C'est Votre Avenir - Émission du 8 février

  • l’année dernière
Retrouvez C'est Votre avenir avec Alexandre Delovane au micro de Trina Mac-Dinh, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##C_EST_VOTRE_AVENIR-2023-02-08##
Transcript
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente.
00:06 Sud Radio, c'est votre avenir. Trina Magdine, Alexandre Delovane.
00:10 Bonjour à tous, bienvenue dans C'est votre avenir. Merci d'être avec nous sur Sud Radio.
00:15 Alors vous êtes peut-être nostalgique, en colère ou même désespéré à cause de votre vie sentimentale,
00:20 familiale ou professionnelle et vous aimeriez savoir si les choses vont s'améliorer à l'avenir.
00:26 Eh bien, c'est possible dans notre émission grâce à notre coach intuitif et médium,
00:30 Alexandre Delovane qui va répondre comme chaque jour à toutes vos questions
00:34 en vous donnant son ressenti et ses conseils. Bonjour Alexandre.
00:38 Bonjour Trina, bonjour à tous.
00:40 Comment allez-vous aujourd'hui ?
00:41 Je vais bien, merci.
00:43 Vous rigolez ?
00:44 Oui, c'est la manière dont vous me posez cette question-là.
00:47 Je trouve qu'elle est très avenante, très bienveillante.
00:51 Je suis toujours comme ça, vous le savez.
00:53 Merci.
00:53 Bon, si vous voulez témoigner à l'antenne et voir les lumières d'Alexandre, c'est très simple.
00:57 Vous nous appelez dès maintenant au 0826 300 300.
01:01 Tout à l'heure, on s'intéressera à la psychogénéalogie avant la superstition du jour et l'ange du jour.
01:07 On démarre avec Alexandra. Bonjour.
01:11 Bonjour Trina, bonjour Alexandre.
01:14 Bonjour.
01:14 Bienvenue.
01:16 Merci.
01:17 Alors, votre ex-belle-fille empêche votre fils de voir son enfant, c'est ça ?
01:22 Oui, c'est ça.
01:24 Elle l'empêche pas, mais c'est compliqué.
01:28 Elle lui laisse quand elle ne peut pas faire autrement.
01:33 Il l'a de temps en temps, mais pas souvent.
01:34 Alors, racontez-nous le contexte pour qu'on comprenne bien.
01:38 Alors, ils se sont séparés après la naissance de la petite.
01:42 Elle avait 6 ou 7 mois.
01:46 L'hiver 2022, décembre 2022.
01:51 Ils se connaissaient depuis pas mal de temps, mais ça ne marchait pas.
01:54 Leur couple n'était pas serein du tout.
01:58 Et donc, la petite est arrivée et puis ça n'a pas marché.
02:03 Ils se sont quittés.
02:06 Voilà.
02:07 Et donc, par la suite ?
02:09 Et par la suite, le problème, c'est que Maxime demanderait à avoir sa petite fille plus souvent, plus régulièrement.
02:18 Et voilà, il ne l'a pas.
02:23 Mais ils se sont séparés ?
02:24 On aimerait bien savoir si ça va s'améliorer, mieux se passer entre eux.
02:31 Voilà.
02:32 Quand vous dites que ce n'était pas serein, leur relation, c'est-à-dire qu'est-ce qui n'allait pas exactement ?
02:37 Sur quel point ?
02:39 Ils ne s'entendaient pas.
02:41 Ils revenaient souvent énervés.
02:48 Je ne sais pas, ils ne s'entendaient pas.
02:51 On n'a pas voulu mettre trop le nez dans leur petite affaire.
02:54 Mais leur travail, peut-être, qui ne se conjuguait pas, leur emploi du temps, voilà.
03:06 Donc, ils ont fait ça comme un accord, au final ?
03:09 Ils se sont quittés ?
03:10 Non, pas vraiment.
03:12 Maxime, il semblerait qu'elle l'ait plus ou moins fait partir, parce qu'elle l'a poussé un petit peu à bout.
03:21 D'accord.
03:22 Et c'est une fille qu'ils ont eue, c'est ça ?
03:26 Oui.
03:26 Leur fille, elle avait quel âge quand ils se sont séparés ?
03:29 6 ou 7 mois, c'était en décembre 2022.
03:33 D'accord.
03:34 Et donc, dès la séparation, votre ex-belle-fille a refusé qu'il voie sa fille ?
03:40 Pas totalement.
03:41 Non ?
03:42 Pas totalement, parce que bon, oui, mais quand ça l'arrange, voilà.
03:46 Elle lui laisse quand ça l'arrange.
03:49 D'accord.
03:50 Et votre fils a essayé d'entreprendre des démarches, peut-être ?
03:53 Alors, plus ou moins, mais pas encore vraiment.
03:57 D'accord.
03:57 Bon, alors, Alexandre, avec le peu d'éléments, est-ce que vous arrivez à ressentir comment va se passer la suite ?
04:04 Est-ce que le fils d'Alexandra va pouvoir revoir sa fille ?
04:07 Est-ce que ça va s'apaiser, ces tensions ?
04:09 Alors, s'apaiser, c'est difficile, parce que pour moi, je sens qu'il y a quand même un gros problème de communication entre eux.
04:16 Et c'est ce qui a amené aussi la rupture et le détachement.
04:21 Je pense que votre, enfin, la compagne ou votre ex-belle-fille ou la compagne, l'ex-compagne de votre fils,
04:29 on veut à votre fils un comportement, une attitude.
04:32 Alors, après, comme vous n'avez peut-être pas tous les éléments non plus,
04:36 peut-être qu'il y a des choses sur lesquelles votre fils ne vous a pas complètement dit.
04:40 Et de ce que je ressens aussi, c'est qu'il y a un problème de maturité dans ce couple.
04:46 Et même si aujourd'hui, ils ont construit une vie de famille avec un enfant,
04:54 même s'ils se sont, je dirais, portés responsables de tout ça,
04:58 mais dans la projection du couple, dans le futur qu'ils auraient pu construire ensemble,
05:06 eh bien, ça s'est construit avec beaucoup de fragilité et avec un manque d'un petit peu de maturité.
05:12 Et je crois que réellement, et vraiment aussi pour votre fils, il a besoin peut-être de prendre un peu de recul.
05:21 Alors, je sais qu'évidemment, ça l'affecte, ça le touche.
05:25 Et puis, notamment par rapport à la relation qu'il peut avoir avec sa fille.
05:30 Mais je crois qu'il doit prendre un petit peu de recul et faire quelques efforts, si c'est possible, de ce côté-là.
