Sarkozy soutient Macron ? Pour Pécresse, musique toxique
Le Nice Morning News (avant de se raviser) a indiqué que l'ancien chef de l'Etat soutiendrait l'actuel locataire de l'Elysée.
#Unsoutien #SarkozyMacron #Pour
Politique - C'est une histoire de poison lent, dont les effets se manifestent périodiquement. Depuis son entrée dans la course, Valérie Pekeres ne peut pas compter sur le soutien de l'ancien président Nicolas Sarkozy, la star de sa famille politique. Pour ne rien arranger, le candidat LR doit faire face à des menaces de soutien à Emmanuel Macron de la part de l'ancien locataire de l'Elysée après que l'ancien chef de l'Etat a tenu des propos inamical à son encontre.
Cela constituerait un séisme à droite, tant "Sacco" est une figure centrale de cette famille politique. L'Épée de Damoclès non loin de la chute, mercredi 16 mars. Citant une source provençale proche de Nicolas Sarkozy, Nice Martin a déclaré que l'ancien président pourrait profiter de son déplacement prévu dimanche à Toulouse, où il participera au deuil des victimes de l'attentat de 2012, pour montrer qu'il est contre Emmanuel Macron. L'entourage de Nicolas Sarkozy a alors, sous conditions, rejeté le message - au moins formellement - rappelant qu'un moment d'hommage en lien avec un événement d'une telle gravité n'est tout simplement pas propice à ce type d'événement.
Toujours est-il que l'hypothèse est à nouveau dans le débat public avec le candidat LR toujours orphelin du dub sarkozyste. "Je suis ma route", a calmement répondu Valérie Pécresse au Parisien, lui demandant de "faire le deuil" du soutien de Nicolas Sarkozy. Une forme de démission qui a heurté ce que disaient ses partisans avant leur échec au Zénith de Paris début février. "Il restera fidèle à sa famille comme toujours", espère sincèrement sa porte-parole Agnès Evren auprès du Huffington Post.
Soutien implicite ?
Un mois plus tard, ses lieutenants semblent un peu moins sûrs d'eux et jouent désormais avec les fibres sentimentales. « Je ne veux pas le croire. Ce sera une terrible déception pour tous ceux qui l'ont accompagné, se sont dépensés, ont milité pour lui. Le pays peut soutenir Emmanuel Macron.
Mais ce silence ne vaut-il pas le soutien implicite ? Dans le Huffington Post, un membre du gouvernement expliquait la semaine dernière que le retrait de Nicolas Sarkozy serait suffisamment meurtrier pour le bon candidat. Et les anciens présidents de la république n'ont pas forcément besoin de se déplacer pour tarir les intentions de vote avant le premier tour de scrutin,
#Unsoutien #SarkozyMacron #Pour
Politique - C'est une histoire de poison lent, dont les effets se manifestent périodiquement. Depuis son entrée dans la course, Valérie Pekeres ne peut pas compter sur le soutien de l'ancien président Nicolas Sarkozy, la star de sa famille politique. Pour ne rien arranger, le candidat LR doit faire face à des menaces de soutien à Emmanuel Macron de la part de l'ancien locataire de l'Elysée après que l'ancien chef de l'Etat a tenu des propos inamical à son encontre.
Cela constituerait un séisme à droite, tant "Sacco" est une figure centrale de cette famille politique. L'Épée de Damoclès non loin de la chute, mercredi 16 mars. Citant une source provençale proche de Nicolas Sarkozy, Nice Martin a déclaré que l'ancien président pourrait profiter de son déplacement prévu dimanche à Toulouse, où il participera au deuil des victimes de l'attentat de 2012, pour montrer qu'il est contre Emmanuel Macron. L'entourage de Nicolas Sarkozy a alors, sous conditions, rejeté le message - au moins formellement - rappelant qu'un moment d'hommage en lien avec un événement d'une telle gravité n'est tout simplement pas propice à ce type d'événement.
Toujours est-il que l'hypothèse est à nouveau dans le débat public avec le candidat LR toujours orphelin du dub sarkozyste. "Je suis ma route", a calmement répondu Valérie Pécresse au Parisien, lui demandant de "faire le deuil" du soutien de Nicolas Sarkozy. Une forme de démission qui a heurté ce que disaient ses partisans avant leur échec au Zénith de Paris début février. "Il restera fidèle à sa famille comme toujours", espère sincèrement sa porte-parole Agnès Evren auprès du Huffington Post.
Soutien implicite ?
Un mois plus tard, ses lieutenants semblent un peu moins sûrs d'eux et jouent désormais avec les fibres sentimentales. « Je ne veux pas le croire. Ce sera une terrible déception pour tous ceux qui l'ont accompagné, se sont dépensés, ont milité pour lui. Le pays peut soutenir Emmanuel Macron.
Mais ce silence ne vaut-il pas le soutien implicite ? Dans le Huffington Post, un membre du gouvernement expliquait la semaine dernière que le retrait de Nicolas Sarkozy serait suffisamment meurtrier pour le bon candidat. Et les anciens présidents de la république n'ont pas forcément besoin de se déplacer pour tarir les intentions de vote avant le premier tour de scrutin,
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