Qui se cache derrière Daddy DJ ? Le secret est enfin dévoilé !

  • l’année dernière
Daddy DJ sont de retour avec un nouveau single nommé "ISSUES" en featuring avec Lunis, disponible le 10 mars. Ceci annonçant l'arrivé prochainement d'un nouvel album nommé "Rendez-vous".

Lien du single : https://orcd.co/ddj_issues

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Fun
Transcript
00:00 Bonjour, je m'appelle Jean-Christophe Belleval, JC du groupe Daddy DJ.
00:04 Donc oui, des souvenirs, plein de souvenirs dans la tête.
00:06 Avant Daddy DJ, qu'est-ce qui a pu se passer ?
00:09 En fait, j'ai fait du piano conservatoire.
00:11 Je dirais, c'est un peu le schéma classique.
00:14 Les produceurs de ma génération,
00:16 donc j'ai appris le piano, un peu de solfège et puis j'ai dû tous les apprendre
00:21 pour faire de l'électro dans les années 90.
00:23 Et puis, donc premier, Maxi Vinyl,
00:25 donc c'était de la disco house avec mon binôme de l'époque.
00:29 On avait créé un groupe qui s'appelait Dial House.
00:31 Et donc, on arrive dans un label qui s'appelle Radical Groove.
00:34 Je rencontre David Caymoun, qui va être mon mentor.
00:37 Je peux le dire comme ça pendant de nombreuses années.
00:38 Qui est un DJ, également produceur,
00:42 qui venait plutôt de la veine Hard House, voire Hardcore.
00:46 Et donc, du coup, il nous propose de signer notre Maxi
00:50 et de le diffuser à plus grande échelle.
00:51 À l'issue de cette collaboration,
00:53 on enchaîne sur un remix pour le groupe Dead or Alive.
00:56 Puis, la suite de ça, pas mal de remixes.
00:59 Jandy, Dj Dagostino également.
01:01 Donc ça, pendant deux, trois ans.
01:02 Et puis, à un moment donné, je sollicite mon étudiant David Leroy,
01:06 qui est en troisième année ISTS, donc à l'ESRA.
01:08 Donc là, on est en 99.
01:10 Et je lui dis, tiens, écoute du son sur Voltage, sur FG, sur Fun,
01:14 sur toutes les radios qui diffusent de la dance à l'époque.
01:17 Et je dis, fais moi une prod dans le style.
01:19 Et donc, il compose David DJ.
01:21 Donc, on produit ça ensemble.
01:22 Je corrige sa voix avec un autotune, le célèbre,
01:24 ce qui est assez récent pour l'époque.
01:26 Et puis, on fait écouter au producteur.
01:28 Donc, David Kemoun.
01:29 Donc, nous, dans l'idée, on lui fait écouter en se disant,
01:31 voilà, ce sera à faire chanter par une chanteuse,
01:33 parce que David n'était pas chanteur.
01:34 Donc là, en fait, on fait écouter au producteur et qu'il nous dit,
01:38 ben non, ne touchez à rien.
01:39 Et ça sort, ça sort rapidement.
01:49 On va faire très vite une première scène aux Amix,
01:52 qui sera la scène de M6 avec le...
01:56 Comment ça s'appelle ?
01:57 Avec la citrouille, là.
01:58 -Halloween. -Halloween.
02:00 Donc, c'est la première Halloween party de M6.
02:03 Donc, on se retrouve parachuté sur scène sans préparation.
02:06 Et ça a été vraiment une sensation assez incroyable.
02:09 Donc après, tout va s'enchaîner.
02:11 Il va y avoir un clip en dessin animé.
02:12 En plus, c'est à la mode à ce moment-là.
02:14 Donc, ça prend énormément.
02:16 Le dessin animé, ça permettait de se cacher un peu derrière cette image.
02:20 David DJ, on a été exposé en tant qu'artiste.
02:24 C'était accidentel, en fait.
02:25 Ce n'était pas voulu.
02:27 Même si c'était très intéressant, très enrichissant.
02:29 Mais c'est vrai qu'on est plus à l'aise quand même en étant en studio.
02:34 Et quand on produit, quand on compose,
02:36 on commence déjà à être dans les premiers, au top 50 de l'époque.
02:40 Et donc, c'est signé pour le monde, la distribution, le monde Sony.
02:43 Et là, c'est parti.
02:44 On était number two en France,
02:46 et puis on va être number one dans plein de pays.