05:40 Ensuite, en ce qui concerne elle, je ne la vois pas énormément changer dans sa personnalité, dans sa manière d'être,
05:49 ou en tous les cas, dans ce qu'elle amène ou sa manière d'agir avec lui.
05:57 La seule chose que je ressens, c'est qu'elle peut, à un moment donné, s'épuiser et ça peut s'aplanir,
06:03 ça peut vraiment s'estomper un peu avec le temps et le jeu va se calmer.
06:08 Donc, tout ça va être une question de temps.
06:11 Ensuite, par rapport à l'éducation de l'enfant,
06:14 et même si aujourd'hui, elle a plus de potentiel, pardon, pas de potentiel,
06:20 mais de possibilité à apporter l'éducation à cet enfant,
06:25 eh bien, vous verrez que votre fils, à un moment donné, pourra avoir aussi cette possibilité-là
06:32 d'avoir un droit de garde, d'avoir quelque chose de partagé.
06:37 Et donc, pour moi, il y a une procédure qui va se mettre en place
06:43 et qui va peut-être prendre un petit peu de temps,
06:46 mais qui va donner quand même un équilibre entre le papa et la maman
06:51 et ça va permettre de retrouver un peu plus un esprit plus serein
06:56 et avec plus de, on va dire, de recul face à tout ça.
07:01 - Oui. Et vous, vous sentez que c'est encore loin ?
07:07 - Non. Sincèrement, je crois qu'il y a des événements qui vont se mettre en action
07:13 sous cette période à peu près de six mois
07:16 et j'ai vraiment l'impression et le sentiment que sur la fin du printemps, début de l'été prochain,
07:22 on est face à un changement de situation et face à des prises de décision aussi à ce niveau-là, oui.
07:29 Après, je ne sais pas si vous avez des contacts avec l'ex-compagne de votre fils,
07:37 mais il ne faut pas hésiter peut-être à essayer aussi d'ouvrir le dialogue pour apaiser
07:43 et puis non pas pour vous initier à essayer de vouloir résoudre des problèmes,
07:52 mais tout simplement de créer un autre climat.
07:55 - Vous avez essayé peut-être déjà ?
07:57 - Oui, déjà. On l'a revue, on a fait comme on devait faire,
08:04 c'est-à-dire qu'on ne lui a rien reproché, on lui a dit au contraire que si elle venait,
08:10 c'était à laver la porte ouverte et qu'il n'y aurait pas de problème.
08:13 Mais bon, chacun fait sa vie de son côté et du coup, c'est compliqué.
08:17 - Mais quand vous avez fait cette démarche envers elle, comment elle a réagi, elle ?
08:22 - Elle n'a pas vraiment réagi, elle est restée assez passive.
08:27 C'est peut-être parce qu'elle ne sait pas communiquer et mon fils, c'est pareil, il ne sait pas communiquer.
08:38 - C'est ce qui rejoint peut-être un peu ce que je vous disais au début,
08:41 peut-être qu'il y a un manque de maturité, un problème de communication, de responsabilité ensemble,
08:45 c'est sûrement ça.
08:47 - Et malheureusement, il faut du temps et puis je crois que justement,
08:51 c'est le temps qui va pouvoir résoudre les choses.
08:54 Mais il y a un enfant et donc en attendant, il faut essayer de les aider,
08:59 de les accompagner dans ce sens-là sans pour autant prendre partie de qui que ce soit
09:05 parce que je crois que chacun a sa part de responsabilité.
09:07 De ce que je ressens en tous les cas et dans le cas de votre fils et de votre belle-fille.
09:12 - Merci Alexandra d'avoir été avec nous.
09:15 Allez, on va s'intéresser dans un instant à la psychogénéalogie
09:18 et on vous attend sur Sud Radio si vous voulez être éclairé sur votre avenir.
09:21 0826 300 300, à tout de suite.
09:23 - Sud Radio, c'est votre avenir, le sujet du jour.
09:27 Trina, parlez-nous de la psychogénéalogie.
09:30 - Alors, la psychogénéalogie a mis en lumière des liens existants
09:34 entre certaines émotions et certains événements familiaux qui se répètent
09:37 ou dont les effets se transmettent de génération en génération.
09:40 Chaque famille possède une histoire, des valeurs et des croyances
09:43 qui influent sur la façon de se comporter.
09:46 Et la psychogénéalogie, c'est un peu ce qui façonne les typologies familiales.
09:50 - Et oui, alors comment savoir quand nos émotions sont héréditaires ?
09:53 - Alors, si vous vous sentez régulièrement bloqué par des émotions persistantes,
09:57 c'est peut-être le signe qu'elles sont transgénérationnelles,
09:59 c'est-à-dire qu'elles appartiennent à un autre membre de la famille
10:02 qui remonte à plusieurs générations.
10:04 Par exemple, si vous ressentez souvent de la tristesse,
10:06 c'est peut-être le fruit de deuils non terminés
10:08 ou de séparations douloureuses vécues dans les anciennes générations.
10:12 Si vous ressentez souvent de la peur,
10:14 ça peut résulter d'épisodes historiques difficiles,
10:16 comme l'immigration ou la guerre,
10:18 et d'événements personnels graves, comme des décès par accident ou par maladie.
10:22 Si vous ressentez souvent de la colère,
10:24 ça peut être lié à des phénomènes d'injustice ou à de mauvais traitements,
10:27 toujours dans les anciennes générations bien sûr.
10:29 Et si vous ressentez souvent de la honte,
10:31 ça peut faire suite aux actes condamnés par la morale,
10:33 donc un adultère, un enfant né sous X, etc.
10:36 ou par la loi, comme des actes criminels.
10:38 - Alors donnez-moi un conseil, oui, effectivement,
10:41 comment se débarrasser de ces héritages émotionnels ?
10:43 - Alors faites votre arbre généalogique et dans un cahier,
10:45 notez ce que vous savez des lieux, pays d'origine, déménagement, éloignement,
10:49 séparation, décès et événements marquants liés à chaque personne de votre famille.
10:53 Repérez les événements douloureux répétitifs,
10:55 comme les dates récurrentes d'accouchement
10:57 ou les prénoms qui se répètent, ça arrive souvent dans les familles,
11:00 et repérez les événements majeurs positifs,
11:02 les naissances, les ascensions professionnelles et sociales, les mariages heureux,
11:06 en détaillant la façon dont ils ont été vécus
11:08 et dont ils ont influé sur les membres de votre famille.
11:10 Et posez-vous des questions précises sur les croyances familiales.
11:13 Quelles études il est préférable de faire au sein de votre famille ?
11:16 Quel métier il est préférable d'exercer ?
11:18 Comment éduquer les enfants ? Quels sont les sujets tabous ou conflictuels ?
