Lors du procès de l'attaque approfondie d'avril 2017, le seul de Mahiedine Merabet, "dénonciateur" e

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Recherche au domicile de l'un des deux hommes soupçonnés d'avoir préparé une attaque lors de l'élection présidentielle à Marseille, le 18 avril 2017. Boris Horvat / AFP Ce n'était pas un interrogatoire, peut-être un seul sur scène. "Vous permettez-vous d'utiliser mes notes pour exprimer l'indicible? ", A demandé Mahiedine Merabet. Le président du tribunal spécial de Paris qui se préparait, le vendredi 13 janvierQuestion Le projet d'attaque pour lequel il a été jugé depuis le 5 janvier a hésité un instant. chemise à carreaux bleus, verres à cadre noir et barbe soigneusement coupée, l'accusé a libéré un épais tas feuilles manuscrites et averties: "Pourrais-je mener mon de vue au point vue du vers leterminer sans être interrompu? Je suis sur le point de faire des déclarations importantes ... " Nous avions laissé cet étrange accusé très conscient sa personne une semaine plus tôt, le jour de l'ouverture son procès, pour avoir examiné sa personnalité.lui-même en tant que "prisonnier politique musulman". De sept jours d'audience passés, au cours de laquelle le tribunal a entendu les enquêteurs et les témoins s'exprimer sur le fond du dossier: un projet d'attaque à la veille de l'élection présidentielle d'avril 2017. Quelques jours avant le premier tour, Mahiedine Merabet, qui a maintenant 35 ans, et son complice Clement Baur, qui avait 29fait peu temps avant sur Internet sur plusieurs bars de la ville, mais la date du fil, et des recherches récentes concernant une réunion Marine Le Pen prévue à Marseille avaient fait craindre une attaque contre le processus électoral. "Slam" judiciaire Quelle était la cible de cette opération terroriste? Cela devait être l'objet de cette interrogation en bas qui n'aura jamais lieu. Mahiedine Merabet n'avait pas prévu répondre aux questions.Premiers mots, nous avons pensé au phrasé syncopé par le rappeur français Kerry James dans sa lettre de slam à la République, une diatribe rimée à quatre minutes dénonçant "l'hypocrisie" l'ancien pouvoir colonial.quarante minutes. Dans le préambule, l'accusé souhaite faire comprendre au tribunal, ainsi que les journalistes à qui il prend régulièrement semble mesurer ses effets, le voyage intellectuel qui l'a conduit dans la boîte.de solitude "qu'il a longtemps pensé être spécifique à son sort. Mais en grandissant, a-t-il dit, il a constaté que" l'égoïsme et la solitude "étaient partout autour de lui:" Je me suis ensuite retourné pour revenir dans une sorte d'enquête, ausource du problème. »» Vous avez 70,75% .

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