Ukraine: les Russes sur l'assaut de Vougledar, "Ferocious" Battle in Progress

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"Des combats sérieux et brutaux" en cours à Vougledar, la Belgique qui fournira des missiles à l'Ukraine, l'UE qui prolonge ses sanctions contre la Russie... A découvrir Suivez les informations sur la guerre en Ukraine avec l'application Figaro Bataille « féroce » en cours pour conquérir Vougledar Une bataille « féroce » est en cours pour Vougledar, une ville l'est l'Ukraine, que les forces russes tentent conquérir, ont déclaré vendredi les deux parties, Kyiv assurant que Moscou a « exagéré » le succès son offensive. "L'encerclement et libération la ville venir résoudront certaines choses", a-t-il déclaré à l'agence Ria Novosti, soulignant qu'une victoire "changerait le rapport de force sur le front" en ouvrant voie une offensive vers les villes Pokrovsk et Kourakhové, situé plus au nord. Le porte-parole de l'armée ukrainienne pour la zone Est, Serguiï Tcherevaty, a pour sa part confirmé "des combats acharnés", mais assure que les Russes ont été repoussés. "L'ennemi exagère, c'est un euphémisme, son succès", a-t-il ajouté : "face à ses pertes, l'ennemi recule". L'Ukraine a déclaré cette semaine que l'armée russe, en infériorité numérique, avait intensifié ses assauts à l'est, notamment contre Vougledar et Bakhmout, ce dernier étant une cible russe depuis des mois malgré de lourdes pertes. Kyiv dit infliger d'énormes pertes aux Russes, mais souligne que leur supériorité numérique rend les combats particulièrement difficiles. Macron va continuer "parler à la Russie", s'adresse aussi la Chine Le président français Emmanuel Macron a assuré vendredi qu'il continuerait "parler à Russie", malgré les critiques que cela suscite, mais a aussi appelé la Chine dénoncer "guerre impérialiste" en Ukraine. "Tous nos pays ont une position tenir, celle respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale quelles que soient les amitiés, les alliances que nous pouvons nourrir", a-t-il déclaré lors d'une réception à l'Elysée l'occasion du Nouvel An calendrier lunaire. "Certaines personnes en d'autres temps ont pu me reprocher de parler Russie et je continuerai parler la Russie", a ajouté Emmanuel Macron, l'un des rares chefs d'Etat occidentaux avoir gardé contact avec le maître du Kremlin, Vladimir Poutine, après l'invasion de l'Ukraine par Russie le 24 février 2022. "Mais qui pourrait défendre la possibilité d'un ordre international libre et stable si nous fermions les yeux sur une guerre impérialiste ? ", a-t-il lancé dans une allusion particulière à la Chine. "Nous sommes tous responsables de cet ordre et nous devons le faire respecter en étant simplement clairs sur nos principes", a poursuivi Emmanuel Macron, devant un parterre de personnalités économiques, artistiques et académiques liées à l'Asie. Quand le rêve russe de la France se transforme en tourment stratégique Zelensky dénonc