Analyse par Jocelyn Dupont (maître de conférences, université de Perpignan). Dans le cadre du séances en ligne " Zoom sur..." (Facebook Live) du Forum des images, le 01/03/2021.
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Spider de David Cronenberg (2001) marque un infléchissement majeur dans la poétique de l’auteur de films aussi radicaux que Videodrome ou Existenz. Bien qu’ici encore, la psychose soit au cœur du récit, elle s’y joue en mode mineur. La séquence proposée tente – avec succès – de plonger le·la spectateur·rice dans le récit d’un fou pathétique, pris au piège de la toile de son passé. Contenue et émouvante, cette scène nous plonge au cœur de la schizophrénie du personnage.
La séance est présentée par Isabelle Vanini, programmatrice au Forum des images.
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Toute la programmation : http://www.forumdesimages.fr/
@forumdesimages et #forumdesimages
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Spider de David Cronenberg (2001) marque un infléchissement majeur dans la poétique de l’auteur de films aussi radicaux que Videodrome ou Existenz. Bien qu’ici encore, la psychose soit au cœur du récit, elle s’y joue en mode mineur. La séquence proposée tente – avec succès – de plonger le·la spectateur·rice dans le récit d’un fou pathétique, pris au piège de la toile de son passé. Contenue et émouvante, cette scène nous plonge au cœur de la schizophrénie du personnage.
La séance est présentée par Isabelle Vanini, programmatrice au Forum des images.
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