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AmusantTranscription
00:00 Je suis parti voir un médecin qui m'a dit que toutes les clopes avant 28 ans
00:03 n'étaient pas comptabilisées.
00:04 Je te jure que c'est vrai.
00:06 Après, c'était 27 euros la consultation.
00:07 Il fallait bien qu'il trouve des réponses.
00:09 Le plus gros bide que j'ai eu sur scène, c'était dans une chicha.
00:16 Ce qui est très dur quand tu fais un bide dans les chichas,
00:18 c'est déjà que tu n'entends que le bruit des brrrrr. Je me suis fait sauver ce soir-là par Albro Ivanov qui était là. Il est monté sur scène avec moi pour m'accompagner dans ce bide. Tout ce que je regarde sur les réseaux est tonteux. J'adore par exemple suivre toutes les histoires after télé-réalité. Je regarde les explications, règlements de compte. Des fois je commence comme ça, partie 1 sur TikTok. Je finis partie 256 les 4 heures du matin.
00:39 Il y en a un qui n'est pas nul, mais qui est dans un délire un peu bizarre et qui m'a fait rigoler. J'ai aimé un freestyle à lui. C'est un mec avec des cheveux longs, des lunettes Lorenzo. Après, je me suis arrêté. Il ne faut pas abuser non plus.
00:49 Il y a des vegans dans la salle par applaudissement. Moi, les vegans, je les encule.
00:53 La boîte à secrets. C'est sur France 2. Ils invitent trois artistes, couvrent une boîte et dedans, il y a un souvenir d'enfance. Après, il y a un mec qui vient chanter pour eux. Après, il pleure et souvent, je pleure. C'est ça le concept.
01:03 Il ne faut pas beaucoup d'idées pour vendre un programme à France Télévisions. J'ai tenté le double contour à l'époque. Je ne sais pas si vous vous rappelez de cette mode dentillée. Il s'agissait de faire un contour et après de refaire un autre contour. Il y avait juste le trait comme ça. J'ai l'impression que le cadreur a déjà tenté cette coupe il y a deux semaines.
01:17 J'adore tout ce qui est kebab, tout ce qui est mal bouffe. J'avais un gros problème avec ça à un moment. Je me suis calmé. J'ai perdu un peu de poids. C'est pour ça que vous ne pouvez cadrer que là. Parce qu'après, en dessous, c'est une autre histoire.