Talk Show partie 2 : l'Europe des regrets ?

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00:00 Le robe des regrets, pourquoi le robe des regrets ? Simple question, tu as le droit
00:09 de me répondre non.
00:10 Dunia, je sais que tu l'as fait aussi.
00:12 On a regardé les 4 matchs qui se sont disputés en Ligue des Champions.
00:16 Dis-moi ton analyse sur les 4 matchs, qu'est-ce que tu en as pensé ?
00:19 Tu as vu tous les matchs déjà ?
00:22 Oui.
00:23 Le seul match que j'ai apprécié c'est Dortmund.
00:25 C'est la seule équipe que j'ai appréciée d'ailleurs.
00:27 Bayern PSG, ce n'était pas un match digne de Champions League, comme tout le reste d'ailleurs.
00:32 Milan c'est pareil.
00:33 Il y avait Benfica Brugge pour le dernier match.
00:36 Benfica Brugge, je ne l'ai pas vu.
00:40 Les 3 autres, j'ai regardé.
00:41 Ce n'est pas des matchs dignes de Ligue des Champions.
00:44 Donc oui, quand tu vois le niveau actuel de l'équipe, tu te dis "mais comment on en
00:50 est arrivé là ?" Donc oui, il y a des regrets, mais par ailleurs, il fallait de la préparation.
00:55 Donc d'un certain point de vue, il y a des regrets et d'un autre point de vue, non,
01:00 parce que si c'est pour en arriver là et battre le PSG en Coupe de France, donc non,
01:05 il n'y a pas de regrets.
01:06 Tu veux dire que les objectifs qui ont été créés récemment compensent ta déception ?
01:10 Exactement.
01:11 C'est toujours, tu te projettes.
01:14 Mais là, vous vous êtes assis devant le canapé, vous n'êtes pas dimanche.
01:16 C'est différent.
01:17 Ce que dit Dunia, c'est pertinent.
01:20 C'est-à-dire qu'on ne sait pas le mercato qu'on aurait eu.
01:22 On ne sait pas si le vexetier n'aurait pas explosé.
01:24 On n'aurait peut-être pas joué de la même façon contre le PSG si on avait un autre
01:28 objectif.
01:29 Peut-être que Tudor aurait pensé aussi à la Ligue des champions.
01:32 Donc on ne peut pas se projeter dans ce sens.
01:36 En revanche, ce qui est hallucinant, c'est Milan-Tottenham.
01:39 Pour moi, quand tu regardes le match du Vélodrome ou M-Milan, on a l'impression qu'il y a
01:44 deux ou trois classes d'écart entre le M et Milan.
01:48 À l'été, il y a deux ou trois classes d'écart.
01:51 Et quand tu regardes l'équipe du Milan aujourd'hui, tu as l'impression que tu peux les taper.
01:54 Tottenham, on a vu qu'on était supérieur à eux même si on a perdu deux fois.
01:57 C'est mon avis.
01:58 Parce que là-bas, à 11 contre 11, tu les tues et après tu es expulsé M-Milan.
02:03 Et tu prends deux buts.
02:04 Tu les tues.
02:05 Tu les tues.
02:06 Ils ne te font pas peur.
02:07 Ils ne m'ont même pas du tout impressionné.
02:09 À la mi-temps, tu dois mener.
02:11 Au retour, tu mets un 1-0 à la mi-temps.
02:13 Tu les as tordus.
02:14 Sur quelle occasion tu dois mener ?
02:15 Il y a plein de situations.
02:16 Tu regardes au rang de Genndouzi.
02:19 Et tu joues sans Sanchez.
02:20 Et tu joues sans Sanchez.
02:22 Il n'y a rien pour moi à Tottenham.
02:26 Ils ont Harry Kane qui peut…
02:28 Mais au Vélodrome, il n'a rien fait.
02:30 Tu les as tordus.
02:31 Tu mets un 1-0.
02:32 Tu as cette tête de Colasinac.
02:34 Milan, là, franchement, ça n'a rien à voir.
02:37 Moi, quand je vois l'OM d'aujourd'hui, je vois Benfica, Bruges, Milan, je me dis
02:43 qu'on avait notre place.
02:44 Donc oui, des regrets.
02:45 Mais je reviens à ce contexte, ce que disait Dunia, que tu ne sais pas comment ça serait
02:50 passé si tu étais allé en huitième de finale.
