WhatsApp, Telegram, ou encore Signal : alors que les violences entre bandes rivales se multiplient, l’utilisation de ces messageries, liée aux affrontements, met en difficulté les autorités. Fin février, les phénomènes de violences se sont accélérés avec les décès de trois adolescents en Essonne et en Seine-Saint-Denis. La surveillance des messageries permettrait d’anticiper les affrontements, un repérage qui serait facilité par des réponses pénales.
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