2.000 personnes étaient invitées aux obsèques de la Reine Elizabeth, et parmi eux, 500 chefs d’États et têtes couronnées. La veille des obsèques ils ont été conviés par le roi Charles III à Buckingham pour un dîner. Certains comme le président français ou américain se sont recueillis devant le cercueil de la défunte reine.
Parmi les familles royales étrangères, certains cousins éloignés de la Reine. Placés face à la famille royale britannique, on a pu apercevoir les rois d’Espagne, des Pays-Bas, de Norvège, du Danemark, Albert II de Monaco ou encore l’empereur du Japon et son épouse qui ont effectué leur premier voyage à l’étranger depuis leur accession au trône.
Côté politique, des représentants des 56 pays du Commonwealth, les anciens Premier ministre du Royaume et de nombreux présidents. Pour simplifier leur transport il leur a été demandé de venir à l’abbaye en bus. Seule exception, Joe Biden a pu bénéficier de limousine personnelle blindée. Comme tous les invités, les chefs d’Etat ont du patienter avant de rejoindre leur place Des places attribuées en prenant soin de ne vexer personne et que tous soient bien visibles. Certains pays ont été exclus des funérailles, c’est le cas de la Russie notamment, après l’invasion de l’Ukraine. Une attitude jugée blasphématoire par le président russe. Nombre de places limitées oblige, les invités n’avaient droit qu’à un seul accompagnant. Et certains comme Barack Obama et sa femme se sont retrouvés sur liste d’attente et n’ont pu assister aux funérailles.
Parmi les familles royales étrangères, certains cousins éloignés de la Reine. Placés face à la famille royale britannique, on a pu apercevoir les rois d’Espagne, des Pays-Bas, de Norvège, du Danemark, Albert II de Monaco ou encore l’empereur du Japon et son épouse qui ont effectué leur premier voyage à l’étranger depuis leur accession au trône.
Côté politique, des représentants des 56 pays du Commonwealth, les anciens Premier ministre du Royaume et de nombreux présidents. Pour simplifier leur transport il leur a été demandé de venir à l’abbaye en bus. Seule exception, Joe Biden a pu bénéficier de limousine personnelle blindée. Comme tous les invités, les chefs d’Etat ont du patienter avant de rejoindre leur place Des places attribuées en prenant soin de ne vexer personne et que tous soient bien visibles. Certains pays ont été exclus des funérailles, c’est le cas de la Russie notamment, après l’invasion de l’Ukraine. Une attitude jugée blasphématoire par le président russe. Nombre de places limitées oblige, les invités n’avaient droit qu’à un seul accompagnant. Et certains comme Barack Obama et sa femme se sont retrouvés sur liste d’attente et n’ont pu assister aux funérailles.
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