02:53 Ton avis sur tout ça ?
02:54 Mon avis, c'est que la Ligue des Champions, ça se travaille au fil des années.
03:01 Je sais qu'on est dans une période de culture de l'instant totale.
03:04 Mais pour moi, tu deviens bon en Ligue des Champions quand tu y es tous les ans.
03:10 Ce qu'on n'a pas réussi à faire pendant 10 ans, ça a été très compliqué.
03:15 Une qualification tous les 6-7 ans.
03:17 Donc c'est compliqué.
03:19 Ça fait deux ans.
03:20 Là, si on continue à se qualifier, je pense que ça va aller de mieux en mieux.
03:26 Et si on réussit à garder cette haussature et à chaque fois rajouter une ou deux recrues
03:31 intéressantes, je pense que petit à petit, on va réussir à se qualifier en huitième
03:36 et ainsi de suite.
03:37 Et retrouver ce qu'on avait un petit peu au début des années 2000, peut-être un
03:44 peu avant.
03:45 Après 2010, avec l'équipe, avec Ainszö, etc.
03:49 Des champs.
03:50 Des champs.
03:51 Et de chapeau 2.
03:52 Et voilà.
03:53 Ouais, et de chapeau 2.
03:54 Là, on avait des chapeaux 4.
03:55 On a eu de la chance parce qu'on est un peu tombé sur...
03:58 Il y a des regrets aussi.
03:59 Oui, sur ça.
04:00 Bien sûr, tu as des regrets.
04:01 Mais la vérité...
04:02 Ça se joue à une tête de Colasinac, les gars.
04:03 Enfin, les filles, pardon.
04:04 Ça ne se joue à rien.
04:05 Mais regarde, au final, cette tête de Colasinac ratée, est-ce que ça n'a pas donné un
04:09 nouveau Colasinac ?
04:10 En fait, je ne comprends pas.
04:11 Je ne comprends pas, Romain, comment tu peux dire.
04:14 Ça se joue à une tête de Colasinac.
04:16 Mais je te fais le même raisonnement à chaque fois sur les pénaltis, les trucs comme ça.
04:19 Tu me dis, il y avait pénalty.
04:20 Je te dis, ce n'est pas sûr qu'on le met.
04:21 Je ne comprends pas comment tu peux dire.
04:23 Ça se joue à une tête de Colasinac, sachant qu'il marque derrière.
04:27 Mais non, Romain.
04:28 Là, tu as buggé.
04:29 Là, tu as buggé.
04:30 Là, tu as buggé.
04:31 Là, tu as buggé.
04:32 On est rien gagné.
04:33 On est rien gagné.
04:34 Il y a des têtes à la 99e.
04:35 Réponds-moi.
04:36 Réponds-moi.
04:37 Tu l'as vu, le but de Tottenham ?
04:38 Non, je ne l'ai pas vu.
04:39 Non, mais j'étais prêt à le dire.
04:40 Il y a combien de défenseurs de l'OM sur cette action qui sont en place ?
04:41 Non, mais on est tous devant.
04:42 Romain, arrête.
04:43 Tu sais très bien que si tu mènes un zéro, tu ne défends pas comme ça sur cette action.
04:44 Non, mais Bemba le dit.
04:45 Non, mais c'est chaud de le dire ça.
04:46 On ne nous a pas dit qu'on était qualifiés en Europa League et c'est pour ça qu'on est
04:47 tous montés devant.
04:48 C'est pour ça qu'Emile Heuilberg, il t'a nettoyé la lucarne.
04:49 Non, mais d'accord.
04:50 Mais tu as raison.
04:51 Tu sais la mettre.
04:52 Pas de souci.
04:53 Non, mais à un moment donné, on aurait pu se dire, Tottenham, on aurait dû gagner,
05:09 on aurait pu se dire et à ce moment-là, j'ai envie de vous dire, écoutez-vous les
05:10 chroniques de Julien Cazard et compagnie, vous allez totalement vous reconnaître dedans.
05:11 Le seul truc que je vous dis…
05:12 C'est la 88e minute du match, Colasinac Romain.
05:13 Ça se joue à un coup de tête.
05:14 C'est factuel.
05:15 C'est l'expérience.
05:16 C'est l'expérience.
