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00:00 Il y a 6% d'inflation, les gens n'arrivent pas à finir leurs fin de mois, enfin des
00:06 problèmes de fin de mois.
00:07 On nous a expliqué aussi grosso modo que peut-être on allait avoir des coupures d'électricité
00:13 et de chauffage cet hiver.
00:14 Que l'on va tous mourir à cause de ça.
00:16 Par ailleurs le dérèglement climatique va tous mourir dans les 20 minutes.
00:19 Et donc on nous dit tiens j'ai une idée géniale, je vais passer la retraite à 64
00:21 ans.
00:22 Franchement c'est quand même un problème d'opportunité, c'est totalement débile.
00:27 Elisabeth Borne annonce du changement concernant la réforme des retraites.
00:31 Dans une interview au JDD, la première ministre fait un pas vers la droite.
00:36 Nous allons bouger en étendant ce dispositif de carrière longue à ceux qui ont commencé
00:40 à travailler entre 20 et 21 ans.
00:43 Ils pourront ainsi partir à 63 ans.
00:45 Et non à 64 comme prévu dans le texte initial.
00:48 Le gouvernement estime alors avoir répondu aux attentes des députés républicains.
00:53 Tous les arguments évoqués aujourd'hui par Madame Borne ont été contredit à un
00:58 moment donné dans les six dernières années par Emmanuel Macron lui-même.
01:01 Donc j'allais dire le citoyen de bonne foi se dit, il y a un loup.
01:09 C'est-à-dire que les raisons pour lesquelles on nous présente cette réforme, je suis
01:12 d'accord avec ce qu'elle dit.
01:13 Je pense que l'enjeu c'est bien l'avenir du système de répartition.
01:17 Mais je comprends très bien qu'on ne puisse pas y croire.
01:20 Il y a cinq ans vous défendiez une autre réforme.
01:22 Je pense que ça joue aussi dans la crédibilité de ceux qui portent cette réforme.
01:26 Emmanuel Macron fournit aux opposants à cette réforme les meilleurs arguments parce
01:31 que depuis cinq ans il a dit le contraire.
01:32 Il a dit que ce système par répartition, on était peut-être en bout de course, qu'il
01:36 fallait inventer autre chose.
01:37 C'était la réforme par points qui était plus compliquée mais qui était peut-être
01:39 plus intéressante.
01:40 De mon expérience, des gens que j'ai vus autour de moi, je vais m'attirer des foudres,
01:46 c'est que les gens qui sont en retraite, la plupart, je ne parle pas des métiers pénibles,
01:51 des métiers où on a le dos exposé, etc.
01:53 La plupart se font chier.
01:55 Et très vite ils veulent rentrer dans des associations, avoir des petits boulots, être
02:04 utile à quelque chose.
02:05 Alors sur la boulangerie, on veut quand même, je vous rappelle à quel point nous avons
02:10 tous été au secours des boulangers avec l'histoire de l'électricité qui coûtait
02:13 si cher.
02:14 Emmanuel Macron a brandi la braguette.
02:15 La baguette !
02:16 C'est un effet, c'est pas mal.
02:26 C'est une blague ?
02:33 La vache !
02:46 On est en face de gens qui rabassent toujours les mêmes trucs.
02:50 On parlait des retraites, on arrive sur l'immigration, on parle de l'état des hôpitaux, on arrive
02:55 sur l'immigration.
02:56 C'est une obsession.
02:57 On a parlé d'emploi.
02:58 Je peux parler ? C'est juste 5 secondes ? Ou c'était trop ?
03:01 Vous parlez de l'immigration, oui ou non ?
03:03 Oui, mais je parle de l'immigration, c'est vrai, mais dire qu'on ramène tout à ça,
03:05 c'est pas vrai.
03:06 Ah oui, d'accord.
03:07 Que je finisse quand même.
03:08 Qu'est-ce que c'est le génie français ? C'est l'espièglerie, la drôlerie, la non-assistance,
03:15 la légèreté, tout ce que Gilles explique sur La Fontaine.
03:18 Alors que nous sommes dans une époque de lourdeur, de didactisme, tout est très sérieux.
03:24 Et c'est vrai qu'il y a des choses extrêmement sérieuses.
03:27 Mais l'esprit français, c'est Jules Renard, je sais pas comment vous dire.
