La plage, la Grande bleue et les mouettes, on pourrait croire que Libres Courts est en vacances…
Eh bien il n’en est rien ! Nous ne vous oublions pas et c’est depuis Villeneuve-Loubet, à une dizaine de kilomètres de Nice près de la fameuse Baie des Anges, que cette 6e édition de Libres Courts vous propose deux nouveaux courts.
Le premier, «L’imperméable », est l’œuvre d’un réalisateur que vous aviez découvert lors de Libres Courts numéro 3 : Nicolas Hauser. Rappelez-vous, il s’agissait du court où une grand-mère et son petit fils se retrouvaient sur une place de Nice. Si l’on en croit vos commentaires, vous aviez été touchés par ce film, alors nous nous sommes donc dit que vous seriez heureux de retrouver ce réalisateur avec un court tout aussi poétique, un muet, en noir et blanc, un peu à la manière de Charlie Chaplin. Le second est signé Pierre-Toussaint Jounieaux, un Corse passé par Nice qui travaille aujourd’hui à Paris et qui nous propose une reconstitution minutieuse de l’ambiance d’une maison à la fin du 18e siècle confrontée à un mal mystérieux et invisible. « Les vampires n’existent pas » ou comment la jalousie mène aux plus vils instincts… Bonne dégustation !
Loïc Landrau
Eh bien il n’en est rien ! Nous ne vous oublions pas et c’est depuis Villeneuve-Loubet, à une dizaine de kilomètres de Nice près de la fameuse Baie des Anges, que cette 6e édition de Libres Courts vous propose deux nouveaux courts.
Le premier, «L’imperméable », est l’œuvre d’un réalisateur que vous aviez découvert lors de Libres Courts numéro 3 : Nicolas Hauser. Rappelez-vous, il s’agissait du court où une grand-mère et son petit fils se retrouvaient sur une place de Nice. Si l’on en croit vos commentaires, vous aviez été touchés par ce film, alors nous nous sommes donc dit que vous seriez heureux de retrouver ce réalisateur avec un court tout aussi poétique, un muet, en noir et blanc, un peu à la manière de Charlie Chaplin. Le second est signé Pierre-Toussaint Jounieaux, un Corse passé par Nice qui travaille aujourd’hui à Paris et qui nous propose une reconstitution minutieuse de l’ambiance d’une maison à la fin du 18e siècle confrontée à un mal mystérieux et invisible. « Les vampires n’existent pas » ou comment la jalousie mène aux plus vils instincts… Bonne dégustation !
Loïc Landrau
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