Manchester City - Guardiola défend Haaland : "Avant-centre, le poste le plus difficile du monde"

  • l’année dernière
Pep Guardiola est revenu sur la période de méforme relative de son avant-centre, Erling Haaland, et surtout du peu de ballons touchés par le Norvégien lors du match à Leipzig.

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Transcription
00:00 Pep, sur Haaland, pensez-vous que quand il ne score pas, les gens sont trop fixés sur le nombre de touches qu'il a dans un match ?
00:08 C'est notre faute.
00:10 Collectif ?
00:13 Oui.
00:14 Pas Erling, il a été impressionnant toute la saison.
00:19 Mais est-ce une bonne métrique ?
00:21 Non, ce n'est pas une métrique. Je n'ai pas besoin de métriques pour savoir combien...
00:26 Donc quand j'ai terminé le match, une seconde plus tard, je sais s'il était impliqué ou pas.
00:34 Et qui devrait être plus impliqué ou pas pour la défense de l'Opening. Je n'ai pas besoin de nombres et de métriques.
00:41 Je sais exactement.
00:42 Je sais exactement.
00:44 Dans le dernier match contre Nottingham, vous avez raison.
00:47 Et Nottingham non.
00:48 Et Arcelor non.
00:50 Donc ne faites pas un match comme si vous aviez fait une théorie.
00:55 Parce qu'il avait des chances contre Nottingham dans la première et la deuxième partie.
00:58 Mais bien sûr, il faut...
01:01 Et ça va améliorer.
01:03 On en a parlé beaucoup de temps et ça va arriver.
01:07 Stryker est la position la plus difficile du monde.
01:10 Parce qu'il y a deux joueurs qui se concentrent sur lui et qu'on a plus d'extra.
01:16 Donc ce n'est pas facile.
01:18 Donc je voudrais voir dans mon temps, les Strykers que nous avons.
01:24 Comme Sergio ou Gabriel, quand ils jouent un Stryker, non pas 9 ou plus, de différentes façons, combien de balles ils touchent.
01:30 Je ne sais pas, je n'ai pas de statistiques, mais toujours, il n'est pas "joue le ballon Stryker, joue le ballon Stryker, joue le ballon Stryker".
01:38 Comme ça s'est passé contre Arsenal, parce que c'est un jeu pour les hommes, il faut jouer plus de ballons.
01:42 Donc notre processus est plus.
01:44 Et la dernière action est là.
01:46 Mais même avec ça, il faut toujours, quand je vois, où est-il ? Où est-il ? Où est-il ?
01:51 Et normalement, en ce dernier match, je suis d'accord avec vous, nous ne l'avons pas fait.
01:54 Parce que je dis aux joueurs qu'ils doivent avoir plus de contrôle, plus de passes que d'habitude.
01:57 Je ne veux pas les laisser courir.
01:59 Il faut être...
02:00 C'est si intense dans la première partie. Dans la deuxième partie, nous avons baissé un peu.
02:05 Nous n'avons pas corrigé les premiers pas avec le haut de pression.
02:08 C'est pour ça que nous avons un peu de difficulté.
02:11 Et ça a provoqué à défendre plus profondément.
02:14 Et la qualité qu'ils ont, l'élixir qu'ils ont, vous souffrez.
02:18 Mais oui, vous avez raison. Dans ce match, nous devrions en regarder un peu plus.
02:22 Mais dans les derniers, je n'avais pas ce sentiment.

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