03:32 On est quand même face à des gens qui exploitent ce filon depuis longtemps, parce que c'est
03:37 un business, cette politique.
03:39 C'est parti.
03:40 Non, c'est pas un business.
03:41 Non, pas du tout.
03:42 Je suis désolée de vous dire, je me lève pas le matin en me disant que je me fais de
03:44 l'argent sur le dos des Français.
03:45 Vous avez le droit de le penser, mais en l'occurrence, c'est totalement...
03:48 Je voudrais juste terminer ma phrase.
03:49 Vous faites des blagues, ça marche plus.
03:50 En quoique...
03:51 D'accord.
03:52 Là, c'est méprisant.
03:53 Je vous laisserai...
03:54 Non, mais pardon, je suis désolée de vous dire, mais en même temps...
03:57 En tout cas, on remarque que j'ai énormément de liberté d'expression.
04:00 Ce que je veux, c'est une France humaine.
04:04 Je dirais une France de gauche.
04:06 J'en parlais à François Hollande hier soir.
04:08 Vous croyez pas trop aux utopies gauchistes, quand même.
04:09 On l'entend un petit peu même parfois dans le spectacle.
04:11 Oui, ça, c'est toujours plus agréable.
04:13 Je l'ai toujours dit, j'adorerais être de gauche, mais il faut des vertus humaines
04:17 supérieures que je n'ai pas.
04:19 Je suis qu'un pauvre garçon médiocre, égoïste et enfermé en moi-même,
04:24 tandis que les gens de gauche sont des génies de la chaleur, de la générosité et du partage.
04:29 C'est extrêmement violent et mensonger.
04:32 Je dois regarder ça avec le sourire.
04:34 Qu'est-ce qu'il vous dit de violent, là ?
04:37 Il me dit que je suis d'extrême droite, il me dit que je suis obsessionné.
04:41 Marion Maréchal-Le Pen n'est pas d'extrême droite, ça, celle-là, je pense que je vais dormir là-dessus.
04:46 Un Français sur sept ne se sent pas en sécurité là où il vit.
04:49 C'est le résultat d'un sondage CSA pour CNews.
04:51 A noter que ce sont les plus jeunes qui disent se sentir le moins en sécurité sur leur lieu de vie.
04:56 Les 18-24 ans sont en effet 30% à exprimer cette crainte.
05:00 Oui, bonsoir, c'est la gendarmerie.
05:03 On est en route, là. Est-ce que vous pouvez m'expliquer la situation actuelle ?
05:09 Au téléphone, un homme est en panique.
05:13 Des individus sont en train de voler des voitures dans son jardin.
05:16 Mais qu'est-ce que vous voulez dire ?
05:19 C'est pas la tonalité que j'entends dans certains journaux, même sur certaines chaînes.
05:25 Qu'est-ce que vous voulez dire ?
05:26 Que la plupart des gens se sentent en sécurité.
05:28 Alors qu'on m'explique que la société est en sauvager, machin, etc.
05:32 C'est contre-intuitif.
05:34 Qu'est-ce que vous voulez dire ?
05:35 Je veux dire que vous exagérez tout le temps.
05:37 Ah, voilà !
05:38 Voilà ce que vous voulez dire.
05:39 Évidemment !
05:41 Nous sommes, pour moi, dans une époque excessivement médiévale, agressive, brutale.
05:44 C'est pour ça que j'essaie de faire des robes qui représentent cette époque.
05:47 Des robes de cote de maille, pour que les femmes se protègent contre les agressions qui s'y multiplient.
05:52 Vous allez me dire que c'est des amis, c'est une mauvaise blague.
05:55 Ah, sérieux !
05:57 En fait, les gendarmes font la rencontre, non pas d'un voleur, mais d'un auteur de canulars, particulièrement arrogant.
06:05 Bonsoir, messieurs.
06:10 Bonjour. Ah, celui-là, il va se terminer rapide.
06:12 On va s'entraîner, faire une blague quand on a tout au temps.
06:14 Mais, juste une chose, monsieur, ça vous fait rire parce qu'à un moment donné, on a d'autres interventions, en fait.
06:19 Douce France, cher pays de mon enfance,
06:25 Percé de ton insouciance, je t'ai gardé dans mon cœur.
