On passe une très grande partie de notre vie au travail.
En France, ce temps représenterait en moyenne 35 années.
Trouver une voie qui nous passionne est donc souvent perçu comme une clé de l’épanouissement professionnel.
C’est d’ailleurs devenu une préoccupation majeure depuis la pandémie.
En réalisant un "métier passion", on est plus enclin à accepter des modalités de travail difficiles, des horaires atypiques, des bas salaires….
En réalité, les "métiers passion" ne seraient qu’une illusion.
Prenons par exemple les métiers suivant : journaliste, styliste, musicien, concepteur de jeux, chef-restaurateur... en 2019, les salaires moyens de ces professions étaient inférieurs au salaire annuel moyen au Royaume-Uni.
Elles se caractérisaient aussi par des heures et des tâches supplémentaires généralement non-payées.
On remarque également que les stages non-rémunérés sont habituels dans ces secteurs.
Mais si la motivation du début de carrière prend le dessus sur les salaires l’argent devient au fur et à
mesure une question centrale.
On s’aperçoit finalement que dans ces secteurs, les travailleurs passionnés sont trop souvent "sur-exploités".
Beaucoup décident donc par la suite de démissionner pour se diriger vers des professions "plus conventionnelles" qui leur permettent notamment d’avoir un meilleur équilibre de vie.
En France, ce temps représenterait en moyenne 35 années.
Trouver une voie qui nous passionne est donc souvent perçu comme une clé de l’épanouissement professionnel.
C’est d’ailleurs devenu une préoccupation majeure depuis la pandémie.
En réalisant un "métier passion", on est plus enclin à accepter des modalités de travail difficiles, des horaires atypiques, des bas salaires….
En réalité, les "métiers passion" ne seraient qu’une illusion.
Prenons par exemple les métiers suivant : journaliste, styliste, musicien, concepteur de jeux, chef-restaurateur... en 2019, les salaires moyens de ces professions étaient inférieurs au salaire annuel moyen au Royaume-Uni.
Elles se caractérisaient aussi par des heures et des tâches supplémentaires généralement non-payées.
On remarque également que les stages non-rémunérés sont habituels dans ces secteurs.
Mais si la motivation du début de carrière prend le dessus sur les salaires l’argent devient au fur et à
mesure une question centrale.
On s’aperçoit finalement que dans ces secteurs, les travailleurs passionnés sont trop souvent "sur-exploités".
Beaucoup décident donc par la suite de démissionner pour se diriger vers des professions "plus conventionnelles" qui leur permettent notamment d’avoir un meilleur équilibre de vie.
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