Jo-Wilfried Tsonga, 15 ans plus tard: "Aujourd'hui, je pourrais leur dire" Papa, maman, restez à la

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Un Français en finale d'un tournoi du Grand Chelem, c'est rare. La dernière fois, pour les hommes, c'était le 27 janvier 2008. 15 ans exactement. Et ce fut une divine surprise. A l'époque, si Jo-Wilfried Tsonga avait le vent en poupe après un début de carrière pourri par les blessures, il n'était encore que 38e mondial. Quand débutera l'Open d'Australie, personne n'imagine que le jeune Français sera le héros de la quinzaine, éliminant Andy Murray, Richard Gasquet ou encore, et surtout, Rafael Nadal dans une demi-finale presque surréaliste. En finale, malgré la victoire du premier set, Tsonga cédera en quatre sets face à un Novak Djokovic tout juste âgé de 20 ans mais déjà bien plus expérimenté que lui en de telles circonstances. Tsonga est tout de même le premier Tricolore à remporter un set en finale de Grand Chelem depuis Yannick Noah à Roland-Garros en 1983. Il fait mieux qu'Henri Leconte, Cédric Pioline à deux reprises ou Arnaud Clément. Mais cela ne le console pas. un d 15 ans plus tard, pour Eurosport, Jo-Wilfried revient sur son conte australien qui l'a révélé au grand public français et même au-delà. Il restera cet éternel regret, puisqu'il ne rejouera plus jamais une finale de Grand Chelem même s'il l'abordera plusieurs fois, mais aussi une foule d'images et beaucoup de bons souvenirs. Séquence nostalgie dans Legends' Voice, lorsque les Sarthois ont pris leur retraite l'an dernier à Roland-Garros. Open d'Australie Djokovic sur l'absence de son père dans les tribunes : "Nous avons pris la décision ensemble" IL Y A UNE HEURE _________________________________________________________ "Les premières images qui me viennent à l'esprit, étrangement, ne sont pas des images du tournoi mais de la préparation. J'avais fait beaucoup de préparation, j'étais arrivé là très tôt, presque un mois avant l'"Open d'Australie". Je me souviens séances physiques avec mes entraîneurs, des séances sur le terrain, matchs aussi. Une finale en double avec Richard Gasquet par exemple, que nous avons gagnée à Sydney contre les frères Bryan. , j'étais très jeune, c'était une épopée assez extraordinaire. Je vivais mon rêve et je me retrouve en finale d'un Grand Chelem. C'est un peu le Saint Graal pour un joueur de tennis. Donc, je n'ai pas une image en tête, j'en ai plusieurs. A l'approche de l'Open d'Australie, je suis en pleine confiance car physiquement, je suis très solide. Je suis inconscient. Les planètes sont alignées pour que je fasse un gros coup de poing. Franchement, je suis déterminé. Quand le tournoi commence, je suis convaincu que je peux le gagner. Bien sûr, si je l'avais crié sous tous les toits, on se serait certainement moqué de moi, on se serait moqué de moi. Mais c'était en moi. Le propre du grand champion est de se convaincre que c'est possible. J'ai battu Andy Murray dès le départ. Quand le t

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