Deuxième quart de finale de l'Euro avec un choc au sommet entre la Belgique, prétendante au succès final, et l'Italie, qui avance masquée depuis le début de la compétition. Avec Chiesa et Verratti dès le coup d'envoi plutôt que Berardi et Locatteli, la Squadra Azzurra se présentait au grand complet face à des Diables Rouges privés d'Eden Hazard. L'ailier du Real n'était même pas sur la feuille de match, à l'inverse d'un Kevin de Bruyne titulaire et intégré au duo de devant Lukaku-Doku. Face à cette équipe diminuée et en réussite face au Portugal au tour précédent, l'Italie attaquait ce match en confiance et marquait même rapidement, avant que le buteur Bonucci ne soit signalé en position de hors-jeu (14e). Ce n'était que partie remise car sur un numéro de soliste dans la surface, Barella effaçait trois adversaires pour marquer d'une lourde frappe croisée (0-1, 31e). L'Italie devait aussi cette ouverture du score à Donnarumma, auteur de deux parades exceptionnelles face à De Bruyne (23e) et Lukaku (26e) quelques instants plus tôt.
Les hommes de Roberto Mancini creusaient même l'écart juste avant la pause. Si Chiesa (41e) et Immobile (43e) ne convertissaient pas, Insigne enroulait parfaitement son ballon dans la lucarne de Courtois (0-2, 44e). L'Italie pensait revenir au vestiaire avec un break d'avance mais c'était sans compter sur la vitesse et les dribbles de Doku, excellent ce soir, et qui poussait Di Lorenzo à la faute dans la surface. Lukaku se chargeait de réduire la marque (1-2, 45e+1), et de s'offrir un 4e but personnel dans cet Euro. La tension montait d'un cran, surtout après cet énorme sauvetage de Spinazzola sur sa ligne devant Lukaku (61e). Les entrées Mertens et de Praet (ce dernier remplaçait Chadli, entré quelques minutes avant seulement mais blessé rapidement) faisaient du bien mais ne suffisait pas, à l'image de ce ballon qui a traîné dans la surface (70e). Malgré les dernières accélérations de Doku et les ultimes coups de boutoir de De Bruyne, la Belgique ne revenait jamais et laisse l'Italie affronter l'Espagne pour une place en finale le 6 juillet prochain.
Les hommes de Roberto Mancini creusaient même l'écart juste avant la pause. Si Chiesa (41e) et Immobile (43e) ne convertissaient pas, Insigne enroulait parfaitement son ballon dans la lucarne de Courtois (0-2, 44e). L'Italie pensait revenir au vestiaire avec un break d'avance mais c'était sans compter sur la vitesse et les dribbles de Doku, excellent ce soir, et qui poussait Di Lorenzo à la faute dans la surface. Lukaku se chargeait de réduire la marque (1-2, 45e+1), et de s'offrir un 4e but personnel dans cet Euro. La tension montait d'un cran, surtout après cet énorme sauvetage de Spinazzola sur sa ligne devant Lukaku (61e). Les entrées Mertens et de Praet (ce dernier remplaçait Chadli, entré quelques minutes avant seulement mais blessé rapidement) faisaient du bien mais ne suffisait pas, à l'image de ce ballon qui a traîné dans la surface (70e). Malgré les dernières accélérations de Doku et les ultimes coups de boutoir de De Bruyne, la Belgique ne revenait jamais et laisse l'Italie affronter l'Espagne pour une place en finale le 6 juillet prochain.
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