11:21 Une fois les réponses obtenues, vous pourrez les reprendre, une par une,
11:24 en prêtant attention à vos émotions, colère, tristesse, sentiments de sécurité, etc.
11:29 Puis demandez-vous lesquelles de ces croyances vous avez adoptées.
11:32 Chaque croyance que vous avez adoptée malgré vous est une source de conflits intérieurs
11:36 et peut se manifester par des débordements émotionnels réguliers.
11:39 Quand vous aurez identifié ça, écrivez sur un cahier des phrases réparatrices
11:44 comme "je me libère de telle ou telle émotion".
11:47 Ça vous permettra de vous détacher symboliquement en restant inscrit dans votre histoire familiale.
11:51 Apparemment c'est très efficace.
11:53 - Et je pense que c'est bien aussi de se faire accompagner,
11:56 parce que des fois on manque d'objectivité sur une émotion, sur une colère, sur un événement,
12:00 alors que l'accompagnement permet aussi d'avoir une prise de recul, une prise de conscience.
12:05 - Bien évidemment, de toute façon dans tous les sujets qu'on traite tous les jours,
12:08 il est tout le temps préférable de se faire accompagner par un professionnel.
12:11 C'est encore mieux, nous on donne des petits conseils.
12:13 - Oui, mais ça dépend pour quel sujet.
12:15 - Ah, par exemple ?
12:16 - Il y a des endroits où on ne peut pas se faire accompagner.
12:18 - Marie, on ne peut pas savoir, Marie nous a rejoint.
12:22 Bonjour Marie.
12:23 - Oui, bonjour.
12:24 - Bienvenue Marie, vous nous appelez d'où ?
12:27 - Alors de Bayonne.
12:29 - D'accord, donc vous sentez que votre compagnon s'éloigne un peu de vous, c'est ça ?
12:32 - Voilà, c'est ça, depuis quelques temps.
12:35 Bon, après il a beaucoup de problèmes, je comprends.
12:38 Par contre, ce que je veux signaler, c'est quand même que chacun habite son appartement,
12:44 et on se voit très souvent, on se voit pour des bons moments.
12:50 Mais là, depuis un certain temps, je ressens beaucoup de tristesse qui émane de lui,
12:59 et moins de communication.
13:03 Voilà, et il y a aussi, je voudrais vous signaler que je suis quand même plus âgée que lui,
13:09 j'ai 12 ans de plus.
13:11 - D'accord.
13:12 - Et que je me suis aperçue aussi, ça c'est pas très gentil de ma part,
13:18 je me suis aperçue qu'il était sur Messenger, sur les réseaux sociaux,
13:25 avec des personnes assez jeunes, qui contactent,
13:32 et même si elles sont éloignées, pour moi je le ressens un peu comme une trahison.
13:38 - Pourquoi vous dites que ce n'est pas gentil de votre part à vous ?
13:41 - Parce que j'ai fouillé sur son portable.
13:44 - Oui, mais parce que vous avez une intuition, c'est ça ?
13:47 - Voilà.
13:48 - Il le sait, vous avez découvert ça ?
13:51 - Non, non, non.
13:54 - Alors, bon, Alexandre, est-ce que vous pensez qu'il y a,
13:59 enfin, est-ce que vous ressentez qu'il y a peut-être quelque chose qui ne va pas ?
14:04 - Alors, bon, j'aime vos témoignages, Sophie, parce que vous avez un côté coquine.
14:10 - Elle garde quand même le sourire.
14:12 - Oui, vous gardez le sourire, tout ça, donc c'est bien.
14:14 Et puis à la fois, vous avez sûrement une intuition très développée,
14:19 on peut parler d'intuition féminine,
14:23 mais il y a quelque chose de bon et de positif dans ce sens-là.
14:29 Et pour moi, effectivement, il y a des doutes,
14:35 alors non pas sur de la trahison directe,
14:39 mais peut-être, lui, il est dans une période où peut-être il fantasme,
14:44 où il a des besoins peut-être de s'évader,
14:48 et c'est ce que vous avez pu vous apercevoir,
14:50 ou en tous les cas détecter au travers des échanges qu'il avait en extérieur.
14:55 - Je vous coupe, Alexandre.
14:56 Marie, pardonnez-moi pour cette question un peu directe,
14:58 mais sur le plan intime, comment ça se passe entre vous ?
15:01 - Ah non, très bien.
15:02 - Très bien. Bon, alors ça, déjà, c'est important.
15:04 - Oui. Et pardonnez-moi, Marie, je vous ai appelée Sophie.
15:08 - Oui, voilà, il me semblait, j'étais pas sûre, mais il me semblait.
15:10 - Non, non, excusez-moi, mais... - Ça arrive.
15:12 - Voilà, peut-être que c'est un prochain prénom,
15:14 ou il y a quelque chose avec ce prénom-là, mais...
15:16 - Oui, on en a peut-être une, Sophie.
15:17 - Effectivement. - Oui, la prochaine, d'ailleurs.
15:20 - C'est la prochaine. Bon, ben écoutez, mes yeux ont fourché sur...
15:22 Enfin, c'est pas les yeux, mais...
15:24 Donc, mais je reste connecté à votre histoire, malgré tout ça,
15:28 je change rien, si même le prénom n'était pas celui-ci, exactement,
15:31 mais ma réponse ne change pas à ce niveau-là.
15:35 Donc, et pour moi, je crois vraiment que, effectivement,
15:40 cet homme, aujourd'hui, a besoin d'évasion, a besoin de s'évader,
15:44 a peut-être besoin de réflexion, a besoin de prise de recul,
15:48 et à la fois, bien, vous sentez ce manque de sincérité en lui,
15:53 où il n'exprime peut-être pas tout, où il ne dit pas tout,
15:57 mais n'hésitez pas, peut-être, à redonner un peu de dynamique
16:03 à votre couple, ou peut-être d'apporter un peu de nouveauté
16:07 pour, justement, relancer les choses, pour aller vers, peut-être,
16:12 l'état du meilleur, et vers, en tous les cas, une notion de ressource,
16:19 de reprise, de contact et de continuité ensemble aussi.
16:24 Parce que je ne sens pas que cette histoire s'arrête pour vous.
16:29 Il y a une évolution.
16:31 - Marie, vous nous disiez tout à l'heure, si j'ai bien compris,
16:33 qu'il avait beaucoup de problèmes de son côté ?
16:35 - Oui, il y a beaucoup de soucis, que ce soit pécunier ou administratif,
16:41 ça aussi c'est une grosse préoccupation pour lui.
16:45 Comme il me dit, je n'ai pas la tête à ça.
16:48 Moi, je suis très fleur bleue, même avec mes 71 ans.
