L’album de Milos Karadaglic, Mediterraneo, est dans les bacs depuis le 13 juin dernier. A cette occasion, le musicien a souhaité partager avec les Aufiennes un petit peu de lui.
C’est à l’hôtel Bel Ami, à Paris, que ce féru de guitare classique nous a donné rendez-vous pour nous parler un peu de lui. Simple, décontracté et chaleureux, Milos est revenu sur son enfance au Monténégro, qu'il a quitté adolescent, sa vocation de musicien mais évoque aussi la France, pays qu’il affectionne tout particulièrement.
Vous avez quitté votre pays à 16 ans, n’était-ce pas trop difficile de quitter votre famille alors qu’une guerre civile éclatait dans votre pays ?
En effet ça a été très dur de quitter ma famille, car nous sommes très proches. J’avais l’habitude de parler avec ma famille de nombreuses fois chaque jour, peu importe où j’étais et quand je suis parti ça a été un énorme changement pour mes proches et moi. Car soudainement, j’étais à Londres, dans une ville de 10 millions d’habitants alors que je venais de quitter un pays de 600 000 habitants, ce qui était à peu près la taille du quartier de Londres dans lequel je vivais. C’était bizarre d’habiter dans une si grande ville.
Comment est né votre attachement à la musique ?
Il n’y avait pas de musicien dans ma famille mais beaucoup d’entre eux avaient une belle voix, donc enfant nous chantions tout le temps. De plus ma grand-mère avait également une jolie voix et nous étions très proches, donc j’ai vraiment commencé par la chanson et aussi loin que je me souvienne, la musique a toujours fait partie de ma vie et c’est à l’âge de huit ans que j’ai découvert la guitare.
Est-ce que vos parents vous ont suivis et accompagnés dans votre passion de la guitare ?
Mes parents savaient que la musique me rendait heureux et que c’était vraiment ce que je voulais faire. Donc ils m’ont toujours soutenu et encouragé à m’exprimer par la musique. Et pour toutes les décisions que j’ai prises, ils m’ont ...
C’est à l’hôtel Bel Ami, à Paris, que ce féru de guitare classique nous a donné rendez-vous pour nous parler un peu de lui. Simple, décontracté et chaleureux, Milos est revenu sur son enfance au Monténégro, qu'il a quitté adolescent, sa vocation de musicien mais évoque aussi la France, pays qu’il affectionne tout particulièrement.
Vous avez quitté votre pays à 16 ans, n’était-ce pas trop difficile de quitter votre famille alors qu’une guerre civile éclatait dans votre pays ?
En effet ça a été très dur de quitter ma famille, car nous sommes très proches. J’avais l’habitude de parler avec ma famille de nombreuses fois chaque jour, peu importe où j’étais et quand je suis parti ça a été un énorme changement pour mes proches et moi. Car soudainement, j’étais à Londres, dans une ville de 10 millions d’habitants alors que je venais de quitter un pays de 600 000 habitants, ce qui était à peu près la taille du quartier de Londres dans lequel je vivais. C’était bizarre d’habiter dans une si grande ville.
Comment est né votre attachement à la musique ?
Il n’y avait pas de musicien dans ma famille mais beaucoup d’entre eux avaient une belle voix, donc enfant nous chantions tout le temps. De plus ma grand-mère avait également une jolie voix et nous étions très proches, donc j’ai vraiment commencé par la chanson et aussi loin que je me souvienne, la musique a toujours fait partie de ma vie et c’est à l’âge de huit ans que j’ai découvert la guitare.
Est-ce que vos parents vous ont suivis et accompagnés dans votre passion de la guitare ?
Mes parents savaient que la musique me rendait heureux et que c’était vraiment ce que je voulais faire. Donc ils m’ont toujours soutenu et encouragé à m’exprimer par la musique. Et pour toutes les décisions que j’ai prises, ils m’ont ...
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