Dans sa proposition de calendrier électoral, Lamuka suggère l’organisation des discussions entre parties prenantes entre septembre et octobre de cette année sur les principales réformes électorales.
Ces échanges permettront dit-il de baliser le chemin des élections. Sur cette question deux partis de l’actuel majorité sont d’accord. Il s’agit d’Ensemble pour la République de Moïse Katumbi et de l’UNC de Vital Kamerhe. Le FCC de Joseph Kabila tient également à un consensus avant d’aller plus loin.
Lamuka propose également que le recensement électoral soit organisé entre juin et aout 2022.
Cette épineuse opération a toujours était considérée par l’opposition comme une occasion de gonfler les effectifs avec des electeurs fictifs.
Lamuka veut que la future liste électorale soit soumise à un audit rigoureux.
Pendant la présentation de cette proposition de calendrier, Martin Fayulu a eu des mots durs au sujet de l’audit organisé en 2017 par l’OIF. « Du n’importe quoi », a t-il dit. Il souhaite que pour cette fois-ci, les statistiques des électeurs soient publiées sur le site de la CENI.
Dans sa proposition, les élections générales devront s’organiser au plus tard le 22 octobre 2023.
Suivez les explications de ADOLPHE MUZITO invité de Objectif 2023
Ces échanges permettront dit-il de baliser le chemin des élections. Sur cette question deux partis de l’actuel majorité sont d’accord. Il s’agit d’Ensemble pour la République de Moïse Katumbi et de l’UNC de Vital Kamerhe. Le FCC de Joseph Kabila tient également à un consensus avant d’aller plus loin.
Lamuka propose également que le recensement électoral soit organisé entre juin et aout 2022.
Cette épineuse opération a toujours était considérée par l’opposition comme une occasion de gonfler les effectifs avec des electeurs fictifs.
Lamuka veut que la future liste électorale soit soumise à un audit rigoureux.
Pendant la présentation de cette proposition de calendrier, Martin Fayulu a eu des mots durs au sujet de l’audit organisé en 2017 par l’OIF. « Du n’importe quoi », a t-il dit. Il souhaite que pour cette fois-ci, les statistiques des électeurs soient publiées sur le site de la CENI.
Dans sa proposition, les élections générales devront s’organiser au plus tard le 22 octobre 2023.
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