"Perdre un enfant signifie supporter un deuil insupportable, un chagrin vécu par beaucoup, mais dont peu de personnes parlent.
C’est quelque chose qui reste tabou, couvert d’un sentiment de honte injustifié, perpétuant un cycle de deuil solitaire." Meghan Markle.
Le 25 novembre 2020, Meghan Markle s’est confiée pour la première fois au célèbre journal The New York Times sur sa fausse couche.
Le drame est survenu
4 mois plus tôt,
durant l’été.
Archie, le fils du prince Harry et de la duchesse de Sussex, né le 6 mai 2019, aurait dû avoir un petit frère ou une petite soeur.
Dans cette tribune intitulée "The Losses we share" (les pertes que nous partageons), elle revient sur cette tragédie à l’origine d’une "immense peine".
"C’était un matin de juillet qui commençait aussi normalement que n’importe quel autre jour [….] j’ai ressenti une grosse crampe. Je me suis laissée tomber doucement sur le sol, Archie dans les bras, en chantant une berceuse pour que nous soyons le plus calme possible, la douce mélodie contrastant fortement avec le pressentiment que j’avais, que quelque chose n’allait pas. Je savais, tout en ayant mon premier enfant dans les bras, que je perdais le deuxième. Quelques heures après cette fausse couche, j'étais allongée dans un lit d'hôpital. Mon mari me tenait la main. Je sentais la moiteur de sa paume et j'ai embrassé ses doigts mouillés de nos larmes. J'essayais d'imaginer comment nous pourrions guérir de cette épreuve. [….] En étant invités à partager notre douleur, nous faisons ensemble les premiers pas vers la guérison."
C’est quelque chose qui reste tabou, couvert d’un sentiment de honte injustifié, perpétuant un cycle de deuil solitaire." Meghan Markle.
Le 25 novembre 2020, Meghan Markle s’est confiée pour la première fois au célèbre journal The New York Times sur sa fausse couche.
Le drame est survenu
4 mois plus tôt,
durant l’été.
Archie, le fils du prince Harry et de la duchesse de Sussex, né le 6 mai 2019, aurait dû avoir un petit frère ou une petite soeur.
Dans cette tribune intitulée "The Losses we share" (les pertes que nous partageons), elle revient sur cette tragédie à l’origine d’une "immense peine".
"C’était un matin de juillet qui commençait aussi normalement que n’importe quel autre jour [….] j’ai ressenti une grosse crampe. Je me suis laissée tomber doucement sur le sol, Archie dans les bras, en chantant une berceuse pour que nous soyons le plus calme possible, la douce mélodie contrastant fortement avec le pressentiment que j’avais, que quelque chose n’allait pas. Je savais, tout en ayant mon premier enfant dans les bras, que je perdais le deuxième. Quelques heures après cette fausse couche, j'étais allongée dans un lit d'hôpital. Mon mari me tenait la main. Je sentais la moiteur de sa paume et j'ai embrassé ses doigts mouillés de nos larmes. J'essayais d'imaginer comment nous pourrions guérir de cette épreuve. [….] En étant invités à partager notre douleur, nous faisons ensemble les premiers pas vers la guérison."
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