Guerre d'Ukraine en direct : "Petits progrès" dans le corridor humanitaire lors du troisième cycle d
- il y a 2 ans
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#GuerreUkraine #ENDIRECT #Des
18h50 : Voie d'évacuation "Mine"
Le CICR a précisé lundi que l'évacuation des civils du port assiégé de Marioupol, dans le sud-est de l'Ukraine, avait échoué en raison des hostilités et d'un manque d'accord clair sur des itinéraires sûrs. Deux tentatives d'évacuation de civils de Marioupol ont échoué ces derniers jours, Kiev et Moscou s'accusant mutuellement de violer les conditions d'évacuation.
Dans une interview accordée à la BBC, Dominic Stillhart, directeur des opérations du CICR, a expliqué qu'une équipe de l'organisation avait commencé dimanche à ouvrir une voie d'évacuation depuis Marioupol, mais « dès qu'ils sont arrivés au premier poste d'inspection, ils se sont juste rendu compte que ce route, ils se sont avérés être effectivement exploités. »
Mais un porte-parole de l'organisation à Genève a déclaré plus tard à l'AFP : "Le CICR tient à préciser que le personnel du CICR, leurs familles et les autres civils ne peuvent pas quitter Marioupol car ils quittent la ville sans sécurité. Une ligne a été convenue et les hostilités ont repris".
#GuerreUkraine #ENDIRECT #Des
18h50 : Voie d'évacuation "Mine"
Le CICR a précisé lundi que l'évacuation des civils du port assiégé de Marioupol, dans le sud-est de l'Ukraine, avait échoué en raison des hostilités et d'un manque d'accord clair sur des itinéraires sûrs. Deux tentatives d'évacuation de civils de Marioupol ont échoué ces derniers jours, Kiev et Moscou s'accusant mutuellement de violer les conditions d'évacuation.
Dans une interview accordée à la BBC, Dominic Stillhart, directeur des opérations du CICR, a expliqué qu'une équipe de l'organisation avait commencé dimanche à ouvrir une voie d'évacuation depuis Marioupol, mais « dès qu'ils sont arrivés au premier poste d'inspection, ils se sont juste rendu compte que ce route, ils se sont avérés être effectivement exploités. »
Mais un porte-parole de l'organisation à Genève a déclaré plus tard à l'AFP : "Le CICR tient à préciser que le personnel du CICR, leurs familles et les autres civils ne peuvent pas quitter Marioupol car ils quittent la ville sans sécurité. Une ligne a été convenue et les hostilités ont repris".