Au Sri Lanka, « la classe dirigeante a condamné le pays »

  • il y a 2 ans
Le 9 juillet, des manifestations monstre ont poussé le président du Sri Lanka, Gotabaya Rajapaksa, à fuir sa résidence et à présenter sa démission. Poussés à bout par une situation économique dramatique, les Sri Lankais expriment leur rejet du clan Rajpaksa et demandent « un changement profond de la société », analyse le spécialiste Delon Madavan, géographe et chercheur au Centre d’études et de recherche sur l’Inde, l’Asie du Sud et sa diaspora (CERIAS/UQÀM).