Artiste à succès, papa épanouie et homme comblé, Kendji Girac vit depuis peu un véritable conte de fées. Pour autant, le chanteur n’a jamais oublié ses racines et les moments difficiles qu’il a dû affronter pour en arriver là. Au micro de France Inter, il est d’ailleurs revenu sur ses origines gitanes, et les clichés qui touchent cette communauté.
"Les gens nous regardaient avec peur"
Avant d’être cet artiste apprécié de tous, le jeune papa était aux côtés de sa famille, avec un quotidien de gens du voyage, qui parcourent les routes sans jamais s’arrêter. Face à Augustin Trapenard, l’interprète de Gitano a évoqué cette vie antérieure et les mauvais côtés directement liés à cette vie, "On arrivait dans des endroits et les gens nous regardaient avec peur, mais après je comprends la crainte car il y a tellement de préjugés." avant de préciser, "Bien sûr certains sont vrais, mais la plupart sont faux".
Sa jeunesse et les voyages à travers la France n’ont pas toujours été très joyeux, et surtout très décevants, "Voir qu’ils avaient peur, c’est blessant. Nous, on venait juste pour voyager, faire de la musique et rester dans un champ". Très touché par cette situation qu’il a longtemps connue, Kendji Girac s’aperçoit tout de même que les choses commencent à changer, "Il y a eu beaucoup de préjugés, mais je suis content car ça a beaucoup changé ".
Prêt à tout pour faire bouger les mentalités, le chanteur pense que sa musique pourrait être très utile pour ça. Convaincu, il souhaite en tout cas lutter corps et âme que les gens arrêtent « rester bloqués sur ces préjugés qui ont 500 ans", avant de préciser qu’"Il y a des bons côtés chez les gitans et ça, on n’en parle pas assez".-
"Les gens nous regardaient avec peur"
Avant d’être cet artiste apprécié de tous, le jeune papa était aux côtés de sa famille, avec un quotidien de gens du voyage, qui parcourent les routes sans jamais s’arrêter. Face à Augustin Trapenard, l’interprète de Gitano a évoqué cette vie antérieure et les mauvais côtés directement liés à cette vie, "On arrivait dans des endroits et les gens nous regardaient avec peur, mais après je comprends la crainte car il y a tellement de préjugés." avant de préciser, "Bien sûr certains sont vrais, mais la plupart sont faux".
Sa jeunesse et les voyages à travers la France n’ont pas toujours été très joyeux, et surtout très décevants, "Voir qu’ils avaient peur, c’est blessant. Nous, on venait juste pour voyager, faire de la musique et rester dans un champ". Très touché par cette situation qu’il a longtemps connue, Kendji Girac s’aperçoit tout de même que les choses commencent à changer, "Il y a eu beaucoup de préjugés, mais je suis content car ça a beaucoup changé ".
Prêt à tout pour faire bouger les mentalités, le chanteur pense que sa musique pourrait être très utile pour ça. Convaincu, il souhaite en tout cas lutter corps et âme que les gens arrêtent « rester bloqués sur ces préjugés qui ont 500 ans", avant de préciser qu’"Il y a des bons côtés chez les gitans et ça, on n’en parle pas assez".-
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Amusant