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“ En retournant au village avec 5000 FCFA pour produire le gari, mon père a cru à un envoûtement” : Voici le parcours inspirant de Christophe Sossoukpoué, promoteur du “Gari Tchigan”

Voilà trois ans qu'étudiant en informatique, Christophe Sossoukpoué a troqué les tournevis et fil conducteur électrique des salles de cours contre les champs de manioc pour en sortir du gari. Retourné dans sa ville natale, Lokossa, avec seulement 5000 FCFA, il produit du gari amélioré: “Gari Tchigan”. Commercialisé à Cotonou et environ, il s'en sort aujourd'hui avec un chiffre d'affaires de plus d'un million de francs CFA.

« Mon papa n'a pas du tout aimé l'idée. Comment lui il va dépenser son argent, son économie dans quelqu'un qui revient pour dire que c'est ce que les bonnes dames du village font qu'il veut faire ? »

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