16:53 - Ça n'empêche pas.
16:56 - Lui, il est moins.
16:58 - D'accord. Et le contenu des messages, c'était explicite ?
17:02 C'était juste... Est-ce que c'était...
17:05 - Oui, des fois, ce n'était pas grand-chose.
17:08 Mais ce n'était pas grand-chose.
17:11 Bise, ce n'est pas dans son langage.
17:15 Il est étranger.
17:20 En français, la signification n'est pas tout à fait la même.
17:28 Il est latino.
17:31 Mais ce n'est pas le latino qui va s'extérioriser.
17:37 C'est très strict.
17:40 Dans ses mots, il est très brut de coffre.
17:45 - Brut de décoffrage.
17:48 - Oui, voilà.
17:50 - Je pense que même s'il peut avoir des échanges
17:56 qui peuvent paraître un peu suspicieux ou douteux,
18:00 je crois que c'est un homme qui peut-être se nourrit de certains fantasmes
18:06 ou peut-être entretient comme ça au travers d'un dialogue,
18:10 d'une discussion, une certaine affinité avec des personnes.
18:15 Mais vis-à-vis de vous,
18:18 tout dépend de ce qu'on peut envisager
18:23 ou les limites qu'on pourrait mettre à l'infidélité,
18:26 mais je ne le sens pas être infidèle d'un point de vue physique.
18:30 Et je sens qu'il y a un besoin de modifier ou de bousculer un peu votre quotidien à tous les deux
18:38 pour vous retrouver, pour resserrer ce lien, cette intimité
18:43 et vous permettre de continuer à avancer parce qu'il y a un attachement.
18:47 Comme vous dites, il a des fragilités, il a des problèmes d'ordre personnel
18:53 qui sont peut-être saluantes, ses problèmes administratifs ou autres.
18:58 Et surtout, arrivé à un âge où on a envie d'être plutôt tranquille que d'être dans des difficultés,
19:03 donc tout ça n'aide pas aussi à son équilibre et à son bien-être.
19:07 Mais je crois que justement vous avez une fraîcheur,
19:11 vous avez cette dynamique et peut-être aussi cette coquetterie de le rendre heureux.
19:19 Donc faites-le dans ce sens-là.
19:22 Et puis n'hésitez pas à lui parler très sincèrement
19:26 pour justement à un moment donné qu'il se rende bien compte que vous êtes lucide face à une situation
19:32 et qu'il faut qu'il se contrôle un petit peu et tout ira bien.
19:37 - Oui, mettre les choses au clair.
19:39 - Je n'ai pas à m'inquiéter parce que là il va avoir une locataire qui est divorcée,
19:44 qui est beaucoup plus jeune que moi, qui est pas mal, on va dire.
19:48 - Vous êtes jalouse Marie ? Vous êtes jalouse ?
19:51 - Oui !
19:53 - Voilà, voilà. - C'est l'amour qui rend jalouse forcément.
19:57 - Eh oui, bon, écoutez, peut-être qu'avec cette locataire il peut ne rien se passer aussi.
20:04 - Oui, oui. - Il peut.
20:07 - Il faut l'envisager aussi. - Voilà, pourquoi envisager le pire ?
20:11 - Je crois Marie, très très vite, que vous aviez juste une très courte question sur une maison, c'est ça ?
20:16 - Oui, voilà. Je laisse ma maison à mes enfants.
20:22 Je voulais savoir si cette année je vais soit acheter, soit me mettre en location.
20:27 Parce que je ne vais pas vivre avec ma fille, c'est pas possible.
20:31 - Moi c'est clair. Alexandre ?
20:34 - Eh bien écoutez, moi je pense que ça sera, je sais pas, je sens plus du locatif que de l'achat.
20:39 - D'accord. - Peut-être que l'achat se fera plus tard,
20:42 mais dans un premier temps je sens plus le locatif.
20:45 - Merci beaucoup pour votre bonne humeur Marie.
20:48 - Merci à vous. - C'était très agréable.
20:50 - A bientôt Marie. - Merci de toute votre générosité qui se dégage de vous.
20:58 - C'est très gentil Marie. A bientôt, prenez soin de vous.
21:01 Allez, on vous attend sur Sud Radio, 0800 26 300 300, on revient dans un très court instant.
21:06 - Sud Radio, c'est votre avenir. Trina Magdine, Alexandre Deleval.
21:11 - Et merci d'être avec nous sur Sud Radio, toujours notre coach intuitif bien sûr, Alexandre,
21:15 qui répond à toutes vos questions au 0800 26 300 300.
21:18 Donc n'hésitez pas à nous rejoindre, comme Sophie, qu'on va avoir dans un instant.
21:22 Mais d'abord, superstition du jour Alexandre, quelle est-elle ?
21:26 - Oui, alors vous savez, je vais vous parler d'une superstition vieille comme le monde,
21:30 que nous connaissons tous d'ailleurs, vous savez quand l'oreille vous bourdonne.
21:35 - Ah oui, oui. - On dit souvent qu'on parle de vous.
21:39 - C'est vrai. - Alors attention, si c'est la droite qui vous bourdonne ou qui vous ratouille,
21:44 c'est qu'on fait des hologes sur vous. Si c'est la gauche, vous êtes le centre d'une conversation
21:51 faite souvent de jalousie ou de malveillance. - Ah, je pensais que c'était l'inverse.
21:55 - Eh bien non. - Parce que gauche c'est côté cœur, donc je pensais que c'était du bien du coup.
21:59 - Bah non, non, non. - D'accord, on en apprend tous les jours.
22:03 - On en apprend tous les jours. Et puis vous savez qu'autrefois on répétait que si l'oreille gauche bourdonnait,
22:07 c'était que quelqu'un vous aimait. Voyez ? - Ah, on y comprend bien alors.
22:12 - Si on y comprend bien. - C'était avant. - Bah oui, aujourd'hui ils ont changé.
22:15 - Ah oui ? Ok. - Alors pour savoir si... - Vous êtes sûr ?
22:20 - Bien sûr, je suis sûr et certain. Après je ne sais pas si ça fonctionne bien ou si ça marche bien,
22:25 mais vous êtes superstitieuse. - Non. - Non ? Bah écoutez, la prochaine fois essayez de l'être
22:31 au moins justement pour cette superstition. - Juste pour ça, d'accord. Je vais essayer.
22:34 - Voilà, donc dès que ça ratouille dans l'oreille, eh bien attention, soyez vigilante et de savoir
22:40 si... faut-il savoir qui parle de vous aussi. - Ah bah c'est compliqué.
