• il y a 3 ans
Journaliste et autrice. Judith Perrignon n’a pas choisi. Depuis son entrée au journal Libération en 1991, elle fait naviguer sa plume entre ses deux univers. Après le service politique puis à la page « Portraits » du journal, elle collabore désormais en tant que pigiste aux revues « Marianne », « M le magazine » du Monde et « XXI ».

Mais au salon du livre du Mans, c’est pour parler de ses livres qu’elle a fait le déplacement. Elle a notamment publié « C’était mon frère » (L’Iconoclaste, 2006), sur Vincent et Théo Van Gogh, qui a connu un succès public et critique. Au fil des années, elle donne la parole à des personnalités connues. Elle est l’autrice de l’ouvrage « Lettre à une mère » avec le Pr Réne Frydman (2008), de « Mauvais génie » (Stock, 2005) avec Marianne Denicourt. Après le joli succès en 2010 du roman « Les chagrins » (éditions Stock), elle coécrit un roman policier « Les yeux de Lira » avec Eva Joly. Et en 2012 sort « N’oubliez pas que je joue » avec Sonia Rykel qui se confie sur son combat contre la maladie de Parkinson. En 2017, c’est à Bruce Sprinsteen qu’elle s’intéresse en signant une série d’émissions sur France Culture, et publie « French Uranium » avec Eva Joly.

Judith Perrignon était l’invité du Salon du livre du Mans, Faites lire. Pour Le Monde, elle dévoile son rapport à la littérature, à l’écriture et nous livre ses conseils de lecture à travers le « Keskili » du Monde des livres.

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