Enrico Macias : calvaire interminable

  • l’année dernière
Enrico Macias : calvaire interminable |Invicta Men's Pro Diver Stainless Steel Quartz Watch: https://amzn.to/3zkrZSD . Please help me with an order to maintain the system, thanks a lot.| Le chanteur Enrico Macias se bat toujours pour réparer son injustice. En plus de ses problèmes de santé, ses ennuis avec la justice semblent ne plus en finir. Le chanteur avait à l’époque obtenu un prêt auprès d’une filiale de la banque islandaise Landsbanki. Il avait alors hypothéqué sa villa de Saint-Tropez, pour obtenir 35 millions d’euros. Argent qu’il a malheureusement investi dans les fonds Madoff, du nom de Bernard Madoff. En 2009, pour la plus grande escroquerie de l’histoire ce dernier avait été condamné par la justice américaine à 150 ans de prisons. Mais pour Enrico Macias, les problèmes financiers ont commencé en 2008 alors que la banque où il avait fait l’emprunt a fait faillite. Les liquidateurs de celle-ci ont donc entrepris de récupérer les dettes. Toutefois leur projet consistait à mettre en vente les biens hypothéqués. Acculé par cette nouvelle, Enrico Macias s’était retrouvé avec une dette de plus de 30 millions d’euros. Il a su réagir en demandant justice aux tribunaux contre son ancienne banque. Une bataille judiciaire de plus de 10 ans qui a mal fini. En effet, en 2019 la justice luxembourgeoise l’avait condamné au remboursement de cette somme aux liquidateurs de la banque. Le chanteur avait partagé en avril 2020 son désenchantement. Il avait qualifié sa situation d’hyper-injustice, alors qu’il pleurait encore la perte de sa femme 12 ans plus tôt. L’idée de baisser les bras lui a même traversé l’esprit, mais dans ses derniers retranchements, il a voulu se battre contre cette décision du Luxembourg. La cour de cassation du Luxembourg a rejeté ses demandes. Enrico Macias a alors voulu continuer de se battre. L’interprète de « Filles de mon pays » s’était alors tournée vers la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Et comme la justice triomphe toujours, cette cour avait déduis que la justice luxembourgeoise avait violé le pacte européen des droits de l’homme en rejetant le recours du chanteur. Apparemment ce rejet violait le droit à un procès équitable. En outre, les juges européens avaient condamné le Luxembourg à payer 12000 euros au chanteur pour préjudice moral. Malheureusement, c’est bien loin des demandes de ce dernier qui estimait les préjudices matériels à 15 millions d’euros. Son avocat Patrice Spinosi considère dérisoire cette indemnisation, laissant à l’artiste qu’une victoire de principe.