22:44 - Alors pour savoir aussi qui était cet amoureux inconnu, il suffisait de réciter l'alphabet jusqu'à le bourdonnement
22:51 qui s'arrête. Parce que justement quand vous aviez autrefois cette oreille gauche, il y avait quelqu'un
22:57 qui vous aimait, donc aimé dans le sens pas seulement général, aimé d'amour, et donc il fallait réciter
23:05 cet alphabet et puis au moment où la lettre s'arrêtait, bien sûrement ça pouvait donner son prénom
23:11 et puis ça donnait un précieux indice. - D'accord. - Voilà.
23:17 - C'est fini ? - Bah oui, une croyance est une superstition très ancienne, mais qui fonctionne encore.
23:24 Beaucoup de gens, quand ils ont l'oreille qui siffle ou qui... voilà...
23:30 - C'était très instructif. Et ça vous arrive souvent vous ? Les oreilles qui sifflent ?
23:36 - D'entendre, oui, mais en clairvoyance, oui, après que ça siffle... - En clairvoyance ?
23:41 - Oui, en clairvoyance, en clairaudience, pardon. Mais non, rarement.
23:46 Et puis je fais pas très attention. Par contre la main qui rate, oui, souvent ça m'arrive.
23:51 Mais c'est du problème circulatoire sûrement, tout simplement. - Oui, c'est votre sang qui vous détourne.
23:56 - On accueille Sophie. Bonjour Sophie. - Bonjour Trina, bonjour Alexandre.
24:02 - Bienvenue Sophie, vous nous appelez d'où ? - Je vous appelle des Hauts-de-France.
24:06 - Ah très bien, on embrasse toutes les Hauts-de-France, bien évidemment.
24:10 Vous vous posez des questions sur l'avenir de votre mariage, c'est ça ?
24:13 - Oui, c'est ça. Je suis en couple depuis plus de 30 ans.
24:18 On s'est connus très jeunes, on a évolué ensemble, on a grandi ensemble,
24:24 évidemment avec des hauts et des bas, un parcours forcément... pas forcément.
24:30 On a connu des difficultés, et depuis environ deux ans maintenant, ces difficultés ressurgissent.
24:41 C'est une difficulté essentiellement de communication, c'est-à-dire que j'ai à faire face à un conjoint qui est très irritable.
24:52 Et qui parfois me donne la sensation de ne pas tout me dire.
24:59 J'ai la sensation qu'il est très fuyant sur certains sujets, notamment celui du couple.
25:08 Et que... oui, il ne me considère pas à ma juste valeur, j'ai envie de dire.
25:17 Donc je me pose des questions sur la sincérité de ses sentiments, sur la sincérité de notre couple.
25:24 Et évidemment je me pose aussi la question de savoir s'il me trompe.
25:28 - J'allais vous la poser.
25:29 - Voilà. Ce qui s'est déjà produit par le passé.
25:34 Et je suis un peu perdue dans mes projections en couple avec lui.
25:47 - Est-ce que c'est au point de lui parler de séparation ?
25:49 - On en a déjà parlé, oui. On en a déjà parlé.
25:54 On revient tous les deux à chaque fois sur la décision.
26:00 Ni lui ni moi ne sommes capables de prendre la décision d'un divorce.
26:07 Sans doute pour des raisons différentes d'ailleurs.
26:10 Enfin, je pense que c'est pour des raisons différentes.
26:13 Je pense que je suis beaucoup plus attachée à lui qu'il me l'est, à moi.
26:17 Et que peut-être il n'envisage pas de divorcer pour ne pas perdre le confort.
26:25 Le confort que lui procure la cellule familiale et le confort matériel qui peut y avoir aussi en conséquence.
26:33 - D'accord. Est-ce qu'on peut en savoir un peu plus sur l'infidélité qu'il y a eu de sa part ?
26:38 - C'est une infidélité qui a eu lieu il y a environ 10 ans que j'ai découverte.
26:42 Qu'il a dans un premier temps nié.
26:45 Et puis lorsque je lui ai mis les preuves sous le nez, il n'a pas eu d'autre choix que d'accepter.
26:51 C'est une infidélité qui a eu lieu sur le lieu de travail.
26:55 - D'accord.
26:56 - Voilà.
26:57 - Qui a duré longtemps ?
26:58 - Je n'en ai aucune idée.
27:00 - D'accord.
27:01 - En tout cas, je n'ai pas la certitude de la temporalité.
27:07 Pour moi, ça a pu être au moins une relation d'un an.
27:11 - Ah oui ? D'accord.
27:12 - Oui, je pense.
27:13 - Bon. Alors, Alexandre, quel est votre ressenti sur tout ça et sur la suite ?
27:17 - Alors, bien sûr, c'est difficile parce que je ne sens pas forcément des choses que positives en ce qui vous concerne.
27:24 Vraiment, Sophie, je vais être assez clair avec vous, mais votre couple est en train de souffrir.
27:29 Il est en train de se détacher.
27:31 Il est en train aussi peut-être de s'amener à une rupture ou à une prise de décision.
27:39 Ce n'est sûrement pas dans les médias, mais dans les années à venir, là, vous êtes face à une fragilité, à une difficulté.
27:49 Il y a plusieurs raisons.
27:50 Il y a une raison, alors déjà, d'un point de vue, de tout ce qui concerne de l'intimité.
27:55 Il y a un souci qui me semble m'apparaître au niveau de l'intimité.
27:59 Donc, je ne sais pas si vous avez encore des rapports intimes ensemble ou s'ils se font de plus en plus,
28:05 comme tout couple, de plus en plus espacés, mais en tous les cas, il y a quelque chose qui bloque à ce niveau-là de ce que je perçois.
28:12 C'est le cas ?
28:14 C'est-à-dire qu'en réalité, nous avons encore des relations intimes, mais je suis dans une phase d'éclairement.
28:21 Le mot est très fort.
28:23 Je fais sans en avoir l'envie et je fais pour avoir la paix sociale, pour être très claire.
28:30 C'est très dur de parler ainsi, mais pour vous, attention, pas par rapport à vos messages que vous laissez passer,
28:39 mais pour vous, par rapport à votre estime de soi et à la fois un peu de subir son existence.
28:46 C'est pour ça. Pour moi, il y a vraiment cette problématique qui est là, qui est posée,
28:50 et sur laquelle, à un moment donné, vous devez, avant toute chose, vous respecter
28:57 et puis aussi répondre aux besoins que vous avez et d'accepter et de ne pas accepter ce qui, pour vous, ne semble pas être acceptable.
29:08 Je parle de ça, mais je parle aussi d'autres choses. Pas uniquement sur cet aspect-là.
