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00:00 Au fond, Eric Zemmour, je me suis dit en préparant cette interview et en voyant l'arrivée de Volodymyr Zelensky hier,
00:07 cette arrivée surprise à Paris, c'était presque une métaphore pour vous de vous retrouver à devoir commenter
00:13 Volodymyr Zelensky ce matin. La date n'avait pas été choisie en fonction de ça, évidemment, puisque tout ça a été improvisé
00:18 de la part de Volodymyr Zelensky, parce que c'est exactement ce que vous estimez avoir été l'une des raisons de votre échec.
00:27 – D'abord bonjour, en plus j'ai appris que c'était votre fête aujourd'hui. – Tout à fait, c'est la Sainte Apolline.
00:35 – Voilà, bonne fête, chère Apolline. Et pour Zelensky, je ne vais pas recommenter ma présidentielle, je vais le faire d'ailleurs
00:44 dans un livre qui sort bientôt, donc vous voyez, vous n'avez qu'un petit mois à attendre, je sors le 16 mars.
00:49 Et donc vous verrez que j'analyse tout cela, je pense effectivement que la guerre en Ukraine a percuté la campagne
00:56 et qu'elle a détourné la campagne présidentielle de ce qui était pour moi le sens essentiel de cet enjeu
01:06 qui était le grand remplacement de la France. Donc voilà, mais maintenant, je vous dis, on en reparlera plus tard.