Cette étude risque d’offenser les amateurs d’astrologie !
Selon des chercheurs suédois, les adeptes d’astrologie sont plus centrés sur eux-même que la norme et possèdent un QI plus faible.
Pour parvenir à ces conclusions, les auteurs de l’étude ont questionné 264 participants âgés entre 25 et 34 ans (dont 87% de femmes) via Facebook.
4 critères ont été pris en compte :
- la croyance en astrologie.
- les traits de personnalité du Big Five (ouverture, conscienciosité, extraversion, agréabilité, névrosisme).
- le narcissisme.
- l’intelligence.
Il apparaît que ceux qui s’intéressent le plus à l’astrologie soient caractérisés par un fort taux de narcissisme et de mauvais résultats au test de QI.
Attention toutefois à nuancer ces résultats :
"Nous ne prétendons pas que toutes les personnes pratiquant l’astrologie sont plus narcissiques (ou ont un QI inférieur), car nous ne pouvons parler que de notre échantillon…. Il faudrait mener d’autres recherches, avec des échantillons plus importants et plus diversifiés." Ida Andersson, auteure de l’étude par l’Université de Lund (Suède)
Selon des chercheurs suédois, les adeptes d’astrologie sont plus centrés sur eux-même que la norme et possèdent un QI plus faible.
Pour parvenir à ces conclusions, les auteurs de l’étude ont questionné 264 participants âgés entre 25 et 34 ans (dont 87% de femmes) via Facebook.
4 critères ont été pris en compte :
- la croyance en astrologie.
- les traits de personnalité du Big Five (ouverture, conscienciosité, extraversion, agréabilité, névrosisme).
- le narcissisme.
- l’intelligence.
Il apparaît que ceux qui s’intéressent le plus à l’astrologie soient caractérisés par un fort taux de narcissisme et de mauvais résultats au test de QI.
Attention toutefois à nuancer ces résultats :
"Nous ne prétendons pas que toutes les personnes pratiquant l’astrologie sont plus narcissiques (ou ont un QI inférieur), car nous ne pouvons parler que de notre échantillon…. Il faudrait mener d’autres recherches, avec des échantillons plus importants et plus diversifiés." Ida Andersson, auteure de l’étude par l’Université de Lund (Suède)
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