L'étudiant de la veste à l'épreuve des balles peut retourner au Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu
- l’année dernière
#Létudiantveste #lépreuveballes #peutretourner
https://gotopnews.com/post/1425021
L'étudiant qui a semé l'excitation au Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu en novembre dernier en se présentant un gilet pare-balles pourra à nouveau fréquenter l'école, appris Tva Nouvelles. Dans le cadre d'une audience lundi, le tribunal a accepté que certaines conditions de libération imposées à Simon-Olivier Frappier, 20 ans, soient allégées. L'avocat la Couronne, moi Simon Boulianne, confirme qu'il n'y a plus conditions juridiques qui empêchent l'accusé se présenter au Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu. La condition qui a empêché Simon-Olivier Frappier contacter le professeur de psychologie, Frankie Bernèche, envers laquelle l'accusé aurait prononcé des menaces mort, a également été levée. Les autres conditions restent cependant en vigueur. Il est toujours interdit d'avoir des armes porter la veste à l'épreuve des balles qui a semé la panique dans certains étudiants et a lancé une opération de police majeure au cours laquelle les étudiants le personnel ont été confinés pendant plusieurs heures. Le dossier revient au tribunal fin janvier.
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L'étudiant qui a semé l'excitation au Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu en novembre dernier en se présentant un gilet pare-balles pourra à nouveau fréquenter l'école, appris Tva Nouvelles. Dans le cadre d'une audience lundi, le tribunal a accepté que certaines conditions de libération imposées à Simon-Olivier Frappier, 20 ans, soient allégées. L'avocat la Couronne, moi Simon Boulianne, confirme qu'il n'y a plus conditions juridiques qui empêchent l'accusé se présenter au Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu. La condition qui a empêché Simon-Olivier Frappier contacter le professeur de psychologie, Frankie Bernèche, envers laquelle l'accusé aurait prononcé des menaces mort, a également été levée. Les autres conditions restent cependant en vigueur. Il est toujours interdit d'avoir des armes porter la veste à l'épreuve des balles qui a semé la panique dans certains étudiants et a lancé une opération de police majeure au cours laquelle les étudiants le personnel ont été confinés pendant plusieurs heures. Le dossier revient au tribunal fin janvier.