CINÉMA - La présence du réalisateur russe Kirill Serebrennikov n’était pas le seul événement de la journée. Non, ce mercredi 18 mai a aussi été marqué par le retour, sur le tapis rouge de la 75e édition du Festival de Cannes, d’une des plus grandes stars hollywoodiennes: Tom Cruise.
Ce dernier s’est rendu à la projection de Top Gun: Maverick, suite du film emblématique qui l’a fait star en 1986. Le second opus a, lui, été réalisé par Joseph Kosinski et met également en scène Val Kilmer, Jennifer Connelly, Jon Hamm et Miles Teller.
À cette occasion, Tom Cruise a respecté le dress code à la lettre. Il est apparu dans un sobre, mais très élégant, smoking noir signé Giorgio Armani, accompagné d’une chemise blanche et d’un nœud papillon.
Dans Top Gun: Maverick, Tom Cruise remet, 36 ans après, la combinaison du célèbre pilote d’élite. Réaliser une suite au film culte avec son héros, bientôt âgé de 60 ans, était risqué. Et pourtant, le résultat est plus que concluant, comme le résume notre envoyée spéciale à Cannes: “Je me suis pris la claque que je n’attendais pas.”
Pourquoi? “Parce que Top Gun: Maverick est avant tout un très bon film d’action qui fait monter l’adrénaline dès les premières minutes lorsque le personnage de Pete Mitchell, devenu pilote d’essai certes belliqueux, mais un poil plus conscient du danger, fait surchauffer son avion en passant la vitesse de Mach 10.”
“Je fais des films pour le grand écran”
Envoyé à l’école Top Gun pour former les meilleurs pilotes de la nouvelle génération pour une périlleuse mission, l’instructeur Maverick les entraîne dans d’innombrables “dogfights”, ces fameux combats aériens déjà au centre du volet de 1986. Mais quand les plans de l’époque étaient plutôt répétitifs, ils sont là plus immersifs que jamais.
La superstar américaine n’avait plus monté les marches du tapis rouge depuis l’année 1992 et la présentation d’Horizons lointains de Ron Howard. Un film présenté hors compétition, comme ce nouveau Top Gun, qui sortira le 25 mai prochain dans les salles françaises.
À 59 ans, le grand habitué des superproductions, qui fait ses cascades lui-même, est revenu sur les évolutions du milieu du cinéma, et notamment sur l’implication grandissante des plateformes de streaming.
“Je fais des films pour le grand écran. Mes films ne sortiront pas directement sur les plateformes. Aller au cinéma, c’est partager une expérience, quelle que soit notre culture ou langue. Je vais voir les films en salles quand ils sortent. Je mets ma casquette. J
Ce dernier s’est rendu à la projection de Top Gun: Maverick, suite du film emblématique qui l’a fait star en 1986. Le second opus a, lui, été réalisé par Joseph Kosinski et met également en scène Val Kilmer, Jennifer Connelly, Jon Hamm et Miles Teller.
À cette occasion, Tom Cruise a respecté le dress code à la lettre. Il est apparu dans un sobre, mais très élégant, smoking noir signé Giorgio Armani, accompagné d’une chemise blanche et d’un nœud papillon.
Dans Top Gun: Maverick, Tom Cruise remet, 36 ans après, la combinaison du célèbre pilote d’élite. Réaliser une suite au film culte avec son héros, bientôt âgé de 60 ans, était risqué. Et pourtant, le résultat est plus que concluant, comme le résume notre envoyée spéciale à Cannes: “Je me suis pris la claque que je n’attendais pas.”
Pourquoi? “Parce que Top Gun: Maverick est avant tout un très bon film d’action qui fait monter l’adrénaline dès les premières minutes lorsque le personnage de Pete Mitchell, devenu pilote d’essai certes belliqueux, mais un poil plus conscient du danger, fait surchauffer son avion en passant la vitesse de Mach 10.”
“Je fais des films pour le grand écran”
Envoyé à l’école Top Gun pour former les meilleurs pilotes de la nouvelle génération pour une périlleuse mission, l’instructeur Maverick les entraîne dans d’innombrables “dogfights”, ces fameux combats aériens déjà au centre du volet de 1986. Mais quand les plans de l’époque étaient plutôt répétitifs, ils sont là plus immersifs que jamais.
La superstar américaine n’avait plus monté les marches du tapis rouge depuis l’année 1992 et la présentation d’Horizons lointains de Ron Howard. Un film présenté hors compétition, comme ce nouveau Top Gun, qui sortira le 25 mai prochain dans les salles françaises.
À 59 ans, le grand habitué des superproductions, qui fait ses cascades lui-même, est revenu sur les évolutions du milieu du cinéma, et notamment sur l’implication grandissante des plateformes de streaming.
“Je fais des films pour le grand écran. Mes films ne sortiront pas directement sur les plateformes. Aller au cinéma, c’est partager une expérience, quelle que soit notre culture ou langue. Je vais voir les films en salles quand ils sortent. Je mets ma casquette. J
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