• l’année dernière
#JustinTrudeau #comptes #rendrevictimes
https://gotopnews.com/post/1636360
Jonathan Gravel a évité la prison.Il a été condamné à 20 mois dans la communauté, suspendu. Un procureur la Couronne Lambaste le gouvernement de Trudeau avoir ouvert la porte, dans une loi récente, pour se marier les délinquants sexuels.Un homme qui a pénétré une femme sans son consentement et qui blâme le mouvement #MeToo, a profité lundi après un "marathon" judiciaire huit ans. "En ce moment, Justin Trudeau et [le ministre de la Justice] David Lametti sont probablement responsables devant les victimes d'agression sexuelle", a déclaré le procureur de la Couronne, Alexis Dinelle après l'audience. "Je ne peux pas garder le silence face à cette situation", a déclaré le procureur expérimenté, qui a dit qu'il était inquiet de ce "retour" en termes de peine imposée aux agresseurs sexuels.Une telle sortie d'un procureur est extrêmement rare. Malgré une agression sexuelle violente, Jonathan Gravel a évité lundi une peine prison.Le juge David Simon l'a plutôt condamné à 20 mois dans la communauté en raison sa réhabilitation et son faible risque récidive. L'homme 42 ans de l'ouest Montréal a pénétré une femme dans l'anus sans avertissement en 2014. L'agresseur s'est poursuivi malgré les cris refus victime et tentatives se libérer l'emprise en le grattant avec ses ongles.À yeux, la femme avait consenti à pénétration anale, car elle venait consentir à des rapports ux.Il a dit qu'il "sentait" qu'elle y consentit et pensait quand même "être là" dans leur relation sexuelle, car "la porte était ouverte". «Le sexe est le sexe», il avait résumé l'enquêteur.Le juge l'a reconnu coupable en 2018 à la fin de son procès, rappelant que le consentement doit être obtenu à tout moment lors d'une relation sexuelle.Il a depuis été en appel. «Les gestes sont sérieux.Le délinquant voulait satisfaire une envie sexuelle en ne se souciant pas du tout de la victime ou de son refus sans équivoque », a conclu lundi le juge David Simon. L'impact du projet de loi C-5 Jusqu'en novembre dernier, un juge n'a pas pu imposer une peine résidence résiduelle pour une agression sexuelle.Pour un tel crime, la peine de prison était la norme, et les peines variaient 12 à 20 mois pour des agressions similaires à celle-ci. Cependant, sans beaucoup fanfare, le projet loi C-5 du gouvernement Trudeau a permis une peine d'emprisonnement communautaire pour agression sexuelle.Le but cette loi majeure était spécifiquement lutter contre «la surreprésentation des Canadiens indigènes, noirs ou marginalisés dans le système justice pénale» abolissant nombreuses peines minimales du Code pénal, en particulier ce qui concerne les armes à feu. Cette loi n'était pas destinée à permettre à "Jonathan Gravel, un homme blanc, de s'en tirer avec un sursis", m'insiste Dinelle, qui se souvient que le sursis n'avait pas été possible depuis 15 ans. Photo Marco

Category

🗞
News

Recommandations