02:49 Et puis, arrive à chaque fois, en fait,
02:51 ce qui est intéressant avec David DJ,
02:52 c'est que c'est une compo, en fait, intemporelle
02:55 et qui, je pense, n'a pas forcément de frontières non plus.
02:57 Et on a eu droit à Bass Hunter dans les années 2006-2008.
03:02 Il avait fait une première version en suédois et puis il l'a faite en anglais,
03:06 ce qui nous a valu d'être numéro un en Angleterre.
03:08 Et puis, de proche en proche,
03:10 on se retrouve avec Gabri Ponté qui redemande une adaptation de David DJ,
03:15 qu'on accepte. Et puis, voilà, de nouveau, Disque d'or en Hollande.
03:19 On est à 60 millions de streams,
03:20 on est souvenir, beaucoup de radio aussi.
03:22 Et puis, c'est pareil, encore un petit côté assez universel.
03:25 Souvent, ce qui est rigolo, c'est que c'est souvent des plus jeunes
03:28 ou des proches qui disent "Tiens, il y a un truc qui est sorti,
03:30 t'as vu, c'est une reprise de David DJ".
03:32 T'es arrivé sur certaines oeuvres, on dit "Tu ne trouves pas que ça ressemble
03:35 quand même beaucoup ?"
03:36 Ouais, ça ressemble beaucoup.
03:37 Après, on ne peut pas reprocher à l'inconscient collectif ou individuel
03:41 d'avoir en mémoire, en fait, une mélodie qui a traversé autant d'années.
03:44 Du coup, on va sortir un deuxième single qui va aussi avoir son lot de succès.
03:47 Un troisième plus l'album avec un disque de diamant, notamment,
03:51 "La Clé pour la France".
03:51 Et puis, après, on fait un deuxième album, on rechange des hitters.
03:54 Et puis, en fait, c'est là où je rencontre Pierre-Alex.
03:57 Donc, je vous présente mon nouveau collaborateur pour David DJ,
04:00 un ancien élève.
04:02 L'histoire se répète.
04:04 Donc, petit à petit, il m'a confié leur deuxième album à distribuer.
04:09 Moi, je m'intéressais, je me suis toujours aussi intéressé à ça en parallèle,
04:12 c'est-à-dire l'aspect industrie musicale et l'aspect artistique.
04:15 Suite à ça, on a continué à faire pas mal de musiques,
04:18 pas mal de projets avec Jean-Christophe.
04:20 Et chose faite en 2016, puisque suite à un an de travail
04:23 avec une jeune artiste libanaise, Jen Sarkis,
04:25 on a fini par signer le projet chez Parlophone.
04:28 Donc, on n'a pas eu le choix que de se structurer en label de production
04:31 d'un côté et société d'édition de l'autre.
04:34 C'est vrai que t'as démarré manager, en fait.
04:37 T'étais l'agent avec nous et puis après t'es devenu...
04:40 Voilà, c'est ça.
04:40 Parce qu'en fait, le côté Pierre-Alex, ce qui est intéressant,
04:43 qu'il ne va pas me dire, c'est qu'il est vraiment multitâche.
04:46 Et c'est vrai que le rôle qu'il a, pour moi, il est important.
04:50 Il complète toutes les cases qui manquent chez moi, en fait,
04:53 en termes aussi bien artistiques, techniques,
04:55 parce qu'en fait, c'est Pierre-Alex qui gère les prises de voix, par exemple.
04:59 Il va aussi y avoir souvent des idées de compo.
05:01 On a un duo, quelque part,
05:03 qui, je pense, est assez efficace, parce qu'il y a une complémentarité.
05:08 Pour revenir à Jen Sarkis,
05:09 voilà, donc, premier projet signé en major.
05:12 Ensuite, c'est enchaîné, donc, elle et lui,
05:14 en coproduction avec Twin Music et Roberto,
05:17 qui nous a donné le coup de pouce quand même,
05:18 à l'époque, sur Virgin Radio, en tant que programmateur.
05:20 Et le moment est venu, en tout cas, de relancer Daddy DJ.
05:26 Ça a commencé à mûrir pendant le confinement,
05:30 puisqu'avec Jean-Christophe, c'est vrai qu'on a dépensé beaucoup d'énergie
05:33 et avec un grand plaisir sur des projets francophones.
05:35 Et donc, on s'est dit qu'on allait refaire naître le projet Daddy DJ,
05:40 plus sous un aspect collaboratif,
05:42 même s'il se peut que David, sur certains titres, rechante.
