sur l'ambulance en permanence.
05:12 C'est tellement facile.
05:13 Alors là, dans le cas de Pierre Palmade, en plus, c'est du parménie.
05:15 Parce que vu l'histoire, il est indéfendable, le titre.
05:18 - Vous voyez ?
05:19 - Donc, effectivement, tout le monde s'acharne sur lui.
05:20 C'est normal.
05:21 - Je vous donne juste un exemple.
05:22 Il a eu l'accusation de pédopornographie.
05:23 - C'est vrai ?
05:24 - Oui.
05:25 - Rien n'avait été...
05:26 L'enquête ne commençait à peine.
05:27 - Mais oui.
05:28 - Contitrez les médias, mais jusqu'où Pierre Palmade va-t-il descendre ?
05:32 On ne savait rien là-dessus.
05:33 Eh bien moi, depuis 20 ans en tant que journaliste, d'abord de presse écrite, je lutte contre ça.
05:39 Les trucs qui sont jugés avant même que l'enquête soit...
05:41 - Bah bébé, t'es l'enquête B, parce que tu commentes tous les soirs, en bas du coup,
05:43 tu parles.
05:44 - Non, non, non.
05:45 - Je vais lutter contre le fait de juger avant que l'enquête soit commencée.
05:48 - On peut donner son avis aussi.
05:49 - C'est ce qu'on a fait en permanence dans cette affaire.
05:51 - Comme dans plein d'affaires.
05:52 - C'est ce qu'on a toujours fait dans le BDG.
05:53 - On a toujours lâché.
05:54 - Toujours.
05:54 [Musique]

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