Arthur
Producteur et présentateur de Vendredi Tout est Permis samedi soir sur TF1
L’animateur-producteur fête les 10 ans de son divertissement « Vendredi tout est permis » sur TF1
C’est le 16 décembre 2011 que « Vendredi tout est permis » a fait son apparition sur TF1. 10 ans plus tard, Arthur célèbre cet anniversaire au Dôme de Paris avec tous ceux qui ont fait le succès de l’émission. Un grand barnum avec 2 000 spectateurs dans la salle, les jeux habituels et une cinquantaine d’invités sur scène. « Au début du spectacle, j'ai envoyé un SMS à tous les invités qui ont fait VTEP, en leur disant « Vous avez une heure pour arriver, pas besoin de vous habiller. Venez comme vous êtes. C’est Vendredi tout est permis mais avec une dimension un peu plus événementielle, tout est démesuré », raconte l’animateur-producteur, qui se réjouit d’être devenu un dénicheur de talents. « La force du concept, c'était de créer un terrain de jeu pour découvrir les talents de demain. C'est le seul lieu où les artistes peuvent faire leur métier, c'est à dire faire rire, danser et chanter, improviser. C'est devenu un tremplin pour eux et j’en suis ravi ». Le divertissement, qui est une création française vendue dans le monde entier, va partir en tournée dans toute la France, probablement en 2023.
Arthur a cependant connu un échec avec « District Z », déprogrammé en décembre après seulement deux numéros, faute d’audience. « On a cherché mille excuses, mais le résultat, c'est que ça n'a pas marché. Si on a arrêté le programme, c'est parce que la troisième était prévue le jour de Noël. Avec la nouvelle vague de Covid, mettre des zombies à l’antenne, on a préféré décaler. Mais l'émission n'est pas morte, on va la diffuser à une autre période. Alors c'est vrai, c'est un échec. Mais on ne peut pas réussir à tous les coups ! L'essentiel, c'est d'essayer. » Si les succès et les échecs jalonnent la carrière d’un producteur, force est de constater que les accidents industriels sont de plus en plus fréquents à la télé, média qui souffre fortement de la concurrence des plateformes de vidéo à la demande. « J'ai souvenir de mon ami Etienne Mougeotte (ancien numéro 2 de TF1 de 1987 à 2007) qui, il y a quelques années, m'avait appelé pour m'engueuler parce que je n’avais fait que 12 millions de téléspectateurs ! Donc aujourd'hui, on a basculé dans une autre époque, c'est très difficile de lancer des nouveautés. Pourtant c’est ce que nous demandent les chaînes. Mais je n'ai pas à me plaindre. Que ce soit TF1 ou France Télévisions, on me commande beaucoup de nouveautés. » Par exemple, « Un flirt et une danse » qui arrivera en février sur France 2 avec Faustine Bollaert aux commandes. « Des personnes qui ne se connaissent pas vont se rencontrer sur un parquet de danse, comme le faisaient nos parents ou grands-parents à l'époque des dancing ou des thés dansants. Et c'est beau, c'est feel good. »
Producteur et présentateur de Vendredi Tout est Permis samedi soir sur TF1
L’animateur-producteur fête les 10 ans de son divertissement « Vendredi tout est permis » sur TF1
C’est le 16 décembre 2011 que « Vendredi tout est permis » a fait son apparition sur TF1. 10 ans plus tard, Arthur célèbre cet anniversaire au Dôme de Paris avec tous ceux qui ont fait le succès de l’émission. Un grand barnum avec 2 000 spectateurs dans la salle, les jeux habituels et une cinquantaine d’invités sur scène. « Au début du spectacle, j'ai envoyé un SMS à tous les invités qui ont fait VTEP, en leur disant « Vous avez une heure pour arriver, pas besoin de vous habiller. Venez comme vous êtes. C’est Vendredi tout est permis mais avec une dimension un peu plus événementielle, tout est démesuré », raconte l’animateur-producteur, qui se réjouit d’être devenu un dénicheur de talents. « La force du concept, c'était de créer un terrain de jeu pour découvrir les talents de demain. C'est le seul lieu où les artistes peuvent faire leur métier, c'est à dire faire rire, danser et chanter, improviser. C'est devenu un tremplin pour eux et j’en suis ravi ». Le divertissement, qui est une création française vendue dans le monde entier, va partir en tournée dans toute la France, probablement en 2023.
Arthur a cependant connu un échec avec « District Z », déprogrammé en décembre après seulement deux numéros, faute d’audience. « On a cherché mille excuses, mais le résultat, c'est que ça n'a pas marché. Si on a arrêté le programme, c'est parce que la troisième était prévue le jour de Noël. Avec la nouvelle vague de Covid, mettre des zombies à l’antenne, on a préféré décaler. Mais l'émission n'est pas morte, on va la diffuser à une autre période. Alors c'est vrai, c'est un échec. Mais on ne peut pas réussir à tous les coups ! L'essentiel, c'est d'essayer. » Si les succès et les échecs jalonnent la carrière d’un producteur, force est de constater que les accidents industriels sont de plus en plus fréquents à la télé, média qui souffre fortement de la concurrence des plateformes de vidéo à la demande. « J'ai souvenir de mon ami Etienne Mougeotte (ancien numéro 2 de TF1 de 1987 à 2007) qui, il y a quelques années, m'avait appelé pour m'engueuler parce que je n’avais fait que 12 millions de téléspectateurs ! Donc aujourd'hui, on a basculé dans une autre époque, c'est très difficile de lancer des nouveautés. Pourtant c’est ce que nous demandent les chaînes. Mais je n'ai pas à me plaindre. Que ce soit TF1 ou France Télévisions, on me commande beaucoup de nouveautés. » Par exemple, « Un flirt et une danse » qui arrivera en février sur France 2 avec Faustine Bollaert aux commandes. « Des personnes qui ne se connaissent pas vont se rencontrer sur un parquet de danse, comme le faisaient nos parents ou grands-parents à l'époque des dancing ou des thés dansants. Et c'est beau, c'est feel good. »
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