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Furieux, Benoit Dubois revient sur sa brouille avec Thomas Vitiello (Secret story)

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Transcription
00:00 Elle m'a mis des petites cartouches quand même.
00:02 Comme quoi j'étais quelqu'un qui ne pensait qu'à l'argent,
00:04 qui l'avait mis de côté.
00:05 Il faut savoir que sur la fin,
00:07 on voulait prendre des chemins artistiques complètement différents.
00:10 Thomas voulait prendre le théâtre, moi je voulais continuer la télé.
00:12 Elle, elle a pris ça comme pour...
00:14 Je le faisais de la télé seulement pour l'argent.
00:16 Pas du tout parce que j'en fais encore, ça ne rapporte plus autant.
00:19 Et je sens qu'elle a été un peu blessée, un peu vexée,
00:22 mais dans le sens où c'est elle qui a décidé aussi
00:24 de partir à Londres pendant des années
00:26 pour se refaire une santé mentale
00:29 parce qu'elle n'en pouvait plus d'être ici, les insultes.
00:32 Bien sûr, elle n'était vraiment pas bien, dépressif et tout.
00:36 Elle a décidé de partir.
00:37 Bon, chacun sa route, chacun son chemin.
00:39 Mais pourquoi il vous a éclaté dans cette interview ?
00:41 Je n'ai pas compris.
00:42 Parce qu'en plus, il s'en est aussi pris à Mathieu Delormeau.
00:44 J'ai vu ça.
00:45 Mais oui, alors ça c'est pareil, je n'ai pas compris.
00:47 On a cohabité dans une émission sur Energy Loose pendant des années.
00:50 Tout se passait très, très bien.
00:51 C'était vraiment des vannes potache.
00:53 Mais quand on arrivait au maquillage, forcément c'était toujours...
00:56 Elle, ça lui arrivait de nous sortir.
00:58 "Ouais, ça va les pédales et tout, la pédalerie et tout."
01:00 Forcément, c'est une famille, c'est une colonie.
01:02 Donc en coulisses, on se dit des choses qu'on ne peut plus dire à l'antenne avec le CSA.
01:06 Mais comme toute une bande de potes, quand ils se croisent forcément,
01:08 moi-même, même mes potes, je leur dis parfois...
01:10 Ça vous a fait vraiment de la peine, alors cette interview-là ?
01:12 Ça ne m'a pas fait de la peine parce que je l'ai perdue de vue depuis un moment.
01:15 Je n'ai pas compris, finalement.
01:17 C'est tout.
01:17 Si vous pouviez lui dire quelque chose, vous lui répondriez quoi, Benoît Dubois ?
01:21 Qu'on aille boire un verre et qu'elle me dise ce qui va ou ce qui ne va pas.
01:24 Est-ce qu'elle est contente dans sa vie ? Moi, je suis très content.
01:26 Maintenant, est-ce que j'irai...
01:27 J'en ai des dossiers sur elle et pourtant, je ne les sortirai jamais.
01:30 Est-ce que j'irai chez... dans un garage ?
01:32 Pardon, pour la démonter.
01:35 Quel était son intérêt ?
01:37 Moi, je suis à la télé, elle, elle n'en fait plus.
01:39 Quel est son intérêt à elle de me dire que je suis un vrai connard
01:41 en sachant que je suis encore dans les médias ?
01:43 Qu'est-ce qu'elle a à y gagner ?
01:45 Elle peut me le dire ?
01:47 Merde !
01:50 – Ça vous énerve, en vrai.
01:51 – Ça m'énerve parce que je suis quelqu'un qui est entier avec son public,
01:56 avec ses camarades, avec ses collègues, avec ses amis.
01:58 J'ai toujours été entier.
01:59 Et le fait qu'elle puisse abîmer ma carrière, entre guillemets, mon travail,
02:05 parce que moi, je tiens à mon travail, qu'elle puisse sortir des choses comme ça,
02:08 je ne sais pas par qui ça peut être repris, comment ça peut être interprété.
02:10 Mais moi, ça peut abîmer mon taf.
02:12 Et moi, mon taf, c'est mon salaire, j'ai besoin de bouffer,
02:14 j'ai besoin de vivre, j'ai des crédits, j'ai tout ça.
02:15 Quel était son intérêt à part m'abîmer ou peut-être m'abîmer mon travail ?
02:20 Moi, je sais qu'il est maquilleur.
02:22 Est-ce que je vais aller dans sa boutique et lui demander des conseils
02:25 et après aller voir son responsable et lui dire, elle m'a dit de la merde,
02:27 maintenant, ça ne me va pas, machin.
02:29 Non, jamais de la vie.
02:31 On a quand même bossé ensemble, on a fait une aventure ensemble,
02:33 on a fait du théâtre ensemble, on a vécu des choses.
02:35 On avait 20 ans quand ça s'est passé.
02:36 Quand on a 20 ans et qu'on fait des choses pareilles,
02:39 c'est assez impressionnant, assez perturbant.
02:41 Donc on s'est serré les coudes à ce moment-là.
02:43 J'ai pas compris. – Vous n'avez pas compris.

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