Et si nous dispersions de la poudre de verre pour sauver la banquise ?
Cette idée a été développée par Arctic Ice Project, une organisation californienne à but non lucratif.
Cette méthode permettrait de faire réfléchir les rayons du soleil et donc de rejeter la chaleur.
Ainsi, la glace pourrait se reconstituer.
Enfin, cette technique lutterait contre l’élévation du niveau de la mer.
Cette technique a d’abord été testée sur des lacs au Canada et aux États-Unis.
Les résultats sont plutôt encourageants.
Si les initiateurs de cette idée ont précisé qu’il s’agissait de répandre une fine couche de microsphères de verre, il faudrait environ 50 millions de tonnes de ce matériau pour couvrir les 4 millions de km2 de la banquise.
Mais certains scientifiques s’interrogent sur la fiabilité de cette méthode.
Cela pourrait notamment avoir des effets néfastes pour la chaîne alimentaire des écosystèmes.
Les espèces vivantes pourraient ainsi ingérer ce matériau.
Depuis une cinquantaine d’années, l’étendu de la glace arctique ne cesse de rétrécir.
L’Arctique est une région qui se réchauffe deux fois plus vite que le reste du monde.
Elle a connu en 2020 sa pire année après 2012 : Durant l’été, avec les vagues de chaleur, le thermomètre affichait 20°c au-dessus des normales de saison.
Désormais, la glace se reconstitue mais elle devient plus fine et moins robuste.
Cette idée a été développée par Arctic Ice Project, une organisation californienne à but non lucratif.
Cette méthode permettrait de faire réfléchir les rayons du soleil et donc de rejeter la chaleur.
Ainsi, la glace pourrait se reconstituer.
Enfin, cette technique lutterait contre l’élévation du niveau de la mer.
Cette technique a d’abord été testée sur des lacs au Canada et aux États-Unis.
Les résultats sont plutôt encourageants.
Si les initiateurs de cette idée ont précisé qu’il s’agissait de répandre une fine couche de microsphères de verre, il faudrait environ 50 millions de tonnes de ce matériau pour couvrir les 4 millions de km2 de la banquise.
Mais certains scientifiques s’interrogent sur la fiabilité de cette méthode.
Cela pourrait notamment avoir des effets néfastes pour la chaîne alimentaire des écosystèmes.
Les espèces vivantes pourraient ainsi ingérer ce matériau.
Depuis une cinquantaine d’années, l’étendu de la glace arctique ne cesse de rétrécir.
L’Arctique est une région qui se réchauffe deux fois plus vite que le reste du monde.
Elle a connu en 2020 sa pire année après 2012 : Durant l’été, avec les vagues de chaleur, le thermomètre affichait 20°c au-dessus des normales de saison.
Désormais, la glace se reconstitue mais elle devient plus fine et moins robuste.
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