SÉRIE - 7 milliards de dollars, le coffre-fort le plus sûr des États-Unis, une tempête qui s’abat sur New York et une équipe de braqueurs haute en couleur : sur le papier, le scénario de Kaleidoscope est alléchant mais peu original, comme le montre la bande-annonce en tête d’article.
En pratique, la nouvelle mini-série Netflix est pourtant une grande première : elle n’est pas linéaire et peut se regarder dans n’importe quel ordre. Dans Kaleidoscope, sortie le 1er janvier sur la plateforme de streaming, « chaque épisode est un morceau du puzzle ».
Ils n’ont pas de numéro dans leur titre, mais des couleurs : Jaune, Vert, Orange, Violet, Bleu, Rouge, Rose et Blanc. L’épisode « Noir » est une courte introduction expliquant le fonctionnement de la série.
Chaque épisode raconte une partie du casse, de sa préparation, qui se déroule sur 25 ans, à ses conséquences, quelques jours ou mois après le cambriolage. L’épisode « Blanc » est à regarder en dernier de préférence, même si Netflix ne le précise pas, car il dévoile ce qu’il se passe réellement le jour du casse, et les tenants et aboutissants de la série.
Les utilisateurs de Netflix ont donc 5 040 façons différentes de regarder Kaleidoscope. Netflix propose de commencer par l’épisode « Jaune », six semaines avant le cambriolage, car il présente chaque personnage au moment de former l’équipe et les grandes lignes du plan, mais libre à chacun de démarrer par un autre épisode.
Même si elle est très romancée, la série s’inspire d’un fait réel : en 2012, pendant l’ouragan Sandy, des titres au porteur d’une valeur de plusieurs milliards de dollars ont été détruits dans l’inondation du sous-sol de la Depository Trust & Clearing Corporation, une entreprise de Wall-Street.
Rien n’avait été volé et la majorité des titres avaient pu être récupérés ou réédités, mais le réalisateur Eric Garcia s’était dit qu’un ouragan était la couverture parfaite pour un casse, et de là est née Kaleidoscope.
En pratique, la nouvelle mini-série Netflix est pourtant une grande première : elle n’est pas linéaire et peut se regarder dans n’importe quel ordre. Dans Kaleidoscope, sortie le 1er janvier sur la plateforme de streaming, « chaque épisode est un morceau du puzzle ».
Ils n’ont pas de numéro dans leur titre, mais des couleurs : Jaune, Vert, Orange, Violet, Bleu, Rouge, Rose et Blanc. L’épisode « Noir » est une courte introduction expliquant le fonctionnement de la série.
Chaque épisode raconte une partie du casse, de sa préparation, qui se déroule sur 25 ans, à ses conséquences, quelques jours ou mois après le cambriolage. L’épisode « Blanc » est à regarder en dernier de préférence, même si Netflix ne le précise pas, car il dévoile ce qu’il se passe réellement le jour du casse, et les tenants et aboutissants de la série.
Les utilisateurs de Netflix ont donc 5 040 façons différentes de regarder Kaleidoscope. Netflix propose de commencer par l’épisode « Jaune », six semaines avant le cambriolage, car il présente chaque personnage au moment de former l’équipe et les grandes lignes du plan, mais libre à chacun de démarrer par un autre épisode.
Même si elle est très romancée, la série s’inspire d’un fait réel : en 2012, pendant l’ouragan Sandy, des titres au porteur d’une valeur de plusieurs milliards de dollars ont été détruits dans l’inondation du sous-sol de la Depository Trust & Clearing Corporation, une entreprise de Wall-Street.
Rien n’avait été volé et la majorité des titres avaient pu être récupérés ou réédités, mais le réalisateur Eric Garcia s’était dit qu’un ouragan était la couverture parfaite pour un casse, et de là est née Kaleidoscope.
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🎥
Court métrage