Deuxième échec pour la fusée Starship. Un prototype de ce nouvel engin produit par la société SpaceX s’est écrasé à l’atterrissage, mardi 2 février, lors d’un vol d’essai depuis la côte du Texas, aux Etats-Unis. Un autre prototype avait connu le même sort en décembre. Il avait réussi à décoller avant de s’écraser dans une grande boule de feu.
Ces essais se produisent dans une zone quasi déserte louée par SpaceX, à l’extrême sud du Texas, une zone suffisamment vide pour qu’un accident ou une explosion ne cause pas de dommages, ni ne fasse de victimes.
La fusée Starship sera composée d’un vaisseau habité et d’un premier étage, appelé Super Heavy, équipé de 37 moteurs au lieu de 9, le tout mesurant 120 mètres de hauteur, et capable d’emporter 100 tonnes en orbite autour de la Terre.
Elon Musk imagine lancer un jour plusieurs de ces vaisseaux à la conquête de Mars. Mais dans un premier temps, la fusée, si elle devenait opérationnelle, pourrait s’avérer utile pour des voyages plus proches, notamment pour la Lune, où la Nasa veut rétablir une présence durable à partir de 2024.
Ces essais se produisent dans une zone quasi déserte louée par SpaceX, à l’extrême sud du Texas, une zone suffisamment vide pour qu’un accident ou une explosion ne cause pas de dommages, ni ne fasse de victimes.
La fusée Starship sera composée d’un vaisseau habité et d’un premier étage, appelé Super Heavy, équipé de 37 moteurs au lieu de 9, le tout mesurant 120 mètres de hauteur, et capable d’emporter 100 tonnes en orbite autour de la Terre.
Elon Musk imagine lancer un jour plusieurs de ces vaisseaux à la conquête de Mars. Mais dans un premier temps, la fusée, si elle devenait opérationnelle, pourrait s’avérer utile pour des voyages plus proches, notamment pour la Lune, où la Nasa veut rétablir une présence durable à partir de 2024.
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