29:12 Ensuite, il y a ce chapitre-là, mais il y a aussi quelque chose qui ressort au niveau d'une famille,
29:20 au niveau d'une influence familiale sur lequel on n'est plus en adéquation ou en phase avec une famille
29:28 et il y a une coupure, il y a une rupture familiale.
29:31 Je ne sais pas si c'est de sa famille à lui ou si c'est de la vôtre, mais il y a une coupure.
29:36 Il n'y a pas eu de coupure. Il n'y a pas eu de coupure là.
29:42 Il n'y a pas d'élément déclencheur de cet ordre-là. Je n'en vois pas.
29:48 Des difficultés peut-être ?
29:50 Il y a eu un décès dernièrement, il y a eu un décès dans sa famille.
29:56 Pour moi, c'était quelque chose d'attendu. C'était un décès, c'était quelque chose d'attendu et donc pas soudain.
30:06 Je ne sais pas si ça a vraiment des répercussions très importantes chez lui.
30:12 Moi, j'ai le sentiment d'avoir affaire à un imposteur.
30:19 Vous utilisez des mots très forts.
30:23 Pour moi, je sens qu'il y a plus une prise de recul que vous pouvez avoir vis-à-vis de sa famille ou un détachement.
30:29 Même si aujourd'hui, physiquement, vous n'avez pas décidé de couper le lien,
30:35 je vous sens être dans cette prise de recul, dans ce détachement-là.
30:39 Ensuite, il y a ce problème de projection du futur sur lequel vous avez du mal à vous projeter avec lui
30:47 et qui forcément va définir votre réalisation ensemble.
30:53 Là, c'est plutôt compliqué parce qu'il y a aussi l'aspect matériel qui rentre en compte.
30:58 Tout ça, si vous voulez, quand je regroupe ces éléments qui m'apparaissent,
31:04 c'est difficile de vous dire que c'est un couple qui va survivre et qui va dépasser les obstacles.
31:11 J'aurais tendance à vous dire vraiment, Sophie, faites-vous aider par une thérapie
31:17 pour avoir cette capacité à dépasser les obstacles.
31:24 Et puis surtout, comme je vous le disais au début, à peut-être dire non à ce qui vous paraît aujourd'hui insupportable
31:31 et puis à vous préparer à un éventuel changement dans le temps.
31:36 Parce que pour lui, et en ce qui concerne votre mari, il peut très bien accepter cette situation-là encore pendant longtemps.
31:45 Oui, parce que je pense qu'il a le beurre, l'argent du beurre et le reste de la cranière.
31:52 Oui, c'est ça. C'est aussi confort.
31:55 Après, c'est pour ça, ce qui est important, c'est respectez-vous. Vraiment.
32:01 Respectez-vous et vous verrez qu'en se respectant, il y a des choses sur lesquelles on accepte ou on n'accepte pas.
32:08 Et c'est pour le bien de tout le monde. Ce n'est pas pour faire du mal.
32:11 C'est pour se protéger et pour se redonner ou redonner une liberté à chacun.
32:17 Est-ce que vous percevez l'infidélité qu'il y a eu ? Est-ce que vous percevez qu'il y a toujours peut-être des choses de ce côté-là, Alexandre, ou pas ?
32:24 Je vais être sincère. Je ne vois pas ce que ça pourrait changer, le fait de dire qu'il y a de l'infidélité.
32:32 Je ne pense pas que ça changerait parce que le couple est aujourd'hui fragilisé.
32:37 Donc, ça ne pourrait que rajouter encore plus de colère ou de contrarité, des choses comme ça.
32:44 Maintenant, je sens que c'est un couple qui, du fait de sa fragilité, a pu avoir des moments d'égarement.
32:54 Je ne sais pas exactement et je ne veux pas non plus m'aventurer sur des choses sur lesquelles je n'ai pas connaissance réellement.
33:04 Mais pour moi, il y a eu des moments de doute, de suspicion, peut-être d'égarement, de choses comme ça peut arriver dans tous les couples qui sont en fragilité ou en difficulté.
33:16 Mais la problématique, elle ne vient pas de là réellement.
33:20 Et je crois que c'est pour ça que j'insiste bien, Sophie.
33:24 Même si votre mari a un comportement extérieur qui ne vous paraît pas normal ou autre, mais surtout regardez à l'intérieur de chez vous ce qui se passe.
33:35 Parce que la problématique, elle se passe à l'intérieur du quotidien, à l'intérieur de chez vous et c'est là qu'il faut travailler dessus.
33:42 Et puis après, c'est sa responsabilité.
33:44 S'il s'égare ailleurs, ça c'est son problème, c'est sa responsabilité.
33:48 Mais vous, il faut penser à vous dans un premier temps et à votre bonheur.
33:53 - C'est vachement pas tout de suite, vous avez dit. - C'est pas tout de suite, oui.
33:55 - Dans les années à venir, c'est ça que vous ressentez ?
33:57 - Vous savez, ça va être assez rapide.
34:00 Ça dépend de ce qu'on appelle de la rapidité.
34:05 Mais pour moi, un an et demi, il y a des événements marquants et il y a du changement à tout ça.
34:12 Mais là, pareil, je ne veux pas vous influencer sur une date ou sur quoi que ce soit.
34:16 - Oui, bien sûr, pensez à vous, c'est sûr.
34:18 Parce que les termes sont forts, il y a une souffrance.
34:20 - Oui, et puis avec vous, j'ai envie de rester prudent.
34:23 Et je maintiens à dire que ce n'est pas une science.
34:26 Et puis surtout, j'aimerais avant toute chose que vous soyez dans cette notion de travail sur vous,
34:33 d'accompagnement pour que vous-même, vous puissiez ressortir de tout ça plus forte.
34:40 Et aussi avec de bonnes prises de conscience.
34:43 Et puis surtout, avec vos propres décisions et pas celles de l'entourage extérieur.
34:48 - Oui, oui, j'entends.
34:50 - On espère que ça vous a aidé, Sophie.
34:52 - Oui, merci beaucoup.
34:54 - Merci beaucoup pour votre témoignage. Bon courage. Donnez-nous des nouvelles, Sophie.
34:58 - D'accord, merci.
35:00 - A bientôt.
35:01 - Allez, on passe à l'ange du jour, Alexandre.
35:03 Quel ange on célèbre le 8 février ? Quelle fête, quel dicton ?
35:07 - Eh bien, j'allais vous dire Jacqueline.
35:10 - Pourquoi donc, Michel ?
35:13 - Très bien, c'est la Sainte Jacqueline aujourd'hui.
35:16 Le dicton météorologique.
35:19 À la Sainte Jacqueline, froid et brune.
35:21 - Oui, d'accord.
35:22 - Aujourd'hui, non, il fait froid, mais il n'y a pas de brune.
35:25 Donc ça va.