05:17 C'est ce qui fait que pendant des années…
05:18 Ça change.
05:19 Ça change.
05:20 Ça change.
05:21 C'est ce qui fait que pendant des années, tu as des équipes françaises qui disaient
05:24 « Ah, on mérite, mais c'est les Italiens qui passent ». Et ça a duré les années
05:28 70, années 80, années 90.
05:29 Oui, mais c'est l'expérience.
05:30 Je ne te dis pas que ce n'est pas l'expérience qui fait raté le coup de tête, mais ça
05:33 joue quand même factuellement à un coup de tête de Colasinac.
05:35 Romain, tu es d'accord sur le fait que ce sont les faits à la mi-temps de la dernière
05:40 journée, à la mi-temps de la dernière journée, tu es en huitième de finale.
05:44 Sur ce point, tu es obligé d'être d'accord sur les faits.
05:46 Même pas si tu n'es pas premier de la première.
05:47 Ça veut dire quand même que malgré tout, malgré ce que tu dis, la France des années
05:52 80, on était quand même tout près.
05:54 Comme dans les années 90, c'était toujours pareil.
05:57 Tu étais tout près de les sortir Nantes, tu étais tout près de sortir la Juve.
06:01 On peut le faire pour tous les clubs.
06:02 Je pense que tu exagères un petit peu, étant donné qu'on a deux occasions énormes avec
06:07 Sanchez et Colasinac en fin de match.
06:09 Tu sais très bien que si tu mènes deux à un, tu fermes boutique derrière.
06:12 Je me suis fait le même consacre.
06:14 J'ai regardé Milan-Tottenham, je n'ai pas regardé tout le match.
06:17 Je me suis fait le résumé.
06:18 Tu n'as pas des regrets ?
06:19 J'ai vu Emerson Royal sur l'occasion.
06:21 Ils sont nuls.
06:23 Je me suis dit mais qu'est-ce qu'ils sont nuls ?
06:25 Je me suis dit mais tout en étant nuls, ils ont mis contre nous les ingrédients pour
06:30 passer.
06:31 Ce que dit Kemmler, c'est très pertinent.
06:32 Ce que dit Kemmler, c'est qu'on était à la rue quand on était dans le groupe de
06:36 Chelsea.
06:37 On avait été lamentable.
06:38 Chelsea, City, Covid ou pas.
06:42 Là, on a été, pour moi, on fait une campagne très correcte et donc on progresse, quel
06:48 que soit le groupe.
06:49 C'est vrai qu'on avait un groupe pas trop difficile et que l'année prochaine, si
06:53 on y est, évidemment, ça fera du bien l'expérience.
06:56 Mais je suis désolé quand je vois les équipes.
06:59 T'imagines si tu as Tottenham et Francfort encore.
07:01 Tu te dis, on avait quelque chose à faire.
07:05 Surtout vu les prestations que l'on fait actuellement et le groupe qu'on a.
07:09 Et le niveau mental de la plupart des équipes qui sont pour la plupart en crise.
07:13 Tu prends les équipes une à une, ils sont tous soit en difficulté.
07:16 Bruges, ils n'ont pas gagné un match sur les douze derniers.
07:18 Milan, ils sont retombés dans leur travers.
07:21 Ça, juste parce que je l'ai entendu aussi sur le Bruges.
07:23 Je veux dire, Bruges, maintenant, ils sont nuls.
07:26 À l'époque de la phase de poule, ils volaient.
07:29 Je pense qu'on les joue à l'époque de la phase de poule.
07:33 On joue Bruges en novembre.
07:34 On s'en prend trois ou quatre.
07:35 Sur l'échelle du jour, on devait gagner un match.
07:39 Ils sont favoris.
07:40 Si tu regardes à chaque fois les huitièmes, on retrouve souvent les mêmes équipes.
07:44 Et même quand c'est des équipes qui vont mal.
07:45 Ça veut dire que même tu prends des périodes où le Réal, ça ne va pas.
07:49 Le Réal, ça va quand même en quart, en demi, etc.
07:51 Et en fait, c'est cette expérience-là, la Ligue des champions, comme le Bayern, comme la Juve.
07:57 Pas cette année, mais en fait, c'est cette expérience-là.
08:01 Et encore, même si l'année prochaine, on arrive à ne pas passer les poules,
08:07 si on se qualifie en Ligue des champions, et je l'espère,
08:09 ça dépendra.