05:46 Mais avant tout, que ce soit collaboratif
05:48 ou aussi faire profiter à des jeunes talents.
05:50 Donc, c'est pour ça que ce premier single,
05:53 on peut vous l'annoncer en exclusivité,
05:55 donc, ce sera avec le duo LUNIS,
05:57 qui est composé de Lorraine Bourbon et Louis Mével.
06:00 Pareil, on est tombé complètement amoureux de sa voix,
06:03 humainement aussi, avec eux deux, ça a tout de suite matché.
06:07 -Ils produisent comme nous, en fait.
06:08 -Ils produisent comme nous, c'est simple.
06:10 -Ils essaient de pas se rendre pleines, mais en même temps,
06:11 c'est pas facile. -Il n'y a pas d'égo.
06:13 Comme on a rencontré LUNIS,
06:15 ils ont un autre projet qui s'appelle NITONA.
06:18 Qui est surtout un projet de cover.
06:20 Et donc, elle a pour habitude de faire un a cappella
06:22 et de mettre à dispo sa voix à différents DJs, producteurs, etc.
06:27 Et donc, peu avant les fêtes de fin d'année,
06:30 on entend "Daddy DJ" en a cappella.
06:33 -"Daddy DJ, please take me to the party
06:36 and let me dance along until the lights are on."
06:39 -On est tombé sous le charme complet avec Jean-Christophe.
06:41 Donc, de là, on les a tout de suite contactés,
06:43 puisqu'on avait un titre qu'on a produit aussi il y a quelques mois,
06:47 en pensant que ça allait être marqué "Daddy DJ" ou pas.
06:49 Donc, on leur a proposé le titre, ils sont tout de suite adhérés.
06:51 Et donc, ça sera le premier single qui sortira le 10 mars.
06:55 Enfin, qui va annoncer officiellement le grand retour de "Daddy DJ",
06:57 avec, on espère, un album à la clé.
06:59 -On peut donner le nom de l'album, du coup.
07:01 -On peut donner le nom de l'album, même si ça peut encore changer.
07:04 -C'est bien.
07:05 -C'est tout simplement un rendez-vous,
07:07 puisque ça va être un rendez-vous avec des artistes qu'on kiffe, tout simplement.
07:10 Mais ça sera aussi de nouveau un rendez-vous
07:13 avec la communauté "Daddy DJ" qui nous suit maintenant depuis quelques années.
07:16 Pour nos propres prods, j'aime pas trop revenir, reouvrir un vieux dossier.
07:19 Ça peut partir d'un instru de Pierre-Alec,
07:21 ça peut partir d'un instru à moi,
07:23 ça peut partir d'un truc qui nous est proposé par des...
07:25 Là, on a eu un des Suédois, là,
07:27 qui nous ont proposé de faire une collaboration.
07:29 Mais c'est vrai qu'il y a pas forcément de recette miracle,
07:31 c'est plus pareil, sans se prendre le chou et la tête.
07:34 Après, en termes de workflow,
07:36 on est aussi avec d'autres ingestions extérieures,
07:39 notamment pour le mix,
07:40 puisqu'on... si on regarde bien les crédits sur les prods internationales,
07:43 ils sont rarement deux, donc...
07:45 ils sont plutôt proche d'une dizaine.
07:47 Donc, pour rivaliser, il faut aussi...
07:50 il faut qu'on ait des forces complémentaires.
07:52 Et donc, on a trouvé déjà avec Michael Buence,
07:55 un ingestion qui est émérite, réalisateur.
07:58 Et puis Bruno Gruelle, qui est ingestion mastering.
08:02 Donc, il y a aussi cet aspect-là.
08:03 C'est-à-dire qu'on a autant une volonté de collaboration purement artistique,
08:07 mais également une collaboration technique.
08:09 -C'est assez drôle. Alors là, je vais faire la règle des trois mots,
08:12 puisqu'à priori, c'est un bon outil pour pouvoir...
08:15 comment dire ?
08:16 Donc, décrire un projet, donc, tout simplement,
08:18 donc...
08:19 je dirais "éminent",
08:21 "pop" et "énergie".
08:23 -Moi, je dirais "up-tempo",
08:26 "bleu"
08:27 et...
08:29 et "touchant".
08:32 ...
08:47 ...
08:48 ...
08:50 ...
08:51 Merci à tous !

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