coupables
"J'aurai voulu ne vous offrir que le crime mais on ne le sépare jamais de son châtiment..." Saez
Oups, il manque une partie de texte :
Entre "Ceux qui m'ont par leur mal ouais refilé la crève"
et " De la haine qui nait à l'amour qui meurt" :
La chair que l'on déchire, la peau que l'on retire
Quand la candeur du sang assouvit nos désirs
Les larmes dans les yeux de l'étranger qui prie
Que les siens hurlent assez pour qu'on entendent ici
Moi je maudis le blanc du drapeau de l'espoir
Que les larmes et le sang ont rendu étendard
J'arracherais ma peau, déchirerais mes ailes
Pour ne pas avoir honte d'avoir connu la chance
D’être né aujourd'hui au pays des lumières
Dans le blanc de Césaire et le noir de Baudelaire
De n'avoir jamais faim, de n'avoir jamais froid
N'avoir jamais connu ni la peur, ni l’effroi
Quand bien d'autres des miens n'ont pour seule chaleur
Que l'espoir qui les tiens au milieu des horreurs
Devant mon frère de sang tu vois je n'ai plus peur
Sous les ruines d'un enfer que l'on rêvait meilleur
Oups, il manque une partie de texte :
Entre "Ceux qui m'ont par leur mal ouais refilé la crève"
et " De la haine qui nait à l'amour qui meurt" :
La chair que l'on déchire, la peau que l'on retire
Quand la candeur du sang assouvit nos désirs
Les larmes dans les yeux de l'étranger qui prie
Que les siens hurlent assez pour qu'on entendent ici
Moi je maudis le blanc du drapeau de l'espoir
Que les larmes et le sang ont rendu étendard
J'arracherais ma peau, déchirerais mes ailes
Pour ne pas avoir honte d'avoir connu la chance
D’être né aujourd'hui au pays des lumières
Dans le blanc de Césaire et le noir de Baudelaire
De n'avoir jamais faim, de n'avoir jamais froid
N'avoir jamais connu ni la peur, ni l’effroi
Quand bien d'autres des miens n'ont pour seule chaleur
Que l'espoir qui les tiens au milieu des horreurs
Devant mon frère de sang tu vois je n'ai plus peur
Sous les ruines d'un enfer que l'on rêvait meilleur
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