35:26 L'ange qui gouverne cette journée, c'est Vassaria.
35:29 Il permet de trouver la puissance et l'énergie juste.
35:32 Il permet aussi de trouver des arrangements à l'amiable.
35:35 Et il développe la bonté et la bienveillance.
35:37 Ce n'est pas votre deuxième prénom, Jacqueline ?
35:39 - Non.
35:40 - Je ne sais pas pourquoi.
35:41 - Oui, les prénoms...
35:43 - Marie-Sophie...
35:44 - Vous êtes désincarnée, ça vous arrive ?
35:46 - Oui, peut-être aussi.
35:48 Sa formule d'invocation est celle de dire
35:50 "Ange, Vassaria, fais que tes actions d'augrace me donnent courage
35:53 et qui me permettent aussi d'améliorer mes faiblesses".
35:56 Vous pouvez aussi l'invoquer en visualisant la couleur bleu clair.
36:00 Sa pierre de chance, c'est le saphir.
36:02 Dans les traditions de l'Egypte, anciennes surtout,
36:05 et en Rome, antique, le saphir était une pierre sacrée,
36:09 sacrée de la vérité et de la justice.
36:11 Et puis en Orient, elle représente l'irrationnel
36:14 et la connaissance intuitive.
36:16 Symboliquement, la pierre du saphir
36:18 représente la fidélité de l'être suprême.
36:20 On trouve du saphir un peu partout en France,
36:23 mais les plus belles pierres sont généralement en Asie.
36:26 Et puis, cette pierre limite les insomnies,
36:29 elle apaise la colère, elle favorise les rêves positifs,
36:32 elle développe la confiance en soi et la persévérance.
36:35 - Très bien.
36:36 - Et voilà.
36:37 Et ce n'est pas Michel qui répond à toutes vos questions,
36:39 mais Alexandre.
36:40 C'est au 0826 300 300, et c'est sur Cidradio bien sûr.
36:43 A tout de suite.
36:44 - Et de retour sur Cidradio pour la dernière partie
36:46 de C'est votre avenir 0826 300 300.
36:49 C'est le numéro du standard.
36:51 Vous nous appelez encore, il vous reste 10 minutes
36:53 avant les vraies voix, présentées par
36:55 Philippe David et Cécile, le minibus bien sûr.
36:57 Et on accueille Olivier.
36:59 Bonjour Olivier.
37:00 - Bonjour.
37:01 - Bienvenue Olivier, vous nous appelez d'où ?
37:03 - De La Sarthe.
37:05 - D'accord, ça concerne l'un de vos concurrents, c'est ça ?
37:08 - C'est ça.
37:09 - Expliquez-nous.
37:10 - Alors en fait, moi j'ai un alimentaire,
37:12 j'avais un collègue qui était à côté de mon alimentaire,
37:16 qui s'est déplacé, et un de mes concurrents
37:19 a recréé le bâtiment, donc je voudrais savoir
37:21 si mon entreprise va toujours pérenniser,
37:25 ou si je vais avoir des difficultés,
37:27 ou si ça va, voilà comment ça va se passer.
37:29 C'était mon inquiétude.
37:30 - D'accord, c'est-à-dire qu'il a racheté quelque chose
37:32 qui est à côté de chez vous ?
37:34 - Absolument, oui.
37:35 - Et pour l'instant, vous voyez vraiment une différence ?
37:38 Vous en subissez les conséquences ?
37:40 - On en subit, oui.
37:41 - Beaucoup ?
37:42 - On va dire, on perd 15% à peu près, de fréquentation.
37:46 - C'est quelqu'un que vous connaissez, cette personne ?
37:49 - Oui, je le connais, oui.
37:51 - Est-ce que vous avez pu échanger peut-être un peu avec lui ?
37:54 - J'ai échangé, mais il reste très vague,
37:56 il ne veut pas me dire ce qu'il veut mettre là-dedans.
37:59 - Ah, d'accord.
38:00 Alors, Alexandre, est-ce que la fréquentation va pouvoir revenir ?
38:05 Est-ce que ça va pouvoir s'améliorer ou pas ?
38:08 - Oui, alors moi je sens vraiment une amélioration dans l'activité.
38:15 Même si vous me parlez de cette concurrence,
38:18 mais je crois qu'il y a d'autres facteurs
38:22 qui rentrent en compte sur la fragilité,
38:24 sur la baisse d'activité que vous avez eue auparavant.
38:27 Et pour moi, vous allez pouvoir peut-être dynamiser votre activité.
38:33 Je ne sais pas si vous avez pour intention d'aller vers
38:36 soit un autre mode de communication ou d'opération commerciale.
38:40 - Oui, tout à fait.
38:41 - Mais il y a quelque chose qui va se mettre en place,
38:45 plus particulièrement sur la période de fin février, début mars.
38:49 Est-ce qu'il y a une échéance pour vous qui est importante ?
38:52 - Oui, tout à fait, c'est juste ça.
38:54 J'ai développé la vente en ligne et le drive.
38:58 Ça s'ouvre fin février.
39:01 - D'accord, ça va permettre de développer plus d'activités.
39:05 Alors, ça ne sera peut-être pas énorme,
39:07 mais ça va donner quand même un nouveau souffle.
39:10 Ça va donner aussi la possibilité de faire plus de communications sur vous,
39:15 de plus vous faire connaître et de créer une autre énergie
39:20 ou en tous les cas, d'être dans une autre dynamique.
39:23 Et ça, même si votre concurrent peut-être essaiera par la suite
39:28 de vouloir copier sur certaines idées,
39:30 il ne pourra pas tout faire de la même manière que vous
39:35 par rapport à la configuration du lieu ou de l'endroit.
39:38 Est-ce que ça peut être le cas ?
39:40 - Oui, tout à fait.
39:41 - Parce que lui ne possède pas le même espace
39:45 ou le même endroit que vous.
39:48 Et donc, ça a le désavantage à ce niveau-là.
39:51 - D'accord.
39:52 Alexandre, parce qu'en ce moment, c'est difficile avec la hausse des prix, etc.
39:58 Est-ce que ça peut aussi peut-être venir de là,
40:01 ce que ressent Olivier sur son chiffre d'affaires ?
40:05 Olivier, est-ce que c'est vraiment consécutif à l'installation de ce concurrent ?
40:10 - Alors, c'est vrai que ça est arrivé au même moment.
40:13 Donc, c'est vrai que c'est difficilement mesurable
40:15 si c'est le concurrent ou si c'est la hausse des prix.
40:18 Mais en tout cas, c'est les facteurs qui font que.
40:20 Et c'est vrai que c'est mes inquiétudes
40:22 parce que c'est une activité que j'ai reprise il y a six ans
40:24 qui était en grosse difficulté et que je remonte.