08:11 Pour moi, on aura encore passé une étape.
08:13 Je sais que les gens veulent que voilà le grand Wem de qualification.
08:16 Mais je reprends 90.
08:17 Je te suis.
08:18 90, on se fait voler en demi-finale.
08:20 91, on se bat en finale.
08:23 On perd en pénault.
08:24 L'année d'après, c'est un accident contre Prague.
08:27 Et l'année d'après, tu gagnes.
08:28 Donc, ce que tu dis, si tu veux, évidemment, chaque campagne te sert.
08:32 Et ce soir, Dounia, il y a des matchs aussi.
08:34 Est-ce qu'il y a des regrets sur ce soir ?
08:35 Sur l'Europa League, ce soir.
08:36 Ou est-ce que l'Europa League, pour le moment...
08:37 Pour moi, les regrets, ils sont là.
08:38 Ah ouais ?
08:39 Non.
08:40 Parce que pour moi, s'il y a un truc où je n'ai pas de regrets, c'est l'Europa League.
08:42 Ouais, moi, je n'ai pas de regrets pour l'Europa League.
08:43 C'est ce qui nous reste.
08:44 Mais on y vient Romain.
08:45 Vas-y, Dounia.
08:46 Je n'ai pas de regrets pour l'Europa League.
08:47 Moi, c'est la Champions League.
08:48 Et justement, quand je vois l'effectif actuel, le football qu'on propose actuellement, je
08:53 me dis que je préfère jouer la Coupe de France à fond et la qualification en Champions
08:57 League.
08:58 Et proposer un football similaire à ce qu'on propose actuellement à ce stade de la compétition,
09:03 donc de la Ligue 1, en Champions League l'année prochaine.
09:05 Attention, il y a du monde en Europa League.
09:07 Aussi.
09:08 Il y a de belles équipes aussi.
09:09 Et la vérité, moi, j'aurais aimé la jouer.
09:11 Parce qu'il y a des gros clubs et on sait très bien comment l'engouement peut se faire
09:15 à Marseille.
09:16 Tu fais quart de finale, demi-finale.
09:17 Je préfère focuser sur le championnat, sur la Coupe de France et travailler encore plus.
09:25 Parce qu'il faut le rappeler, Tudor est arrivé ces six ans.
09:27 Romain et puis Michel.
09:28 Pardon Michel.
09:29 Tu me dis que tu as des gros regrets.
09:30 Tu n'as pas peur que ça aurait pu condamner les deux derniers objectifs ? Parce qu'on
09:35 sait que c'est neuf matchs pour aller au bout de l'Europa League.
09:38 C'est une question.
09:39 Le fait de les jouer, de jouer la compétition, de voir un peu, d'avoir une confrontation
09:44 qui peut être un peu sympa.
09:46 Je ne crache pas sur des matchs en plus parce que j'aime bien l'Olympique de Marseille.
09:51 J'aime bien regarder le football.
09:52 J'aime bien voir ce qu'on peut donner.
09:55 On ne sait jamais.
09:56 On n'est jamais à l'abri d'eux, vivre un truc sympa.
09:58 Après, sur la Ligue des champions, je n'en démords pas.
10:00 On s'est manqué.
10:01 C'est une erreur.
10:02 Pour moi, il y avait la place.
10:03 Si c'est pour dire qu'il y avait la place, il y avait la place.
10:06 On l'a raté.
10:07 Maintenant, on l'a raté.
10:08 Et comme on dit…
10:09 En fait, tu es d'accord avec nous.
10:10 Tu as juste voulu nous défoncer tout à l'heure.
10:13 Ce n'est pas ça.
10:14 C'est des formulations de dire que ça s'est joué à rien.
10:17 On ne sait jamais dans le football.
10:18 Il y a des matchs.
10:21 Va parler aux Bayern de leur finale contre Manchester en leur disant que ça s'est
10:24 joué à rien.
10:25 Ils vont te dire oui, on a mis un coup franc sur la barre.
10:27 On sait, derrière, ils en ont mis deux.
10:28 Mais voilà.
10:29 Mais Metscholl, non ?
10:30 Je crois que c'était Christian Basler.
10:34 Ah, possible.
10:35 Metscholl, c'est le but.
10:36 Basler qui marque.
