Législature Dordogne : Jérôme Peyrat retire sa candidature face à la polémique
- il y a 2 ans
La polémique sur sa condamnation pour violence conjugale conduit la majorité présidentielle à retirer sa candidature Il ne résistera pas à la polémique: AFP mercredi après-midi
#LégislativesDordogne #polémique #Jérôme #Peyratretire
"J'ai entendu dire que ma participation à l'élection législative pouvait blesser ma famille politique. Je l'ai retirée", a déclaré l'ancien candidat du Périgord. "Je demande à chacun d'examiner attentivement les faits de mes accusations, la décision de justice et les autres décisions prises dans cette affaire", a-t-il souligné.
"Avocat d'occasion"
"La coalition de la méchanceté, des raccourcis partisans et de la conscience à peu de frais, amplifiée par les chaînes numériques, l'anonymat rivalisant avec l'ignorance des procureurs de seconde main, a fusionné un épisode de ma vie où je m'expliquais largement que la violence était contre moi Totalement étrangère, », a déclaré l'ancien conseiller de l'Elysée dans son communiqué.
Le conseiller régional et maire de La Roque-Gageac en Sarladais, conseiller du président, s'est attiré la colère de l'armée macroniste de son département et l'opposition des réseaux sociaux. En cause, il a été reconnu coupable en 2020 de violences volontaires sur une ex-compagne et condamné à 3 000 euros d'amende.
Beaucoup considèrent la situation comme incompatible avec la déclaration de l'égalité des sexes, principale raison du mandat de cinq ans. L'aval du représentant général de la Renaissance, Stanislas Guérini, dans un entretien à France Info mercredi matin, n'a fait qu'ajouter à la polémique. Décrivant Jérôme Peyrat comme "un honnête homme. Je ne crois pas qu'il soit capable de violences faites aux femmes", il a estimé : "Si je suis sûr ou même soupçonné qu'on a affaire à un homme qui peut et est coupable de violences faites aux femmes , je n'accepterai jamais le mandat".
Sur le même sujet à la législature de Dordogne : "un honnête homme", Guérini prend la défense d'un candidat condamné pour violences conjugales Jérôme Peyrat, condamné en 2020 pour violences conjugales, a été gouverné par la majorité présidentielle Invest aux élections législatives en Dordogne. Mercredi, Stanislas Guérini l'a soutenu, provoquant un retour de bâton sur les réseaux sociaux
après #Metoo
Stanislas Guérini a également évoqué le caractère "complexe" de l'affaire, notant que l'ex-compagne de Jérôme Peyrat - qui a été totalement incapable de travailler pendant 14 jours - a également été condamnée pour des messages injurieux et diffamatoires.
Des propos qui ont fait bondir l'opposition, notamment LFI Mathilde Panot, qui a dénoncé "la honte" et le "naufrage".
"Je mesure
#LégislativesDordogne #polémique #Jérôme #Peyratretire
"J'ai entendu dire que ma participation à l'élection législative pouvait blesser ma famille politique. Je l'ai retirée", a déclaré l'ancien candidat du Périgord. "Je demande à chacun d'examiner attentivement les faits de mes accusations, la décision de justice et les autres décisions prises dans cette affaire", a-t-il souligné.
"Avocat d'occasion"
"La coalition de la méchanceté, des raccourcis partisans et de la conscience à peu de frais, amplifiée par les chaînes numériques, l'anonymat rivalisant avec l'ignorance des procureurs de seconde main, a fusionné un épisode de ma vie où je m'expliquais largement que la violence était contre moi Totalement étrangère, », a déclaré l'ancien conseiller de l'Elysée dans son communiqué.
Le conseiller régional et maire de La Roque-Gageac en Sarladais, conseiller du président, s'est attiré la colère de l'armée macroniste de son département et l'opposition des réseaux sociaux. En cause, il a été reconnu coupable en 2020 de violences volontaires sur une ex-compagne et condamné à 3 000 euros d'amende.
Beaucoup considèrent la situation comme incompatible avec la déclaration de l'égalité des sexes, principale raison du mandat de cinq ans. L'aval du représentant général de la Renaissance, Stanislas Guérini, dans un entretien à France Info mercredi matin, n'a fait qu'ajouter à la polémique. Décrivant Jérôme Peyrat comme "un honnête homme. Je ne crois pas qu'il soit capable de violences faites aux femmes", il a estimé : "Si je suis sûr ou même soupçonné qu'on a affaire à un homme qui peut et est coupable de violences faites aux femmes , je n'accepterai jamais le mandat".
Sur le même sujet à la législature de Dordogne : "un honnête homme", Guérini prend la défense d'un candidat condamné pour violences conjugales Jérôme Peyrat, condamné en 2020 pour violences conjugales, a été gouverné par la majorité présidentielle Invest aux élections législatives en Dordogne. Mercredi, Stanislas Guérini l'a soutenu, provoquant un retour de bâton sur les réseaux sociaux
après #Metoo
Stanislas Guérini a également évoqué le caractère "complexe" de l'affaire, notant que l'ex-compagne de Jérôme Peyrat - qui a été totalement incapable de travailler pendant 14 jours - a également été condamnée pour des messages injurieux et diffamatoires.
Des propos qui ont fait bondir l'opposition, notamment LFI Mathilde Panot, qui a dénoncé "la honte" et le "naufrage".
"Je mesure