40:26 Donc, c'est vrai que je m'inquiète sur la pérennité dans le temps, c'est ça ?
40:32 - Pardonnez-moi, c'est une enseigne ?
40:34 - Oui, c'est une enseigne.
40:35 - C'est une enseigne, d'accord.
40:36 Mais effectivement, je pense que vous allez pouvoir remonter progressivement
40:42 votre chiffre d'affaires et fidéliser ou en tous les cas,
40:47 séduire une autre clientèle et ça c'est plutôt positif.
40:51 Après, si vous me permettez Olivier,
40:55 n'envoyez pas votre concurrent comme un ennemi, mais bien au contraire.
40:59 Prenez-le comme une personne qui va vous donner justement un élément motivant
41:06 ou qui est un élément motivant pour justement essayer d'apporter de nouvelles idées,
41:11 d'essayer de mettre en place de nouvelles choses et de la dynamique différente bien entendu.
41:17 Donc, c'est pour ça qu'aujourd'hui, ne focalisez pas sur cette concurrence
41:22 et parfois la concurrence peut être...
41:25 - Oui, il y a du bon.
41:26 - Oui, il y a du bon dans la concurrence parce que justement, ça peut faire venir du monde,
41:29 ça peut faire aussi amener une autre dynamique
41:33 et c'est ce qui risque de se passer dans un futur proche.
41:37 Donc ça pour moi, c'est très bon, c'est très positif
41:40 et puis je vous sens être encore capable d'arriver à du résultat.
41:46 Vous n'êtes pas si essoufflé que ça.
41:48 - Ah oui, non, non, non, c'est juste de l'inquiétude.
41:51 - Eh bien, vous voilà rassuré Olivier.
41:52 - Exactement.
41:53 - Merci d'avoir été avec nous sur Sud Radio.
41:55 A bientôt.
41:56 - Merci à vous, merci. Au revoir.
41:58 - Allez, on part sur le groupe Facebook "C'est votre avenir" pour terminer.
42:01 On va prendre le message de Marie-Laure qui a rêvé qu'elle était possédée.
42:05 Ça ne doit pas être agréable.
42:06 Comment l'interpréter Alexandre ?
42:08 - Alors, c'est vrai que rêver de possession, c'est pas évident.
42:12 - C'est un cauchemar du coup.
42:13 - C'est un cauchemar, mais souvent c'est des personnes
42:17 qui ont des jugements qui sont un peu durs envers leurs proches
42:22 et qui ont du mal à gérer aussi leurs émotions.
42:25 Et puis aussi, ça peut être des personnes qui perdent un peu,
42:29 pas de leur identité, mais qui perdent un peu de leur capacité
42:32 à pouvoir s'affirmer ou à se prononcer face à des événements extérieurs.
42:37 Donc, ce que je vous pourrais conseiller à Marie-Laure,
42:42 c'est de se recentrer, de se recadrer aussi,
42:47 et puis peut-être d'être plus dans cette gestion émotionnelle.
42:51 - Très bien, merci Alexandre.
42:52 On débute demain ?
42:53 - Oui.
42:54 - Comme chaque jour, on répondra à toutes vos questions
42:55 et on s'intéressera aux animaux totems.
42:57 - Ouf !
42:58 - Bonsoir mon cher Philippe David.
42:59 - Bonsoir mon cher Prina, bonsoir mon cher Alexandre.
43:01 - Comment allez-vous ?
43:02 - Ski you later !
43:03 - Oui, c'est ça, j'ai l'impression que c'est le mot.
43:04 - Les vacances d'hiver, fabuleux !
43:06 - C'est sur le pull d'Alexandre.
43:08 - Magnifique !
43:09 - Quel est le menu ?
43:10 - Le menu des vraies voies.
43:12 Total, les autoroutes, les banques.
43:16 Profit record, a-t-on un problème avec l'argent en France ?
43:19 Ce que vous avez vu, Total annonce des bénéfices record, près de 20 milliards.
43:23 Des activistes sont allés peinturelurer le siège de Total
43:27 dès ce matin à la Défense.
43:30 Et moi, on se pose une question dans les vraies voies,
43:32 est-ce qu'en France, on déteste pas l'argent finalement ?
43:35 Est-ce qu'on déteste pas les riches ?
43:37 Ça c'est une vraie question, puisque, regardez,
43:40 quand un footballeur gagne un salaire mirobolant,
43:43 en France ça fait scandale, en Espagne ils disent "moi je suis content pour lui".
43:46 C'est un peu quand même une différence de culture.
43:48 Est-ce que vous, vous détestez l'argent ?
43:50 Ou est-ce que vous dites "ben, Total a de la chance,
43:52 tant mieux pour les actionnaires, vous aimez l'argent,
43:55 vous trouvez ça insupportable de gagner trop d'argent,
43:58 venez nous le dire au 0826 300 300 à 18h30".
44:02 Les agriculteurs sont dans les rues, de Paris notamment,
44:05 qui n'est quand même pas la première zone agricole de France,
44:08 vous en conviendrez.
44:10 Contraintes écologiques et réglementaires,
44:12 veut-on tuer nos agriculteurs ?
44:14 Alors ils manifestent notamment contre l'interdiction des néonicotinoïdes
44:17 pour la culture de la betterave,
44:19 c'est pas grave, on importera, pour faire du sucre,
44:22 de la canne à sucre du Brésil, où on aura abattu des millions d'hectares
44:25 de forêt amazonienne, qui sera nourrie aux pesticides intérieurs en France,
44:28 voire même au GM, mais c'est pas grave.
44:31 Est-ce que vous, vous en avez marre ?
44:33 Vous êtes agriculteur, venez nous le dire.
44:35 Est-ce que vous avez décidé de mettre la clé sous la porte,
44:37 parce qu'avec les contraintes réglementaires et les contraintes écologiques,
44:40 vous ne pouvez plus travailler face à la concurrence internationale ?
44:44 Ou vous dites "non, pour moi l'écologie ça passe avant l'emploi,
44:47 ça passe avant l'agriculture".
44:49 On vous attend aussi au 0826 300 300,
44:52 nos vrais voix du soir, qu'on devra maîtriser avec Cécile de Meynebus,
44:56 vu le trio que c'est,
44:57 Philippe Bilger, Elisabeth Lévy et Olivier Dardigolles.
45:00 Oui mais au moins ça sera très intéressant.
45:02 Ah oui, et puis là, comme c'est du pays du rugby et que Dardigolles,
45:05 ça va se rentrer dans la quad, comme dirait Daniel Herrero.
45:08 C'est ce que vous aimez.

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