Depuis un an, Jacqueline Llorens tricote bonnets et tours de cou pour les sans domicile fixe. Avec en prime cette année, des moufles et chaussons qui s’ajoutent à sa panoplie.
Des bonnets sur une table, des écharpes sur une chaise, des pelotes de laine dans toute la pièce : le salon de Jacqueline a des allures de véritable atelier de couture.
« C’est un peu le cas depuis des mois déjà », lance Jacqueline Llorens. Le tricot fait partie intégrante de son quotidien désormais. Plus qu’une passion, l’activité est devenue une nécessité pour cette octogénaire qui tricote depuis l’âge de ses 14 ans. Et pour cause : depuis un an, aiguilles en main, elle tricote bonnets et tours de cou pour les sans domicile fixe. Le tout est ensuite distribué gratuitement par des associations hyéroises et de l’aire toulonnaise
Des bonnets sur une table, des écharpes sur une chaise, des pelotes de laine dans toute la pièce : le salon de Jacqueline a des allures de véritable atelier de couture.
« C’est un peu le cas depuis des mois déjà », lance Jacqueline Llorens. Le tricot fait partie intégrante de son quotidien désormais. Plus qu’une passion, l’activité est devenue une nécessité pour cette octogénaire qui tricote depuis l’âge de ses 14 ans. Et pour cause : depuis un an, aiguilles en main, elle tricote bonnets et tours de cou pour les sans domicile fixe. Le tout est ensuite distribué gratuitement par des associations hyéroises et de l’aire toulonnaise
Category
🗞
News