06:33 Au village, en clocher, en maison sage.
06:42 Vous imaginez que là, notre intervention roule comme des imbéciles sur l'autoroute ?
06:47 Vous imaginez les risques qu'on prend, monsieur ?
06:50 Vous nous mettez en danger, en fait.
06:52 Si, vous nous mettez en danger pour une blague.
06:54 Ne criez pas dessus.
06:55 Pour une blague, monsieur.
06:56 Ne criez pas dessus.
06:57 On ne peut pas faire des blagues dans la rue, ou quoi ?
06:58 Je chie dessus.
06:59 Tu dormais tranquille.
07:00 Les policiers avec le square, oui, c'est dangereux, mais c'est la bonne réalité, quand même.
07:05 Monsieur, nos services pour des faits imaginaires, c'est répréhensible par la loi.
07:09 Ce n'est pas le plus fort de l'espèce qui survit, ni le plus intelligent.
07:13 C'est celui qui sait le mieux s'adapter aux changements.
07:15 C'est de Charles Darwin, qui a été envoyé par Jean-Charles de Calais.
07:18 Magnifique.
07:19 Bonjour.
07:21 Salut.
07:22 Salut.
07:23 C'est une sacrée surprise.
07:25 On pensait qu'on ne serait que deux.
07:27 Oui.
07:28 J'espère que je suis une bonne surprise.
07:30 Oui.
07:31 Ça dépend à quel point tu bosses dur.
07:33 Je suis comme un doigt dans le cul.
07:35 Soit je suis une bonne surprise, soit je pourris l'ambiance.
07:39 C'est plutôt la deuxième option.
07:44 Bonsoir à tous.
07:46 Ça vous impressionne ?
07:48 C'est beau, c'est beau.
07:49 Vous devriez inviter Cyril Hanouna, au moins il voit où passe l'argent du service public.
07:54 Ah !
07:55 Je ne sais pas comment on commence.
07:57 On ne commence pas, là, ce soir.
08:00 Les sièges sont vachement plus confortables que les nôtres.
08:02 Nous, on n'a pas ça dans les grandes.
08:03 Nous, c'est du...
08:04 Ah non.
08:05 C'est le groupe Altice.
08:06 Alors, TPMP People, merci beaucoup de venir nous rejoindre.
08:10 C'est là qu'on voit un grand animateur et je ne le suis pas.
08:13 Il y avait Smaïne qui était là.
08:15 Après, il y a un gros dossier, un jour qui va être super.
08:17 Les invités sont là.
08:18 Vivre après la célébrité, quand on est en retard de l'anonymat.
08:21 J'ai posé une question à Smaïne, et il m'a dit pendant la pub.
08:24 La question, on me l'a posée 10 000 fois.
08:25 Ça me casse déjà les couilles et il s'est barré.
08:27 Voilà.
08:28 Est-ce qu'il a pas...
08:29 Ah, je déconne !
08:31 J'ai deux Michel, ce soir.
08:34 J'ai un Michel qui est là.
08:36 Et j'ai mon Michel, le...
08:38 Neuf victoires déjà qu'on va aller voir tout à l'heure.
08:40 Et tout à l'heure, quelqu'un dit, avant l'émission,
08:44 on va dire que c'est moi qui dit ça, qui dit...
08:45 Bah, deux Michel, ça fait chel !
08:48 Qu'est-ce qu'il est con, là !
08:54 Bon, alors, bon, alors !
08:56 Paris ! Paris ! Paris ! Paris ! Paris !
09:00 Et il est où, l'acteur ?
09:01 Et il est où, l'acteur ?
09:02 Attends, attends, attends.
09:03 Il y a un truc qui est génial.
09:04 C'est quand tu l'as dit, je suis sûr que les gens vont te dire...
09:06 Putain, le mec, il s'est cassé !
09:08 T'as vu l'émotion qu'on passe en une seconde ?
09:10 Ou alors, ça veut dire que t'as été crédible, hein, connard !
09:14 Ah, attention, attention !
09:16 Mais je peux dire qu'avec la télé, je peux tout faire !
09:18 Y a rien de bien, maintenant.
09:19 La télé, c'est moche, tout est moche.
09:21 Nan, la télé c'est mort, c'est tout démonté.
09:23 *Bruit de coup de feu*