Création mondial : la violoniste Julia Fischer joue, avec l'Orchestre national de France placé sous la direction de Cristian Măcelaru, le Concerto pour violon composé par Pascal Zavaro.
Ce Concerto pour violon est dédié à Julia Fischer. Il est écrit sous l’influence des images de Jean-Michel Basquiat, figure éphémère de la peinture contemporaine à New York, dans les années 80. Malgré sa mort précoce par overdose à vingt-huit ans, il fut le représentant éminent d’un nouveau style, proche du graffiti et du « street art ».
Dans nombre de ses œuvres, on peut remarquer un personnage très déconstruit, surmonté d’une auréole, comme « éclaté » par des jets de couleurs et des traits rageurs. Il est présent dans les quatre tableaux qui m’ont inspiré les mouvements de ce concerto : Fallen Angel, Saint, Acque Pericolose, Tar and Feathers. Ces symboles sacrés au milieu du chaos sont traduits dans la musique par des variations sur le Dies Irae, mélodie souvent utilisée par les compositeurs à travers l’Histoire.
Pascal Zavaro
Ce Concerto pour violon est dédié à Julia Fischer. Il est écrit sous l’influence des images de Jean-Michel Basquiat, figure éphémère de la peinture contemporaine à New York, dans les années 80. Malgré sa mort précoce par overdose à vingt-huit ans, il fut le représentant éminent d’un nouveau style, proche du graffiti et du « street art ».
Dans nombre de ses œuvres, on peut remarquer un personnage très déconstruit, surmonté d’une auréole, comme « éclaté » par des jets de couleurs et des traits rageurs. Il est présent dans les quatre tableaux qui m’ont inspiré les mouvements de ce concerto : Fallen Angel, Saint, Acque Pericolose, Tar and Feathers. Ces symboles sacrés au milieu du chaos sont traduits dans la musique par des variations sur le Dies Irae, mélodie souvent utilisée par les compositeurs à travers l’Histoire.
Pascal Zavaro
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