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00:00 personnalité face à laquelle vous n'êtes pas pressé de refaire une chronique.
00:03 - Wow ! - Il y en a plein !
00:05 - Il y a votre grande amie Christiane Taubira. - Oui parce que je pense que l'humour c'est une
00:10 fréquence et je pense qu'on n'est pas sur la même fréquence avec Christiane.
00:15 - Vous n'êtes pas connecté. - Non, elle s'emmerde quand je fais mes chroniques.
00:20 - Je l'ai vu deux fois. - En radio, mais elle était comme ça.
00:25 Mais vraiment avec tout l'ennui du monde, il y avait un peu de pitié pour moi, il y avait de la
00:32 condescendance d'entendre un texte aussi merdique. Mais voilà, mais rien sinon.
00:37 - Il y en a un autre, excusez-moi, qui préfère prendre le train pour aller en Alsace.
00:40 - Oui il part en Alsace, Nicolas Dupont. - Nicolas Dupont !
00:43 - Il a dit "Vous êtes dans l'oeil de Philippe Cabrivert".
00:46 - Non, je prends le train pour aller en Alsace. - Je pars en Alsace.
00:50 - Et là j'entends les auditeurs qui m'envoient toutes les captures d'écran des trains pour
00:59 l'Alsace. Ça ne marchait pas, il n'y en avait aucun qui était à 9h.
01:03 - Oui, il avait inventé un typo pour pouvoir vous fuir.
01:06 - Le premier c'était 10h44. - Non, ça ne l'amuse pas du tout, Nicolas.
01:09 - Et vous Bertrand Chameroy, des invités à qui vous avez du mal à décrocher un sourire et qui
01:14 se concentrent davantage sur ce qu'ils sont en train de manger que sur ce que vous dites,
01:16 ça arrive parfois ? - Oui, ça arrive parfois.
01:19 Il y en a un, je ne peux pas dire son nom parce qu'il va bientôt revenir.
01:23 Je vous donne un indice, vous verrez, c'est un acteur français qui regardera le plafond.
01:29 - Moi aussi, je suis beau gosse. - Si vous le savez, vous êtes faux cul, dites-le.
01:33 - Il est beau gosse. - Donnez-nous un indice, bande de faux cul.
01:36 Vous savez tous, vous ne pouvez pas le dire. - Mais non, mais c'est un petit jeu de piste
01:38 que je crée avec les invités. - Vous verrez, il reviendra prochainement.
01:41 - On ne se décourage pas dans ce cas-là quand on voit que ça ne prend pas et qu'on sent qu'on
01:44 s'enlise un peu, on arrive à maintenir le cap quand même ?
01:47 - Depuis cet invité, parce qu'avant j'essayais de chercher un peu de soutien dans le regard
01:50 des invités, j'essayais toujours d'avoir une petite complicité, un eye contact avant
01:53 la chronique pour essayer de me les mettre un peu dans la poche, mais maintenant je ne
01:57 compte plus sur les invités.
01:58 S'ils se marrent, tant mieux, et là j'y vais, mais sinon je reste focus sur la caméra
02:02 et sur mes camarades Anne-Elisabeth, Pierre, Patrick, moi.
02:06 - Oui, pour le coup, vous pouvez compter sur elle, elle est votre première fan, elle vous
02:09 accompagne.
02:10 - Mais c'est un rêve quand on est chroniqueur d'avoir une animatrice qui soutient à ce
02:14 point-là et elle ne se force pas.