10:37 Alors c'est l'inverse peut-être.
10:38 C'est Basler qui marque le coup franc.
10:39 Ils ont après une barre.
10:40 C'est ce très beau et esthétique Carsten Janker.
10:45 Tu ne te souviens pas ?
10:46 Si, bien sûr.
10:47 Ce bel attaquant.
10:48 On s'était chopé avec le patron du Fosseyn en 2018.
10:55 Ah bon ?
10:56 Oui, on s'était chopé.
10:57 Il est dans mon oreille.
10:58 Sur l'histoire de la finale de la Ligue Europa.
11:01 Ah oui, les débats.
11:02 Avec Lyon.
11:03 Donc moi, je persiste à dire qu'il faut jouer à fond et que quand il y a un quart,
11:08 on y va.
11:10 Il faut croquer, manger.
11:11 Comme le dit Romain, c'est trop beau.
11:12 Kamlea a dit, tu t'imagines, on aurait eu un Barça à Manchester, un Arsenal au Vélodrome.
11:16 On y serait allé, mais vraiment avec gourmandise et les yeux ouverts.
11:19 Mais tu t'aperçois quand même que cette année-là, tu finis avec 77 points.
11:24 On l'oublie et on finit quatrième.
11:26 Bouilly, avec les autres, certains qui ont le tendon d'Achille mort.
11:29 Et la saison d'après, elle est difficile.
11:31 On est mort et on perd sur les deux tableaux.
11:34 Donc, comme Dounia, j'estime que là, on a deux tableaux à jouer à fond.
11:40 Il faut vraiment les mordre et j'ai moins de regrets.
11:43 On a de la chance de recréer des objectifs.
11:45 On n'a pas eu…
11:46 C'est ça, c'est exactement ça.
11:47 On a quand même un groupe plus fourni, en fait, je trouve, cette année.
11:50 C'est là où j'ai un peu des regrets parce que je me dis, on a toujours eu des bons.
11:54 C'est méchant de dire ça, mais peut-être un peu faible en sachant que oui, on avait
12:00 13 joueurs vraiment au niveau et là, cette année, on a plus que 13 joueurs au niveau.
12:05 C'est pas parce qu'on est dans cette situation-là qu'on a l'impression qu'on a un bon fournier
12:09 et qu'on pourrait jouer une compétition de plus.
12:11 Anecdote là-dessus, j'en ai parlé un jour avec M'Bia.
12:14 Je lui ai parlé en lui disant, ta charnière avec Djawara, au moment où vous êtes dans le sprint,
12:20 vous êtes pour moi une des meilleures charnières d'Europe et j'aurais voulu voir ce que ça donne
12:26 en termes de compétition européenne.
12:27 Je me suis dit là-dessus et il a eu un petit rire gêné, histoire de me dire, oui, mais
12:31 quelque part, on est sorti de la Coupe d'Europe contre Benfica et tout le monde était très
12:34 content à ce moment-là qu'on sorte.
12:36 C'est peut-être parce qu'on est sorti à ce moment-là des huitièmes que derrière,
12:41 si vous voulez, on appelle Maxence Woll pour lui demander son avis.
12:43 C'est peut-être parce que derrière, on a fait ce sprint-là et qu'ils sont devenus si impressionnants.
12:47 Didier Deschamps, il me l'a dit texto, le doublé en 2010, c'est grâce à l'élimination
12:54 contre Benfica qui t'évite de faire la prolongation à la dernière minute, de battre Lyon la semaine
12:58 d'après.
12:59 Donc voilà, il y a débat là-dessus.
13:00 Ok, passionnant débat.
13:02 Ce n'était pas sûr quand je l'ai lancé, j'étais un peu hésitant.
13:05 En plus, Romain, il m'est rentré dans le direct.
13:07 Je me suis dit, oh là là, peut-être faire un débat un peu.
13:09 Mais bravo, c'est un super débat.
13:10 J'espère que ça vous a plu.
13:11 Dites-nous le sur Twitch également.
13:13 Allez-y, vous pouvez.
13:14 On vous rejoindra sur Twitch à la fin de l'émission.
13:17 Mais la Ligue des champions, l'Europa League, c'est bien beau.
13:21 Ce sera pour la saison prochaine.
13:22 prochaine, là il y a la Ligue 1, le pain quotidien.

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